Définition de la neurodiversité

La neurodiversité est un terme inventé par la sociologue australienne Judy Singer. Les situations vécues par les neurodivergents sont variables. Certains sont dans l’incapacité de décoder des mots, d’autres sont plus sensibles à l’environnement provoquant une surcharge sensorielle. Ils sont affectés dans leurs capacités cérébrales qu’il s’agisse de leur fonctionnement, de leurs pensées, de leurs réactions ou interactions, de leurs relations aux autres ou de leur apprentissage. Les troubles cognitifs engendrés par la neurodivergence sont nombreux.

Les symptômes de la neurodivergence

La neurodivergence est un réel handicap. Principalement, ces personnes présentent des difficultés d’intégration en société. Le syndrome de Tourette, l’autisme, le TDAH, les troubles de l’apprentissage sont symptomatiques de la neurodiversité.

Difficiles à repérer dès la naissance, ces troubles neurodivergents génèrent un mal-être chez le sujet touché en sus d’accentuer des réactions d’angoisse et de stress. Régentés par des gestes nerveux et saccadés, des Tic et des tocs, les neurodivergents rencontrent de nombreux problèmes comportementaux malgré eux :

• soucis de communication : ils ont du mal à communiquer avec le langage verbal, corporel et visuel.
• troubles sensoriels : les neurodivergents ont du mal à s’adapter à la luminosité, aux différences de températures, au son, aux foules…
• victimes de réactions psychophysiques : tics, paroles non contrôlées, balancements, gestes imprévus…
• difficulté d’adaptation
• incapacité à avoir un intérêt pour quoi que ce soit
• problèmes de langage : bégaiement, répétition de mots, …
• difficultés d’apprentissage : lecture, calcul par manque de capacité de concentration ou hyperactivité…

Néanmoins certaines personnes touchées par la neurodiversité peuvent avoir des atouts !

Les ressources insoupçonnées d’une personne neurodivergente

Être neurodivergent n’a pas que des conséquences négatives ! Certains individus en tirent partie pour avoir des sens plus développés que la normale.

• une capacité d’observation accrue : les divergents savent être très attentifs aux détails.
• développement de compétences hors normes : nombreux s’avèrent doués dans certaines matières comme les maths, les sciences, l’art, l’écriture…
• une concentration supérieure : ils savent, pour certains d’entre eux, focaliser leur attention plus longtemps que la moyenne.
• des créateurs hors pair : ils ont cette particularité de créer le renouveau.
• des innovateurs : ils sont capables de trouver des solutions aux problèmes auxquels personne n’aurait pensé par leur particularité de penser autrement.
• ciblage supérieur des comportements : ils ont une faculté élevée d’analyse et repèrent le comportement des autres.

Comment accepter sa neurodiversité ?

La neurodivergence peut affecter la santé mentale, le bon développement personnel ainsi que le bien-être. Dans l’alternative d’un quelconque doute, il est recommandé de consulter un psychologue pour se comprendre dans ses pensées et ses réactions dès lors qu’on les ressent différentes des autres. Cet entretien permettra de lâcher-prise et de vivre mieux. Ensuite, il faut apprendre à s’accepter tel que l’on est avec ses points faibles et ses points forts.

Enfin, évitez de vous focaliser sur le négatif et apprenez à tirer du positif de cette neurodiversité. La neurodivergence, c’est avoir des particularités qui peuvent aussi être des atouts !

Définition de l’intelligence émotionnelle

L’intelligence émotionnelle est notre capacité à gérer nos émotions en vue de résoudre des problèmes tout en régulant nos réactions. Pour ce faire, il faut comprendre les 4 phases qui régissent cette intelligence des émotions :

1 – Savoir identifier ses réactions émotionnelles face à une situation ici et maintenant.

2 – Exploiter ses émotions pour appréhender un évènement avec calme dans la maîtrise de soi.

3 – Comprendre les sentiments qui naissent à l’instant « T ».

4 – Gérer ses émotions.

