Qu’est-ce qu’une banque ?

La banque est une institution financière qui permet d’avoir un compte courant, d’assurer toutes les transactions, d’accorder des crédits et de collecter de l’épargne. Elle doit mettre à disposition du client l’intégralité de ses fonds conformément aux contrats conclus entre les deux parties. Mal encadrée, elle peut être source de crise financière voire de faillite personnelle pour les particuliers et de liquidation judicaire pour les entreprises. En conséquence, il faut toujours réfléchir avant de contracter avec une banque en ligne.

Abus des banques en ligne

Il existe plusieurs scénarios caractéristiques d’une banque à distance abusive, le grand inconvénient est que vous n’avez pas de conseiller dédié et de fait, vous un numéro parmi tant d’autres :

• des virements bloqués débités du compte émetteur et jamais crédités sur le compte receveur. Si cette pratique est à répétition, il faut surtout être en alerte de ces techniques suspicieuses de l’organisme bancaire.
• Un virement refusé par la BAD alors que le compte est solvable mais débité sans être recrédité sous 24 heures.
• des demandes de justificatifs abusives malgré les preuves fournies pour effectuer un virement. Il faut savoir qu’au-delà de 8 000 €, la banque peut réclamer des justificatifs. En-dessous de ce montant, les virements sont libres à ce jour.
• blocage des fonds à l’arrivée d’un salaire sur un compte pour suspicion à l’encontre de l’émetteur.
• non-respect des clauses du contrat.
• des frais bancaires abusifs.
• changement des tarifs sans respecter le délais de 90 jours avant la date d’échéance.
• un montant prélevé sans accord préalable du détenteur de compte
• des retraits bloqués malgré un compte créditeur et n’ayant pas dépassé la limite d’autorisation de transactions.
• Fermeture de compte non motivée du propre chef de la banque sans aviser le client.

En revanche, la banque a le devoir de surveiller toute transaction notamment concernant les opérations complexes, inhabituelles ou d’un montant trop élevé.

Cet organisme financier fixe lui-même ses règles de contrôle. Il peut réclamer une pièce d’identité pour les retraits au guichet, un justificatif de domicile en dehors de l’Union Européenne, des justificatifs de revenus dans le cadre d’un emprunt, etc…

Néanmoins, pour des virements courants de compte à compte entre époux par exemple, la banque n’a pas lieu de demander des justificatifs à chaque transaction compte tenu qu’elle connait ses clients et leurs habitudes. Dans le cas de blocages redondants, cela pourrait être qualifié d’abus.

Expériences et avis relevés sur les conflits avec les banques à distance

« fonctionnaire, ma banque en ligne a refusé mon salaire prétextant que c’était une somme de provenance suspicieuse. Il est reparti à l’envoyeur me laissant sans ressource.. Sait-elle qui paie les fonctionnaires ? Il n’y a plus sûr comme source me semble-t-il… »

« 10 ans que j’ai le même employeur et que je fais des virements à mon épouse de compte à compte comme toute gestion légitime d’un couple. J’ai décidé de prendre une banque à distance. Depuis nous sommes dans le rouge pour rétention des montants virés et recrédités des semaines après… »

« Au début tout était parfait jusqu’au jour où ma banque en ligne m’a demandé à chaque opération des justificatifs. C’est devenu un enfer. Mon argent ne m’appartient plus, je ne maîtrise plus rien… »

« Ma banque a refusé un virement de 100 € fait à mon fils me demandant des justificatifs de fou. Quel est le problème ? »

Comment signaler une banque à distance abusive ?

Les réclamations pour abus ou excès de zèle sont en pleine explosion surtout depuis l’arrivée des banques à distance : Noelse, Monabanq, Hello Banq, B For Bank, Fortuneo, Revolut, etc… Malgré les nombreux avantages annoncés, une multitude de clients subissent bien des déconvenues. En conséquence, il existe plusieurs méthodes pour dénoncer leurs pratiques abusives :

• Envoyer une lettre en recommandé avec accusé de réception pour énumérer le litige
• Avoir recours à un médiateur bancaire
• Déclarer le litige sur Signal Conso bien que le constat est qu’il n’y a jamais de suites pour l’avoir utilisé
• Signaler à l’ACPR l’infraction
• Adhérer à des associations puissantes comme « 60 millions de consommateurs » qui sont susceptibles de vous aider dans vos démarches…
• Demander de l’aide à des émissions spécialisées pour qu’ils résolvent votre problématique, une mauvaise pub n’est jamais bonne pour toute entreprise…

N’hésitez pas à laisser un commentaire sur votre expérience pour aider la communauté sur les pratiques litigieuses des banques en ligne…

« Après une grande considération de votre profil, nous avons retenu d’autres candidatures plus en adéquation avec le poste…nous vous remercions de votre intérêt… » Telle est la lourde sentence redondante du cinquantenaire ou soixantenaire postulant à des annonces.

