
Depuis 2020, la population française entend parler de guerre tout azimut. Guerre contre le Covid19, « le pays est en guerre », guerre de l’Ukraine, guerre économique, guerre politique… Nous constatons la montée de la violence et de l’anarchisme en France, d’un taux d’anxiété et de mal-être croissant, d’un besoin de psychologues et de psychiatres pour soigner mentalement la population de plus en plus stressée et mal en point. En conséquence, est-il bon d’entendre parler de guerre constamment ?
La guerre, c’est quoi ?
La guerre peut être d’ordre économique, politique, stratégique ou se faire via les réseaux de communication, sur le terrain ou par les cyberattaques. Son but est d’obtenir des territoires, de faire plier ou de piller l’ennemi.
Le chef de guerre se veut charismatique et dans la manipulation de la population pour aboutir à ses objectifs. Il a recours aux mensonges, il est en proie à créer la peur du peuple pour faire valoir ses buts guerriers quoi qu’il en coûte.
Il peut même engager une partie de la population dans les forces armées sous la contrainte… Au demeurant, le recrutement militaire qui pénètre dans nos chaumières via des spots publicitaires sur l’armée est un moyen détourné du gouvernement pour anticiper l’engagement de nos jeunes jusque sous leur toit. Ce toit si précieux où nombreux se réfugient comme dans un « cocon protecteur » sévèrement atteints d’ecoanxiété, ils se voient encore déstabiliser psychologiquement. A cet effet, certains ont fait le choix de ne plus avoir de TV. En effet, cette fameuse génération Z fragilisée est visée par le gouvernement.
Le slogan : « Peux-tu le faire ? » à la Rambo défie nos jeunes, hommes comme femmes, d’être capables de faire l’armée et de s’engager… Ne serait-ce pas une forme de manipulation de nos jeunes ? Qui dit s’engager, dit prendre le risque de faire la guerre à tout moment autrement c’est déserter. Déserter en présence de l’ennemi est puni de 20 ans de réclusion criminelle. Si la personne a le rang d’officier, c’est la perpétuité.
Entendre parler de « guerre » provoque le mal-être de la population
Jamais on n’a autant entendu ce mot « guerre » que depuis ces dernières années. Ce mot est employé à toutes les sauces.
Le 16 mars 2020, nous entendions « nous sommes en guerre contre le virus … ». Mener un combat contre un virus : oui mais pas la guerre au sens strict. Le terme est inadapté. En février 2024, nous entendions à nouveau le mot « guerre » concernant l’invasion des russes en Ukraine. La France est à nouveau impliquée malgré elle. Par contre en novembre 2024, on entend que l’on est en lutte contre le narcotrafic. Désormais nous comptons la « guerre des politiciens », la « guerre des gangs » et la « menace de guerre chimique » sur le territoire français. Peut-être sous peu, la guerre civile ? La France dysfonctionnerait-elle à cette heure ?
Est-il bon d’entendre parler de guerre ? La réponse est non. La population ne supporte plus cette pression omniprésente qui fait partie de son quotidien. Employer le mot « guerre » plutôt que « combat » est-il volontaire ? Faire peur, ranger le peuple à l’obéissance, les transformer en petits guerriers…? Les guerres du passé n’ont manifestement pas servi de leçon pour certains…
Qui sait ce que c’est que de faire la guerre ?
Les anciennes générations savent la destruction d’une guerre sur un peuple. Nos politiciens eux-mêmes n’ont jamais été confrontés à ce scénario et pour la majorité d’entre eux n’a même pas fait le service militaire. Comment peut-on parler de guerre à un peuple en non-sachant ni expérience ? Comment peut-on inquiéter un peuple de la sorte ?
Néanmoins, les meurs ont changé. Le peuple n’est plus prêt à payer de sa vie, il préfère la paix et la sagesse aux « séïsmes guerriers » et aux génocides. Il aurait plus tendance à s’exiler et à fuir la France qui d’après certains médias frôlerait une forme de dictature dans sa conduite. Il suffit de constater le chiffre croissant de l’exode des entreprises. Les faillites, les nouvelles taxes sur les autoentrepreneurs, les efforts demandés aux entreprises, la montée des chômeurs viennent conforter ce réflexe de fuir vers l’étranger. Une partie de la population finit par s’isoler en prenant un virage à 180° en partant en pleine cambrousse pour fuir ce mal-être et vivre en autarcie.

La guerre « intra hexagonale » n’est-elle pas déjà sur le terrain français ?
Force est de constater que la guerre est déjà sur notre territoire lorsqu’on entend les meurtres quotidiens dans toutes les villes de France. Actuellement, les français se concertent pour monter des milices pour leur propre défense alors que le gouvernement pense à ses propres intérêts sans défendre ses forces de l’ordre. De surcroit, les partis politiques se déclarent la guerre entre eux. En conséquence, la France serait-elle à l’abandon de toute forme de paix et de résilience ? Aujourd’hui, on nous demande de supporter les « séïsmes » de la société française qui s’amplifient année après année. En conséquence, combattre pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres devient peu crédibles pour beaucoup.
Les français veulent retrouver la sérénité et le bien-être. Faire la guerre ? Ce n’est pas dans leur programme d’existence. Ils veulent la paix et retrouver leur autonomie économique et financière. Pour cela, il faut créer des emplois, développer le secteur industriel, être indépendants en comptant sur notre agriculture et notre énergie. La France en a le pouvoir pour éviter de répéter incessamment le mot « guerre ». Est-ce une erreur de diplomatie de la part du gouvernement ?
La planète risque de prendre le dessus sans crier « gare » pour stopper ces scénarios guerriers et remettre l’humain à sa place
Non, entendre parler de « guerre » n’est pas bon pour le moral des français. Cela amplifie leur mal-être et leur déclenche des pathologies mentales et physiques. Le peuple est trop sous pression actuellement.
Et si les évènements climatiques et terrestres (tornades, séïsmes, tsunamis, volcans..) venaient à arrêter ce scénario ? La terre en a assez d’être détériorée et polluée par des acteurs incapables de s’entendre à l’échelle mondiale. A l’heure où on nous vend de l’écologie à gogo, les divers gouvernements de la planète veulent des guerres plus dévastatrices sur tous les plans que nos propres consommations et émissions polluantes ? Cherchez l’erreur…
La population en a ras-le-bol d’entendre le mot « guerre » qui n’a plus de sens. C’est néfaste pour la santé de chacun en sus de dégrader la qualité de vie personnelle et sociétale.