Cette forme d’intelligence dépasse les fonctions cognitives et le potentiel intellectuel. L’enfant doit être stimulé cognitivement dès son plus jeune âge afin d’optimiser sa capacité intelligentielle émotionnelle à l’adolescence et à l’âge adulte. A cet effet, nombreux adultes sont HPE (haut potentiel émotionnel) sans le savoir.

A quoi sert l’intelligence émotionnelle ?

Plus l’IE est développée, plus elle améliore la qualité de vie sur de nombreux plans.

Au quotidien

L’intelligence émotionnelle sert à prendre conscience de soi pour mieux se maîtriser et se canaliser. Par ailleurs, elle accroit les capacités à se motiver. Enfin, elle permet d’avoir de l’empathie pour autrui ce qui engendre une prédisposition à la gestion de toutes relations sociales. Cette forme d’intelligence dépasserait l’importance du QI compte tenu qu’elle régit nos réactions et nos actes.

Sur le plan professionnel

L’IE est un atout précieux dans le cadre professionnel. Pour exemple, la majorité des leaders possèdent en moyenne 90% d’intelligence émotionnelle. Par leur attitude, leur « sang froid » et leur assurance, ils conduisent leurs équipes vers l’atteinte des objectifs fixés dans un climat positif en instaurant un état de bien-être au travail. Ils savent exploiter leurs capacités à reconnaître et à intégrer leurs émotions dans le processus décisionnel tout en révélant les performances professionnelles de chacun de leurs collaborateurs.

Côté santé

L’intelligence émotionnelle évite les troubles cognitifs tels que l’angoisse ou le stress voire le burn out. De surcroit, elle sauvegarde les capacités intellectuelles, mémorielles et amplifie la vitesse de traitement de l’information sur le plan cérébral. De plus, elle est une aide inaltérable pour l’équilibre comportemental et psychique. Enfin, en sachant l’exploiter, elle permet d’améliorer le bien-être mental en sus d’amplifier la vision positive.

Les signes du mal-être

Les signes du mal-être sont nombreux. On peut ressentir :

• un coup de blues
• une baisse de moral
• l’envie de pleurer
• une lassitude de la vie
• une tristesse inhabituelle
• une perte de plaisir
• un refus d’avoir des objectifs
• une incapacité à trouver des solutions
• une angoisse
• une modification de l’appétit
• …

« Se sentir mal dans sa peau » fait souffrir

Comportement

La personne souffrant de mal-être est vidée de son énergie et manque de motivation. Elle peut être victime de dépression passagère. Par ailleurs, elle a tendance à s’isoler socialement et à se recroqueviller sur elle-même. Cette position « foetus » la rassure et calme son inquiétude. De plus, elle perd tout plaisir et finit par manquer d’appétit en sus d’avoir des troubles du sommeil.

Psychologiquement

La personne victime de mal-être est en souffrance psychologique. Elle se sent impuissante et n’arrive plus à franchir les obstacles. Ressentant une très grande tristesse, elle a tendance à broyer du noir et à se sentir dépassée par les évènements comme emprisonnée dans une situation de laquelle elle n’arrive pas à se dépêtrer.

Physiquement

Être mal dans sa peau provoque comme une torsion dans le ventre à se « tordre les boyaux ». Ca déclenche des arythmies cardiaques, des sueurs voire des tremblements réactionnels. De plus, ce mal engendre une grande fatigue et un épuisement.

Si cet état dépasse les 15 jours, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé ou un thérapeute pour se faire aider. Il ne faut pas laisser une souffrance psychique persister sous peine qu’elle tourne en dépression nerveuse.

Le vide intérieur, c’est quoi ?

Le vide intérieur est une sensation que plus rien n’a d’importance. La personne se désintéresse de tout comme désabusée et se sent seule pour en avoir ras-le-bol de tout. Elle ressent un sentiment d’abandon et s’enfonce dans la solitude et l’isolement. Cette émotion est une souffrance pour celui qui la vit. Néanmoins, cette phase peut servir de tremplin pour améliorer son existence. Découvrez comment.

Les causes d’un passage à vide

Il existe de nombreuses causes pour ressentir un vide intérieur.