De fait, la « génération avant retraite » se sent condamnée quel que soit son niveau hiérarchique. De Jules qui travaillait en usine à Marie ex-comptable salariée ou Pierre qui dirigeait, tous sont logés à la même enseigne. Pourtant ces trois profils étaient d’excellents collaborateurs et pourraient devenir des piliers référents en entreprise.

Par conséquent, que se passe-t-il en France pour rejeter les plus expérimentés contrairement aux Etats-Unis où ils sont embauchés pour leurs acquis professionnels et cette compréhension de transmission des connaissances aux plus jeunes générations ?

L’hérésie du recrutement actuel concernant l’emploi des seniors

Débutants : pas assez expérimentés. Seniors : trop expérimentés et donc trop cher à rémunérer. Il ne reste plus que la tranche des 30-49 ans. Les anciens sont désormais dans l’obligation de naviguer de petits boulots en petits boulots pour survivre avec un gouvernement qui les laisse en état de détresse.

Contrairement aux générations précédentes, ces nouveaux seniors ont encore des enfants à charge dont certains paient toujours leurs études. D’autres continuent à rembourser leurs échéances logement jusqu’au moment où ils seront pris à la gorge. Embaucher les seniors est devenu un acte citoyen et vital.

L’effort des seniors pour être recrutés

On note un effort de la part des seniors. En effet, malgré des prétentions à la baisse, ils n’arrivent pas à décrocher un emploi. Les entreprises restent réfractaires à leurs candidatures. La tendance est aux quarantenaires qui ont le vent en poupe. Les ordres de la Direction sont clairs et indérogeables : ne recruter qu’en dessous de l’âge de 50 ans.

En effet, selon l’APEC, les cadres seniors sont les plus touchés par le chômage longue durée (33%). L’agisme qui sévit finit par être une fatalité si le gouvernement ne réagit pas. Néanmoins, pour prétendre à un départ à la retraite, il faut justifier d’un certain nombre de trimestres. En conséquence, la génération des 50-67 ans sera-t-elle privée d’une retraite à taux plein et contrainte de partir à la retraite plus précocement pour survivre avec un minima. Décidément, aujourd’hui il ne fait pas bon d’avoir dépassé les 50 ans en France ! C’est la génération sacrifiée.

De surcroit, suite aux faillites qui n’en finissent plus et tenant compte que plus de 25% des dirigeants ont dépassés l’âge de 60 ans. C’est à nouveau les seniors qui prennent de plein fouet la crise économique. Ils se retrouvent endettés et sans aucune rémunération ni société à revendre pour se faire un pécule retraite. L’attitude des recruteurs et la conjoncture actuelle ruinent conjointement la vie des seniors. Pourtant, malgré le dynamisme de cette tranche d’âge et un esprit resté jeune et alerte, force est de constater que les seniors sont rejetés dès la lecture de l’entête de leur CV.

Pourquoi les entreprises refusent d’embaucher les seniors ?

Nonobstant leurs difficultés de recrutement, les entreprises refusent d’embaucher les seniors. Les préjugés sont bien ancrés en France :

• trop vieux
• trop cher
• plus lent
• inefficace
• sera en arrêt maladie régulièrement
• moins mobile
• etc…

La mise à l’écart des seniors dans le monde du travail est un réflexe purement français contrairement aux voisins européens. Pour exemple, la masse salariale senior ne représente que 10 % concernant les plus de 50 ans dans le secteur de l’informatique. Comme si les « vieux » n’étaient pas jeunes et réactifs aux nouvelles technologies. Pourtant, ils ont su s’adapter à l’évolution de la téléphonie, des ordinateurs, des nouvelles technologies, à l’apparition des moteurs de recherche et maintenant de l’IA.

Une autre idée reçue infondée des employeurs est qu’ils sont réputés frileux à une mutation professionnelle. La cinquantaine peut être l’âge où nombreux considèrent que changer de lieu de vie peut être une réelle opportunité. Par ailleurs, leur rapidité d’exécution et de prises décisionnelles avec clairvoyance en sus de leur motivation accrue n’ont rien à envier aux jeunes générations. Ils ont l’expérience et cet engagement indéfectible !

Le constat est éloquent : les recruteurs français considèrent que passé 50 ans, c’est une potentielle masse salariale périmée quel que soit l’échelon. A quand le changement des mentalités des recruteurs ? Quand le gouvernement interviendra-t-il pour motiver et faciliter l’embauche des seniors ?

Rompre les liens avec sa famille : un sujet tabou

Les familles ont tendance à ne pas parler de cette rupture intrafamiliale. En effet, ce sujet parait comme un interdit sur lequel personne ne souhaite communiquer. Quels que soient les liens familiaux, ce désir d’éloignement familial est de plus en plus fréquent. Ces cassures familiales sont générées autant par les enfants que par les parents dont le souhait est de s’éloigner les uns des autres.

Le constat est que de plus en plus de liens familiaux sont volontairement coupés pour mieux vivre. Nombreux pensent que ce sort est réservé aux autres et pourtant !

Pourquoi couper les ponts avec sa famille est un phénomène en augmentation ?

Cette volonté de casser les liens avec la famille est liée à plusieurs raisons. Les sociologues relèvent que ce phénomène est de plus en plus courant ces dernières décennies. Mais alors, pourquoi couper les ponts avec sa famille est en augmentation ?

Les raisons de la rupture familiale à l’initiative des enfants

Le souhait de sortir d’un milieu familial trop strict

Certaines familles sont contraignantes et étouffent leurs descendants par des obligations qui ne leur correspondent plus. En effet, elles sont considérées comme hors du temps et ringardes par les plus jeunes générations. Cette relation toxique oblige certains enfants à couper les ponts avec leurs parents.

La volonté de fuir la solidarité familiale

Les enfants ont tendance à fuir la solidarité familiale pour mener leur propre vie sans contrainte. Les nouvelles générations comme la Gen Z ont adopté de nouvelles normes familiales comme ont pu le faire leurs parents en cassant le schéma de la famille en divorçant ou en adoptant une union libre.

La montée de l’individualisme

La grande tendance est de ne penser qu’à soi. Depuis les années 2000, la montée de l’individualisme pour être soi-même, se révéler et accélérer son développement personnel est en hausse. Les dernières générations considèrent la relation aux autres comme secondaire.

Le besoin de casser les liens avec un passé douloureux

Les conséquences d’un divorce peuvent conduire les enfants à rompre tout lien avec l’un et/ou l’autre de leurs parents. Une belle-mère manipulatrice qui tronque la vraie version d’un divorce au profit du père des enfants en vue de décrédibiliser la mère engendre bien souvent une rupture volontaire des liens mère/enfants.

L’envie de rompre avec les violences du passé pour se reconstruire

Selon les psychiatres, il est courant qu’une personne ayant subi des sévices sexuels ou des violences physiques dans son enfance ou son adolescence veuille couper les ponts avec sa famille pour se débarrasser de ce lourd fardeau. En effet, cela lui permet de recommencer sa vie à zéro telle qu’elle le conçoit. C’est un moyen de rompre avec ce lourd passé qui l’empêche de vivre sereinement et de chasser les idées négatives de son existence.

Le manque de compréhension sur le choix de vie

Certains parents ne comprennent pas le choix de vie de leurs enfants. Ils essaient de les raisonner malgré les fortes convictions de leur descendance. C’est une erreur qui nuit à la communication et peut engendrer de réelles douleurs conduisant à la rupture familiale. C’est notamment le cas pour les homosexuels ou encore les personnes non binaires dont ces choix peuvent paraître insensés aux yeux des parents.

Les causes de cassures familiales des parents avec leurs enfants

Le manque de reconnaissance

Les parents sont souvent contraints à l’abnégation pour aider leurs enfants notamment financièrement pour leurs études coûteuses. Les enfants non reconnaissants peuvent subir l’éloignement familial des parents lorsque ceux-ci sont dans le déni des privations de leurs géniteurs.

Des enfants irrespectueux

Certaines descendances se plaisent à accumuler les remontrances envers leurs parents. Elles se comportent en sachant tout sur tout ce qui peut blesser le père ou la mère. Les réflexions et les reproches s’additionnent jusqu’au jour où c’est la parole de trop conduisant l’adulte à la rupture avec sa progéniture.

Une descendance manipulée dans le cadre d’un divorce

Ce cas de figure est courant dans le cadre d’un divorce ou d’une séparation. L’un des parents peut rompre les liens avec ses enfants lorsque ceux-ci sont manipulés et entendent de fausses accusations qu’ils répercutent sur le parent attaqué à tort. En effet, celui-ci fuit la destruction de sa descendance victime de « fake infos ».

L’indifférence des enfants

Nombreux enfants omettent de communiquer avec leurs parents une fois partis du nid familial. Ils vivent leur vie tels des égoïstes oubliant de donner de leurs nouvelles et en prendre de leurs géniteurs. Les parents peuvent éprouver un sentiment de rejet et d’indifférence les conduisant à couper les ponts avec leurs enfants.