• un déménagement
• une rupture amoureuse
• un décès
• un ennui chronique
• un épuisement physique
• un stress chronique
• un emploi démotivant
• le manque de projets
• un célibat qui se prolonge
• une situation qui se répète continuellement
• un burn-out
• une mauvaise décision…

Les conséquences du ras-le-bol

Se sentir vide peut avoir de multiples conséquences comme le manque de plaisir, la perte d’appétit, des troubles du sommeil, une perte de poids, une fatigue persistante, un dégoût à tout, un manque de motivation, l’arrêt de toute émotion, la désociabilisation, l’enfermement, … La personne a tendance à disparaître sous son toit pour se réfugier. Toutefois, il faut se ressaisir, car ressentir un vide intérieur, c’est se vider pour mieux renaître tel un phoenix !

Comment optimiser le vide intérieur en passage positif de la vie ?

Optimiser le vide intérieur en passage positif de la vie est possible. Conscient que ce passage à vide est difficile à vivre, il peut être un moment obligé et privilégié pour mieux renaître. Ce temps de repli sur soi permet de faire le point sur son existence et de mieux cerner les évènements ou les personnes toxiques.

Le manque d’affect et le plaisir reviennent en adoptant les bonnes attitudes ! Découvrez comment faire pour surmonter un passage à vide.

Se reprendre en mains pour comprendre son passage à vide

Vivre un passage à vide n’est pas une fatalité. Dès que vous sentez le ras-le-bol vous envahir, la lumière dans votre cerveau doit s’allumer afin de ne pas plonger plus bas. C’est le moment de comprendre le pourquoi de ce vide soudain.

Repérer la source de stress

Profitez de ce laps de temps pour repérer les raisons de ce passage à vide. Il faut balayer toutes les sources susceptibles de créer des angoisses.

Évacuer le stress

Maintenant que vous connaissez les causes du mal-être, il faut y remédier. Qui dit y remédier, dit se faire rigueur pour en finir. Vous n’aviez plus d’objectif ? Dans un premier temps, le vôtre sera d’éliminer ou d’accepter la source qui vous gâche la vie. L’acceptation est une forme de guérison face à un passage à vide.

L’acceptation du vécu

Inutile de tergiverser, il faut accueillir la situation, il n’y a pas le choix. De surcroit, posez-vous la question du pourquoi la vie vous met devant cet obstacle désagréable. L’heure est à l’introspection pour mieux renaître et comprendre les raisons de ce vide intérieur. Dès que vous aurez accepté les évènements, vous vous sentirez plus libre et prêt à rebondir vers un nouvel épisode positif de votre vie.

Les aides pour surmonter le vide intérieur

• Le yoga est un allié précieux pour se recentrer et reprendre confiance en soi. Les postures, la respiration et la relaxation sont un « trio » qui fait du bien.
• La méditation permet d’analyser sa vie et de comprendre son dénouement en gagnant la sagesse de se détacher des évènements pour vivre mieux.
• La psychothérapie est une solution pour ceux qui n’arrivent pas à gérer cette situation de ras-le-bol seul. Il faut se faire aider pour se débarrasser de ce passage douloureux. Mon Soutien Psy peut vous aider à distance.
• Les thérapies brèves sont une excellente aide pour surmonter rapidement un vide intérieur en douceur.
• L’art-thérapie permet de se libérer émotionnellement et de se reconstruire à son rythme.

La maîtrise de soi, c’est quoi ?

La maîtrise de soi est la capacité à prendre le contrôle de soi tant sur le plan émotionnel que comportemental. Ce self-control est un réel atout au quotidien. En effet, il évite d’agir sous le sceau de l’impulsion et de subir ses actes irréfléchis. Les fluctuations d’humeur sont particulièrement incommodantes pour le cercle social qu’il s’agisse de la vie privée ou de la vie professionnelle. Toutefois, il est possible d’apprendre à se maîtriser sur le plan relationnel, dans les interactions et la communication avec autrui même en cas de conflit ou de désaccord.

Comment apprendre à se maîtriser ?