Couper les ponts avec sa famille : un moyen de se ressourcer pour mieux revenir

Pourquoi couper les ponts avec sa famille est en augmentation ? Parce que la vie est de plus en plus complexe à vivre. L’éloignement géographique y contribue assurément. S’éloigner de sa famille est une attitude positive et courageuse. Cela permet de « prendre l’air » pour mieux revenir dans la plupart des cas. Il faut accepter cette situation et continuer à vivre. Un jour le téléphone sonne, un SMS arrive ou la sonnette de la porte retentit pour mieux redémarrer sa vie de famille en ayant tiré leçon du passé.

La vie de famille est loin d’être un long fleuve tranquille !

Les signes d’un chien dominant

Un chien dominant se montre agressif. Il pourrait mordre son propriétaire. Il n’a qu’une idée en tête : être le leader. Son port altier aux airs supérieurs est révélateur. Sa tête droite qui fixe dans les yeux et qui ne lâche pas est un signe de domination. Lorsqu’il relève les babines pour montrer ses dents, c’est pour dire attention. Il a tendance à s’attaquer aux plus faibles et à semer la terreur pour être le maître en toute situation. Le chien dominant est un réel danger au quotidien.

Il aime intriguer pour mieux régner. Il a la capacité de décoder les personnes qui l’environnent pour en abuser et leur faire peur. Le toutou dominant hérisse ses poils face à ses congénères pour s’imposer et leur faire comprendre qu’il est le plus fort. De plus, il est capable de passer à l’attaque sans prévenir.

En dernier lieu, que ce soit une petite ou une grande race, les chiens sont tous merveilleux. Une bonne éducation est la garantie d’une vie remplie pleine de bonheur avec son compagnon à quatre pattes.

Comment éviter d’avoir un chien dominant ?

Le détenteur d’un chien dominant est personnellement responsable pour ne pas avoir su l’éduquer. Découvrez ce qu’il faut faire pour éviter d’avoir un chien dominant.

Les interdictions pour qu’il prenne sa place au sein de la famille

• Il faut l’éduquer et le laisser à sa place de chien. En effet, un chien n’est pas un humain et doit rester à sa place d’animal.
• Lui interdire les canapés et les lits. Le chien a son panier, c’est son lieu pour se reposer. Les fauteuils sont réservés uniquement aux maîtres. S’il prend l’habitude dès tout petit, il lui sera normal de rester à terre, sur le tapis ou dans son panier.
• L’habituer à attendre pour manger ou boire. Le chien doit apprendre des ordres. Par exemple, lorsque vous lui donnez à manger ou à boire, il faut mettre en place un scénario progressif. Assis, attends, mange. Ces 3 ordres lui apprennent à se maîtriser et à écouter son maître qui lui donne l’accord d’accéder à ses gamelles.
• Ne pas réclamer à table. L’animal doit comprendre que notre assiette n’est pas la sienne et qu’il doit attendre sagement en s’occupant ou dormant lorsque la famille se restaure.

L’attitude du maître pour éviter d’avoir un chien dominant

• Le disputer s’il fait une bêtise. Comme un enfant, si le chien fait une bêtise, il doit être puni. Pour ce faire, le maître doit faire des yeux en colère, hausser le ton en prenant une grosse voix et le punir avec autorisation de sortir de son lieu de punition quand lui seul le décide. Par conséquent, ce n’est pas au chien de décider de lever la punition même s’il fait des mimiques pour vous faire rire ou vous attendrir. Le maître doit être inflexible.
• Calmer ses impatiences. Le chiot a tendance à être empressé et à sauter. C’est la raison pour laquelle, il faut lui apprendre à se maîtriser et à se calmer. Le chiot comprend et s’assagit rapidement si le maître lui parle posément avec une voix sereine. A l’âge adulte, il sera zen et saura se contrôler sans agressivité.
• Lui donner envie d’obéir aux ordres. Le jeu est idéal pour lui apprendre des ordres de façon ludique. Un chien équilibré aime faire plaisir à ses maîtres. Lorsque vous lui donnez un ordre et qu’il l’exécute, il faut prendre une voix aigüe et lui dire « oui ! C’est bien » et le caresser. Il faut recommencer régulièrement de manière à ce qu’il s’habitue à obéir naturellement.
• Avoir une main de fer dans un gant de velours. Avoir un chien, c’est avoir un comportement équilibré et juste. L’animal le sera en retour pour être éduqué sainement.
• Valoriser l’attitude positive du chien. En effet, le fait de lui dire qu’il s’est bien conduit et qu’il a été sage lui fait comprendre qu’il a bien fait. De fait, il sera tenté de recommencer pour faire plaisir à ses maîtres. C’est le cas quand on le laisse seul ou qu’il a résisté à une tentation.
• Avoir du bon sens. Lorsque l’on décide d’adopter un chiot, il suffit d’avoir du bon sens pour l’éduquer correctement. Trop le gâter et trop l’écouter est une erreur fondamentale car il en jouera.