Savoir se maîtriser, c’est savoir prendre le contrôle de ses émotions et de ses réactions. Cette attitude se travaille au quotidien et s’acquiert rapidement. Elles apportent la résilience. Découvrez les solutions pour apprendre à se maîtriser !

Les thérapies brèves pour apprendre à se contrôler

Les thérapies brèves sont particulièrement efficaces pour apprendre à se contrôler et à réfréner les addictions. En effet, elles permettent de faire le point sur les raisons de ces réactions immaitrisables que nombreux regrettent après coup. Pour ce faire, elles s’appuient sur des médecines douces ou des thérapies holistiques comme l’hypnose, la TCC (thérapie cognitivo-comportementale), la PNL (programmation neuro-linguistique) ou encore des séances de sophrologie pour comprendre les raisons de ces agissements impulsifs.

La psychologie pour comprendre les raisons du manque de self-control

La psychologie est une bonne solution pour arrêter les comportements impulsifs qui peuvent gâcher la vie. En effet, cette thérapie peut être un excellent frein à la détérioration de sa qualité de vie tant sur le plan des relations de couple, des relations au travail, etc… Elle permet de comprendre la source du manque de contrôle de soi pour éradiquer ce comportement à moyen voire long terme. Cette discipline met l’accent sur un manque de confiance en soi, une trop faible estime de soi, une violence liée à des faits vécus dans l’enfance, un choc émotionnel, un trouble psychique, etc…

Le yoga pour apprendre à se maîtriser

Le yoga est une pratique douce permettant de déstresser, de se recentrer et de garder son sang froid en toute situation. En effet, les postures dénouent la mécanique du corps. La respiration yoguique apprend à se maîtriser et à se concentrer sur ses émotions négatives. Ceci en vue de mieux les contenir et les neutraliser voire les retourner en pensée positive.

Le manque de maîtrise de soi, une fatalité ?

En conclusion, le manque de maîtrise de soi n’est surtout pas une fatalité. En effet, comprendre cette absence de self control est la première marche à gravir. Se faire accompagner par un thérapeute ou faire une activité de bien-être comme le yoga est une bonne idée. Ensuite, il suffira de travailler sur soi et d’avoir de la volonté pour apprendre à se contrôler.

Symptômes du stress

Le stress est néfaste. Il ruine la qualité de vie et provoque le mal-être. Il faut impérativement l’évacuer pour retrouver un sentiment de quiétude. Être stressé fait grimper le taux de cortisol, principal responsable de la prise de poids. Par ailleurs, le stress est un réel danger pour la santé pour déclencher de nombreuses pathologies.

Les symptômes du stress sont nombreux : il prend les « tripes », il fait perdre ses moyens, il accélère les battements cardiaques, il créé des angoisses, il augmente la tension artérielle, il pulse la circulation sanguine, etc… Ces signes sont mal vécus par la personne qui subit le stress.

Mais alors, comment déstresser pour vivre mieux ?

Découvrez 6 méthodes pour déstresser :

• Aller prendre l’air et marcher pendant 15 minutes pour se vider la tête et s’oxygéner.
• Faire la respiration carrée pour stopper le stress en 1 minute chrono ! Cette méthode pour déstresser est efficace !
• S’entrainer à rester positif. Cette « positive attitude » enraye les épisodes de stress.
• Faire des postures de yoga déstressantes pour se séréniser. Ca marche !
• Pratiquer la méditation pour garder la maîtrise de soi. Une bonne solution pour éviter le stress.
• Faire de l’activité physique régulièrement permet d’équilibrer le mental et de réguler les émotions.

A chacun sa technique pour déstresser en fonction de son caractère. Laquelle choisissez-vous ?

Qu’est-ce que la règle du 10-10-10 ?

La règle du 10-10-10 se base sur le questionnement du :

• quelles seront les répercussions de ma prise de décision dans 10 minutes ?
• quels seront les impacts de mon choix dans 10 mois ?
• quels seront les résultats de cette solution trouvée dans 10 ans ?

De fait, le premier « 10 » constitue le temps « ici et maintenant ». Le deuxième « 10 » aborde le proche avenir. Enfin, le troisième « 10 » relève d’un temps si lointain qu’on ne peut pas toujours mesurer les conséquences de sa prise de décision à l’instant présent.