Les erreurs à ne pas faire pour éviter d’avoir un chien dominant

• Ne pas le récompenser avec des friandises sous peine qu’il n’obéisse plus en leur absence. Ce phénomène de mode est controversé. Les chiens sont éduqués à la voix depuis la nuit des temps.
• Ne pas le considérer comme un enfant. Le chien n’a pas besoin qu’on lui parle du matin au soir. Il pourrait se comporter en enfant gâté voire déraper dans son attitude notamment dans sa volonté de dominer.
• Ne jamais utiliser la force ni la violence sous peine de déclencher un comportement agressif et d’augmenter l’anxiété ou le stress de son animal. L’agressivité du maître pourrait rendre le chien attaquant avec sa famille et envers ses congénères.
• Avoir une attitude de maître dominant. Le chien reçoit le message de la domination et peut la restituer en retour.

Désormais, vous savez tout pour ne pas avoir un chien dominant, c’est à vous d’adopter la bonne attitude et de vous conduire en maître responsable !

En cas de doute n’hésitez pas à consulter votre vétérinaire ou l’éleveur pour avoir plus de conseils.

Quel amour vis-tu ?

L’amour se construit à deux. En effet, chacun structure sa relation de couple en fonction de son caractère et du profil de son conjoint. Le tempérament et la recherche de certains critères dans l’autre jouent un rôle prédominant dans l’amour que vous vivrez. Néanmoins, comme vous pourrez le constater, il n’est pas toujours vrai qu’il faille un dominé et un dominant dans une relation amoureuse.

Les différentes formes d’amour

L’amour libre

Ce profil amoureux donne droit à toutes les escapades en terme de relations intimes tout en restant en couple. Cet amour est sans engagement de fidélité mais peut être très solide contrairement aux idées reçues. Il est sans contrainte et permet toutes les formes d’amour.

L’amour pervers

Ce type de relation amoureuse est complexe et relève de la psychologie. L’un est dominé par l’autre qui lui inflige des remarques et des remontrances. En quelque sorte, même s’il y a de l’amour, le manipulateur tient sa victime de manière à ce qu’elle fasse et devienne ce qu’il exige en jouant de ses sentiments qu’il détient entre ses mains. Il est bien évident que celui qui subit l’autre n’est pas heureux étant dans le déni de ce qu’il vit. Toutefois, il voue un amour inconditionnel à ce conjoint maléfique. Pourtant les dés sont faussés et les douleurs psychiques s’enchainent au quotidien ce qui peut en faire une relation destructrice.

L’amour inconditionnel

Cette forme d’amour consiste à un besoin irrépressible d’être avec sa moitié. C’est une quelque sorte une attitude de psycho-dépendance puissante liée à la force des sentiments éprouvés. Cette relation s’apparente aux inséparables, ces oiseaux qui vivent fidèlement en couple et qui au décès de l’autre se laissent mourir. Cette relation peut être douloureuse mais elle est belle et puissante voire indestructible bien que pouvant mener à l’abnégation.

L’amour platonique

Ce profil d’amour peut être exempt de toute relation physique. La relation est plutôt d’ordre métaphysique et spirituel. Le couple se construit autour de la tendresse et d’une affection invulnérable en partageant des valeurs communes telles que la fidélité, la complicité et le bonheur. Les relations sexuelles ne sont pas la priorité.

L’amour conditionné

Bien souvent, les couples vivant dans le conditionnement ne sont pas épanouis. Ils restent ensemble par obligation financière, de peur de la séparation, pour les enfants, etc… Ces couples ne communiquent plus ou pour le strict essentiel et n’ont plus d’atomes crochus. Certains poussent cette relation jusqu’à la détestation de l’autre ce qui peut engendrer une relation survoltée.

Quel amoureux es-tu ?

La construction de notre comportement amoureux se joue dès la plus tendre enfance. En fonction de l’éducation reçue et du vécu, chacun modélise son profil amoureux selon un idéal. La perception de parents en conflit peut entraîner une attitude violente en couple. Vivre auprès de parents aimants donne les bases pour répéter ce style d’amour bienveillant à l’âge adulte.

Quel profil amoureux es-tu ?

Découvrez 5 profils amoureux :

• Le semeur de troubles en amour : ce profil énergique n’a de cesse que d’atteindre ses objectifs et réussir quoi qu’il en coûte. Il est extrémiste et n’hésite pas à faire des choix entre le coeur ou le sexe.
• Le peureux en amour : ce profil se retranche derrière sa moitié et laisse l’autre prendre toutes les décisions. Il n’aime pas « se mouiller » et n’a qu’une obsession être toujours aimé.
• Le dominant en amour : ce profil a besoin de tout contrôler. Il met tout en oeuvre pour maîtriser la vie de l’autre, ses fréquentations, ses actes, etc… Il préfère tout quadriller pour anticiper d’éventuels évènements.
• Le dévoué en amour : ce profil amoureux donne le meilleur de lui-même pour que son couple soit serein. Cette personne est dans l’abnégation au profit de sa relation.
• Le timide en amour : ce portrait amoureux révèle une personne qui a peur de se lancer dans une rencontre. Dans certaines situations, s’il pouvait devenir invisible, il le ferait.

Pourquoi déménager met la santé à rude épreuve ?

Il existe plusieurs raisons de vouloir déménager. Une promotion professionnelle, un nouveau job, une région plus attrayante, un climat plus clément, une séparation ou un divorce, se rapprocher de son conjoint, vivre proche de ses enfants ou pour être plus présent auprès de ses petits-enfants, … Tous ces objectifs provoquent du remue-ménage dans les méninges et mettent le corps à rude épreuve.

Les conséquences d’un déménagement sur la santé

Déménager a de nombreuses répercussions sur l’état de santé tant sur le plan physique que psychique. Le moral peut fléchir, le corps peut souffrir, découvrez les conséquences d’un déménagement sur la santé.

Déménager provoque des douleurs physiques : déménagement et santé ne font pas toujours bon ménage

Le déménagement fatigue. Il faut faire les cartons, les porter, trier les affaires dans de mauvaises postures majoritairement, aller à la déchèterie, nettoyer le logement de fond en comble, etc… A l’arrivée sur le nouveau lieu de vie, il faut recommencer à faire le ménage pour déposer ses affaires puis ranger. Déménager peut provoquer des douleurs dorsales, des claquages ou des muscles froissés. Il faut prendre soin de son corps. Par ailleurs, une forme de somatisation peut apparaître engendrant des douleurs du fait que le mental est chamboulé. En conséquence, mieux vaut privilégier un déménageur pour faire les tâches lourdes.

Les conséquences d’un déménagement sur la santé mentale

Même si ce déménagement est désiré, un sentiment d’insécurité peut naître suite à une perte de repères. S’installer dans un endroit inconnu est souvent source de déséquilibre mental sur une courte durée. Ce déracinement génère la plupart du temps des doutes et des remises en question sur cette prise de décision. De fait, le quotidien est perturbé et les habitudes changent.

En conséquence, le déménagement peut avoir de lourdes répercussions sur la santé mentale. En effet, il vient bouleverser l’équilibre psychique. Il peut entrainer des émotions de joie et de profonde tristesse voire provoquer de sérieuses disputes en couple.

Les soucis financiers liés au changement de vie

Un déménagement réserve toujours des surprises sur le plan financier. En effet, déménager entraine des frais imprévus ce qui met bien souvent les comptes bancaires dans le rouge. Néanmoins, il faut environ 3 mois pour se relever financièrement, alors patience même si le mental s’en trouve affecté pendant cette période. Toutefois, le moral reviendra vite et le corps retrouvera sa forme dès que les comptes seront renfloués et que chacun aura pris ses marques.

Comment l’enfant se développe sur le plan cognitif ?

Dès sa naissance, le bébé franchit plusieurs étapes au fil des semaines. Il apprend la reconnaissance faciale de ceux qui l’environnent, il développe l’ouïe par les voix et les bruits qu’il entend en sus d’intégrer la mémorisation. Le nourrisson est déjà en capacité de prendre le contrôle de lui-même naturellement et d’avoir une attention.

Au fil des mois, sa connectivité fonctionnelle se développe ce qui lui évite d’avoir des troubles cognitifs.

Quelle est l’importance de la stimulation cognitive jusqu’à 6 ans ?

Comme cité précédemment, la stimulation cognitive d’un enfant lui épargne de nombreux troubles. De multiples études sont menées et dévoilent les bienfaits de la sollicitation cognitive dans les premières années de vie. Elles révèlent que cette stimulation augmente le potentiel intellectuel, l’aptitude à se sociabiliser et à se contrôler dès tout petit. De plus, le jeune enfant gagne en équilibre émotionnel pour son bien-être. Enfin, motiver la cognition dès la naissance accroit le pouvoir de mémorisation et la vitesse de traitement de l’information ainsi que la compréhension langagière orale et écrite.

Comment faire pour motiver le tout-petit ?