Comprendre la prise de décision raisonnée avec la méthode révolutionnaire du 10-10-10

Le but de la règle du 10-10-10 est de trouver des solutions face à un évènement en gardant la pensée positive et en protégeant notre santé mentale. En ayant cet état d’esprit, le cerveau peut aborder les situations de façon rationnelle. Il prend du recul afin d’opter pour les bonnes décisions. Cette méthode évite de se mettre en stress et en alerte. Le cerveau se remémore les expériences passées résolues pour s’en nourrir et relativiser le fait actuel. En effet, en sachant appliquer la règle du 10-10-10, les fonctions cérébrales apprennent à se raisonner et à se détacher des faits. Ceci dans le but de mieux décider et d’éviter que la personne s’enlise dans des pensées négatives aux proportions exagérées et alarmantes.

Comment prendre les bonnes décisions avec la règle du 10-10-10 ?

Le principe de la méthode du 10-10-10 empêche de gaspiller son énergie et de se monter l’esprit en épingle jusqu’à avoir des pensées tragiques. Elle évite d’envisager les pires scénarios et fait gagner en objectivité en employant la force du positivisme et du rationnel. Elle permet d’être dans un raisonnement analytique. Cette attitude fait prendre les bonnes décisions sans se laisser envahir par les mauvaises ondes émotionnelles.

Pour ce faire, les trois phases pour revenir à la raison sont :

• observer
• analyser
• « peser l’évènement » pour prendre la décision

Conseils pour décider posément avec recul

En adoptant une méthode respiratoire calmante, la personne arrive à se « poser » et à se calmer. C’est le premier réflexe à avoir pour garder la « tête froide » afin d’observer et analyser la situation de façon rationnelle sans être envahi par ses émotions. En effet, les sentiments ressentis peuvent provoquer des réactions néfastes que chacun pourrait regretter. Enfin, après ces deux phases d’observation et d’analyse, la personne peut commencer à se raisonner. Elle optimise ainsi son schéma de pensée pour décider de la meilleure solution. Pour ce faire, elle doit prendre du recul et se projeter afin d’opter pour la meilleure décision.

Maintenant vous savez tout pour prendre les bonnes décisions avec la règle du 10-10-10, c’est à vous de l’appliquer pour vivre mieux !

Le désarroi est une détresse psychique relevant du trouble moral

Le désarroi est un sentiment de détresse psychique et d’impuissance. Cet état psychologique peut entraîner de nombreux troubles physiques, métaboliques et mentaux s’il est persistant. Néanmoins, tout le monde a connu des moments de désarroi dans sa vie. En revanche, ce n’est pas une pathologie psy à proprement dit. C’est un état moral à un instant de l’existence. Bien souvent, la personne se pose mille questions pour se sortir de sa situation. Cette remise en question est ce qui lui permet de rebondir et de dépasser sa détresse. En quelque sorte, son instinct de survie se réveille pour retrouver l’équilibre et la pousser à l’action.

Quels sont les symptômes du désarroi ?

Certains symptômes sont caractéristiques du désarroi. Découvrez les signes de cette détresse psychique :

• les pensées négatives : la personne rumine et ne fait plus le discernement entre positif et négatif pour ne broyer que du noir.
• elle se rejette la faute sans clairvoyance comme obnubilée par elle-même.
• elle perd confiance en elle en ayant le sentiment de ne pas pouvoir surmonter son épreuve.
• elle devient pessimiste ne voyant pas une issue de secours.
• elle plonge dans le désespoir.
• elle change de comportement et a tendance à se replier sur elle-même en éprouvant un sentiment de peur et d’impuissance.
• elle peut être touchée par des troubles de l’humeur et des troubles du sommeil.
• elle peut être victime d’alopécie ou de fluctuations de poids.
• elle manque de concentration et peut rencontrer des difficultés de mémorisation.
• elle peut manquer d’énergie et se réfugier dans le sommeil.
• elle a tendance à disparaître de tout cercle social.
• etc…

Comment soigner la détresse psychique ?