Le jeu est la première clé pour stimuler l’enfant sur le plan cognitif. Il acquiert de l’autonomie et structure ses fonctions cérébrales de manière ludique. Il se développe, analyse, pense et construit sa logique. Néanmoins, il ne faut pas tomber dans l’hyper-parentalité. En effet, l’enfant a besoin de phases de repos voire d’ennui pour se recentrer sur lui et pour apprendre à s’occuper seul.

Le chant avec le reproduction de gestes est une bonne solution pour solliciter tous les sens d’un enfant. Heureux de reproduire ce que les adultes font, il s’auto-motive et s’auto-satisfait d’y arriver. C’est le départ de la bonne construction de son développement personnel.

Les exercices physiques sont également source de développement cognitif. Pour ce faire, il faut les adapter à chaque âge. L’enfant mémorise chaque posture et les enchaine en enrichissant sa confiance en lui et sa psychomotricité. A cet effet, le yoga pour enfants est idéal. En grandissant, il se lancera des challenges et des défis afin de continuer sa construction.

En conclusion, stimuler la cognition d’un enfant dès son plus jeune âge est positif. Il développera des aptitudes supérieures aux autres qui lui seront bénéfiques tout au long de sa vie.

Pourquoi donner de l’affection à son enfant ?

L’affection d’une maman sur ses enfants impacte sur leur tempérament. En effet, ils sont plus joyeux, plus ouverts, plus sociables et plus stables émotionnellement. L’affection d’une mère sur son enfant a des impacts positifs sur leur caractère à l’âge adulte. Ils éprouvent plus de facilités à se construire et à s’épanouir dans ce qu’ils entreprennent. Cette affection impacte sur leur développement personnel. De surcroit, si ces jeunes en devenir sont élevés dans des milieux environnementaux propices à leur propre expansion, ils s’ouvrent au monde sans tabou et avec envie.

Les conséquences d’une mère donnant de l’affection sur le caractère d’un enfant

Les impacts de l’affection de la mère sur le caractère de l’enfant sont nombreux. Dès sa plus tendre enfance, le petit développe un bien-être général et un équilibre mental. Ils se sent protégé et dans un cocon rassurant. Il peut revenir à la source, sa maman, en cas de besoin. D’après les pédopsychiatres, il aura de meilleurs résultats scolaires, il sera calme et posé, il saura se mettre en réflexion face à un évènement pour prendre les bonnes décisions.

De surcroit, il sera plus enclin à garder son sang froid et manifestera une plus grande confiance en lui. Par ailleurs, il est constaté que l’enfant ayant été aimé par sa mère développe un bien-être, un rapport privilégié aux autres ainsi qu’une bonne santé mentale. Par conséquent, il est dans un bon état général de santé et comportemental.

Alors, chères mamans, donnez de l’amour et de la sécurité affective à vos enfants pour mieux les construire !

Un bonheur bienfaisant pour les deux générations

La relation entre grands-parents et petits-enfants est précieuse pour le bien-être des deux générations. Les grands-parents restent jeunes et alertes. De surcroit, ils sont un repère rassurant pour les plus jeunes générations surtout en cas de séparation des parents. Bien souvent, les petits-enfants apprécient de faire des activités différentes. Ils prennent plaisir à écouter l’histoire de leur famille contée par les plus anciens avec d’autres termes et de nouvelles anecdotes.

Pourquoi la relation entre grands-parents et petits-enfants est-elle si précieuse ?

Les petits-enfants bénéficient d’une attention particulière. Ils ont une affection différente de celle de leurs parents. Les grands-parents ont souvent plus de patience et prennent le temps d’être à leur écoute. Bien souvent, ils s’amusent à faire des petites choses interdites qu’il ne faudra pas révéler aux parents créant une réelle complicité. Les aïeux ne sont pas dupes, ils savent que ce sera répété…

Majoritairement, le rôle des grands-parents est le jeu et le plaisir. Les mamies font des gâteaux ou lisent des histoires tandis que les papis font du bricolage ou expliquent leurs exploits lorsqu’ils étaient jeunes à leur descendance. Les enfants écarquillent leurs yeux et font la bouche ronde buvant chaque parole de leurs aïeux.

Il est constaté que les grands-parents sont plus coulants dans l’éducation de leurs petits-enfants même s’il savent se faire respecter. En effet, ce n’est pas à eux d’assumer le rôle éducatif des parents. Par ailleurs, l’un des bienfaits est qu’ils ont tendance à responsabiliser et à laisser une certaine autonomie, ce qui enchante les jeunes générations.