La détresse psychique doit être prise à temps afin d’éviter qu’elle n’évolue vers des pathologies mentales graves. Certaines pratiques de bien-être peuvent enrayer ce trouble moral. De surcroit, nombreuses thérapies telles que les médecines douces et holistiques sont recommandées dans le cas d’une crise morale.

Les pratiques de bien-être pour guérir le désarroi

Le yoga et la méditation sont d’excellentes solutions pour lutter contre le désarroi et reprendre sa vie en main. Elles occupent l’esprit et permettent de se sortir des ruminations. En effet, ces deux disciplines apprennent à prendre du recul et à rester positif.

Les thérapies douces pour combattre la détresse psychique

Les thérapies brèves permettent de retrouver un équilibre psychique bien plus rapidement qu’en suivant une psychothérapie. Par ailleurs, d’autres médecines douces comme l’hypnose, la réflexologie, l’acupuncture ou la sophrologie aident à reprendre sa vie en main et à retrouver la vision positive. Les solutions pour se soigner naturellement contre le désarroi et la détresse psychique sont nombreuses.

Néanmoins, l’essentiel est de se sortir de cette crise morale par le moyen le mieux adapté au caractère de chacun. Toutefois, si elle venait à persister, le blog Yogimag recommande de consulter un professionnel de santé pour éviter qu’elle s’installe et entache la qualité de vie voire dégénère vers des pathologies psychiques plus sévères.

L’importance de l’enfance dans la résilience d’une personne

La capacité de résilience d’une personne à l’âge adulte se construit pendant la période de l’enfance. En effet, pendant cette construction de soi, l’enfant apprend à surmonter toutes les circonstances de la vie qu’elles soient positives ou négatives. Chaque jeune gagne de la confiance en lui en développant sa capacité à résoudre les problèmes.

C’est la raison pour laquelle, il est primordial de donner de la sécurité affective aux enfants et de les élever dans un environnement stable pour leur bon développement mental et leur équilibre psychologique.

Que veut dire résilience en psychologie ?

La résilience est la capacité de gérer psychologiquement les situations positives ou négatives au cours de la vie. Elle permet d’aborder chaque évènement avec discernement et calme en prenant du recul sans se laisser emporter par ses propres émotions.

Cette disposition psychique se construit au cours de l’enfance dans le cadre des relations entretenues avec les parents. A cet effet, la théorie de Boris Cyrulnik révèle ces mécanismes d’auto-protection mettant en lumière l’interaction entre l’attachement et la sécurisation affective. De surcroit, ce neurologue et psychanalyste part du principe qu’il faut renaître de ses souffrances.

Une personne résiliente, c’est quoi ?

Une personne résiliente démontre une aptitude à rebondir face aux évènements de la vie en gardant une vision optimiste. Elle a la force de s’adapter ou de faire face aux situations stressantes, agressives et menaçantes. Elle est dotée de ressources personnelles positives grâce à son ouverture d’esprit en sachant se reconnecter aux vraies valeurs de la vie. Ses expériences du passé dont celles de l’enfance sont les vecteurs de sa capacité à gérer n’importe quelle situation. Son atout est de maîtriser ses réactions émotionnelles tout en ayant la faculté de soutenir son réseau social. La résilience se construit au fil du temps. Néanmoins, ça peut être un trait de caractère inné chez les personnes hypersensibles et les HPE entre autres.

Une personne résiliente est sûre d’elle, elle entretient des relations positives avec son cercle social, elle est réaliste et factuelle afin de trouver des solutions, elle sait gérer ses émotions. Enfin, elle a cette grande capacité à résoudre les conflits ou tous problèmes rencontrés en gardant la pensée positive. Le résilient ne se laisse jamais enrôler par les faits négatifs pour savoir les maîtriser par son assurance.

La peur, c’est quoi ?