Les petits-enfants adorent passer des vacances en compagnie de leur mamie et de leur papi. C’est une autre ambiance. Ils savent qu’ils vont être choyés et aimés voire gâtés. Ils sortent de leur schéma familial pour leur plus grande joie. Avec papi et mamie, ils ne font pas la même chose qu’avec papa et maman.

Le lien petits-enfants/grands-parents crée un sentiment de sécurité émotionnelle. Cette relation est basée sur la tendresse et l’affection. Par ailleurs, il est courant de voir les grands-parents s’émerveiller devant l’évolution et les prouesses de leur descendance. Les petits-enfants aiment faire les pitres pour faire rire leurs ascendants. Ils apportent de la gaieté et de la joie dans la vie de leurs grands-parents.

Qu’est-ce que la confiance ?

La confiance mutuelle doit être sans calcul et couler de source. Chacun veille sur l’autre telle sa huitième merveille du monde dans un esprit de bienfaisance et de protection. Savoir faire des concessions pour renforcer le bien-être de la personne aimée est la première clé qui ouvre la voie de la confiance. L’autre partenaire saura respecter la nature de sa moitié sans vouloir le changer en retour. La confiance passe par le respect. Qui dit respecter, dit ne pas mentir, ne pas cacher des évènements, être vrai, ne pas mettre l’autre devant le fait accompli et offrir des sentiments positifs en vue de rendre l’autre heureux.

La confiance est un tremplin pour consolider sa relation de couple

Ce sentiment d’être aimé dans la rassurance et la protection donne des ailes au couple. Le bonheur d’être l’un avec l’autre dans une confiance bilatérale apporte le bien-être à chaque partenaire. Pour ce faire, il faut éviter d’assombrir la vision de l’autre à son égard. En effet, cette perception négative pourrait s’avérer dévastatrice sur la durée du couple surtout si elle est à répétition. De surcroit, elle pourrait engendrer des disputes toxiques pour le couple.

Tout scénario négatif peut être inversé. Rien n’est irréversible à condition que les deux partenaires fassent des efforts.

« Dans l’amour vrai, il n’y a pas de place pour la peur, seulement pour la confiance, la loyauté et le respect mutuel » Jaë L. Phania

Comment mettre l’autre en confiance dans une relation amoureuse ?

Pour faire confiance dans une relation amoureuse, il faut commencer par soi-même. En effet, mettre l’autre en confiance permet d’avoir son retour. Il suffit d’adopter les bonnes attitudes :

1 – La confiance, c’est savoir livrer ses tracas sans tabou. L’écoute de l’autre est rassurante. Il se sent pris en considération et dans la confidentialité. Il saura ne pas couper la parole et être attentif à chaque parole.

2 – C’est pouvoir demander de l’aide ou des conseils à son partenaire quand on est perdu.

3 – C’est respecter ses engagements pour rassurer l’autre.

4 – C’est savoir se mettre entre parenthèse pour laisser place à son partenaire quand il en exprime le besoin.

5 – C’est rester dans la communication même en cas de désaccord.

6 – C’est accompagner l’autre à réaliser ses objectifs pour son propre épanouissement.

7 – C’est décider ensemble après avoir échangé pour éviter que l’autre ne se sente trahi. Les décisions unilatérales sont une entorse à la complicité qui peuvent provoquer la rupture d’un couple.

8 – C’est lorsque le besoin de compréhension et de découverte de l’autre est plus fort que tout. En effet, tout au long d’une vie à deux, on découvre toujours de nouvelles facettes de l’être aimé.

9 – C’est savoir se reposer financièrement sur l’autre dans des situations de détresse comme le chômage, la perte d’une entreprise, etc…

10 – C’est accompagner l’autre dans la maladie sans condition tout en le rassurant : « je suis là ».

11 – C’est tout mettre en oeuvre pour l’épanouissement et le bien-être de son partenaire.

12 – C’est le faire participer à sa vie sociale sans le délaisser.

13 – C’est lui faire confiance sans émettre un sentiment de jalousie ou de reproche.

14 – C’est lui laisser accès à vos moyens de communication : téléphone, portable, réseaux sociaux, etc…

Comment stopper votre méfiance envers votre partenaire ?

La suspicion et la méfiance sont les ennemis du couple. Il faut y mettre un frein illico presto. La compréhension et la communication avec son partenaire sont les premiers alliés de la confiance. Si vous avez un quelconque doute, n’hésitez pas à lui en faire part pour crever l’abcès avant que les émotions ne prennent des proportions indécentes. Pensez aux moment positifs et intimes, aux paroles dites, aux sentiments avoués de votre partenaire pour arrêter ce sentiment néfaste qui pourrait coûter votre vie amoureuse.

Après avoir lu cet article, vous êtes prêt(e) à faire confiance à l’autre dans votre relation de couple !