La peur est un sentiment de détresse face à un évènement vécu ou à des paroles entendues. Nocive et anxiogène, elle atteint les fonctions physiologiques, comportementales, mentales et physiques. Elle provoque des accélérations cardiaques, des sueurs excessives. Sur le plan comportemental, mettre en alerte les autres peut les immobiliser, les faire fuir ou les amener au combat. Enfin d’un point de vue mental, elle peut faire basculer dans une anxiété maladive avec toutes les conséquences connues. Enfin, semer la terreur entraine des réactions imprévisibles et des pathologies irréversibles.

Pourquoi faire peur aux autres ?

Faire peur aux autres vise à casser leur mental et à obtenir leur obéissance. C’est une forme de manipulation perverse et immorale. La personne qui joue à répandre l’inquiétude est atteinte de la triade noire : narcissisme, machiavélisme et psychopathie. C’est le profil le plus dangereux chez l’être humain.

Créer la peur chez les autres a pour objectif de prendre le pouvoir et de les contrôler en créant un sentiment d’insécurité. Les personnes qui sèment la terreur sont égocentriques, paraissent empathiques mais sont singulièrement menteuses et prêtes à tout pour arriver à leurs fins. Elles se comportent en dictateur pour dominer et régner en maître.

Les politiciens et les grands acteurs de ce monde n’hésitent pas à user de ce stratagème pour arriver à leurs buts et concrétiser leurs plans.

Semer la peur est un moyen de soumettre les autres pour atteindre ses objectifs.

L’instrumentalisation de la peur, c’est quoi ?

L’instrumentalisation de la peur mène à l’hystérisation des autres par le sentiment d’insécurité. Elle a pour but de mettre les personnes en état de soumission afin de mieux les tenir et d’en obtenir ce que l’on veut. Néanmoins, l’instrumentalisation peut avoir un revers de la médaille dangereux pour celle ou celui qui la pratique à ses propres fins.

Quel est le but de la stratégie de la peur ?

La stratégie de la peur est la polarisation des autres ayant pour finalité de renforcer une cohérence intéressée et durable du semeur de troubles.

La politique de la peur c’est faire obéir les gens. Cette stratégie peut se retourner contre le semeur de terreur. En effet, soit le groupe touché exécute les volontés du semeur d’angoisses, soit il se rebelle et se soulève contre l’élément perturbateur.

Les dangers encourus pour le semeur de troubles

La tactique de faire peur est une stratégie dangereuse pour les « fouteurs de troubles ». En effet, cette stratégie peut se retourner contre eux au moment le plus imprévu. De surcroit, elle peut faire l’objet de destitutions, de plaintes, d’attaques, de rebellions voire d’esprit de vengeance par les personnes touchées pour s’être senties abusées et atteintes moralement.

Le roi de France Louis XVI, considéré comme tyrannique et manipulateur a mal terminé son règne. Il multiplia les impôts par 4, remplaça les membres de ses armées et de l’administration par ses proches… Il finit décapité suite à la révolte française pour proclamer la république. Le but fut d’éteindre le pouvoir du roi et de faire cesser ses manoeuvres avec les puissances étrangères entre autres.

En conséquence, manipuler par quel que moyen qu’il soit comme la peur n’est pas la bonne stratégie pour obtenir ce que l’on veut de personnes, d’un peuple, d’un public, d’une assemblée que ce soit en société, en privé ou en entreprise… C’est prendre des risques incalculés face aux réactions sous-jacentes des autres qui pourraient avoir des répercussions dangereuses à l’encontre du semeur de troubles.

Comment lutter contre le manipulateur qui sème la terreur ?

En tout premier lieu, il faut connaître la cause ou le générateur des craintes vécues. Deuxièmement, il faut se rappeler le passé en effaçant le contexte actuel en remodelant les souvenirs pour revenir à la réalité exempte de toute manipulation. Enfin, il faut décroitre ses peurs pour rééquilibrer ses émotions en vue de retrouver sa rationalité, de reprendre ses esprits et de ne plus se laisser dominer par le semeur de troubles.

Par ces réactions, le semeur de peurs sera désarçonné et dénoncé par tous. L’union fait la force pour contrer ce genre de personnage. Son pouvoir sur les autres sera affaibli en sus de ne pas atteindre ses objectifs pour avoir été débusqué et stoppé dans son ascension machiavélique.