Rompre les liens avec sa famille : un sujet tabou

Les familles ont tendance à ne pas parler de cette rupture intrafamiliale. En effet, ce sujet parait comme un interdit sur lequel personne ne souhaite communiquer. Quels que soient les liens familiaux, ce désir d’éloignement familial est de plus en plus fréquent. Ces cassures familiales sont générées autant par les enfants que par les parents dont le souhait est de s’éloigner les uns des autres.

Le constat est que de plus en plus de liens familiaux sont volontairement coupés pour mieux vivre. Nombreux pensent que ce sort est réservé aux autres et pourtant !

Pourquoi couper les ponts avec sa famille est un phénomène en augmentation ?

Cette volonté de casser les liens avec la famille est liée à plusieurs raisons. Les sociologues relèvent que ce phénomène est de plus en plus courant ces dernières décennies. Mais alors, pourquoi couper les ponts avec sa famille est en augmentation ?

Les raisons de la rupture familiale à l’initiative des enfants

Le souhait de sortir d’un milieu familial trop strict

Certaines familles sont contraignantes et étouffent leurs descendants par des obligations qui ne leur correspondent plus. En effet, elles sont considérées comme hors du temps et ringardes par les plus jeunes générations. Cette relation toxique oblige certains enfants à couper les ponts avec leurs parents.

La volonté de fuir la solidarité familiale

Les enfants ont tendance à fuir la solidarité familiale pour mener leur propre vie sans contrainte. Les nouvelles générations comme la Gen Z ont adopté de nouvelles normes familiales comme ont pu le faire leurs parents en cassant le schéma de la famille en divorçant ou en adoptant une union libre.

La montée de l’individualisme

La grande tendance est de ne penser qu’à soi. Depuis les années 2000, la montée de l’individualisme pour être soi-même, se révéler et accélérer son développement personnel est en hausse. Les dernières générations considèrent la relation aux autres comme secondaire.

Le besoin de casser les liens avec un passé douloureux

Les conséquences d’un divorce peuvent conduire les enfants à rompre tout lien avec l’un et/ou l’autre de leurs parents. Une belle-mère manipulatrice qui tronque la vraie version d’un divorce au profit du père des enfants en vue de décrédibiliser la mère engendre bien souvent une rupture volontaire des liens mère/enfants.

L’envie de rompre avec les violences du passé pour se reconstruire

Selon les psychiatres, il est courant qu’une personne ayant subi des sévices sexuels ou des violences physiques dans son enfance ou son adolescence veuille couper les ponts avec sa famille pour se débarrasser de ce lourd fardeau. En effet, cela lui permet de recommencer sa vie à zéro telle qu’elle le conçoit. C’est un moyen de rompre avec ce lourd passé qui l’empêche de vivre sereinement et de chasser les idées négatives de son existence.

Le manque de compréhension sur le choix de vie

Certains parents ne comprennent pas le choix de vie de leurs enfants. Ils essaient de les raisonner malgré les fortes convictions de leur descendance. C’est une erreur qui nuit à la communication et peut engendrer de réelles douleurs conduisant à la rupture familiale. C’est notamment le cas pour les homosexuels ou encore les personnes non binaires dont ces choix peuvent paraître insensés aux yeux des parents.

Les causes de cassures familiales des parents avec leurs enfants

Le manque de reconnaissance

Les parents sont souvent contraints à l’abnégation pour aider leurs enfants notamment financièrement pour leurs études coûteuses. Les enfants non reconnaissants peuvent subir l’éloignement familial des parents lorsque ceux-ci sont dans le déni des privations de leurs géniteurs.

Des enfants irrespectueux

Certaines descendances se plaisent à accumuler les remontrances envers leurs parents. Elles se comportent en sachant tout sur tout ce qui peut blesser le père ou la mère. Les réflexions et les reproches s’additionnent jusqu’au jour où c’est la parole de trop conduisant l’adulte à la rupture avec sa progéniture.

Une descendance manipulée dans le cadre d’un divorce

Ce cas de figure est courant dans le cadre d’un divorce ou d’une séparation. L’un des parents peut rompre les liens avec ses enfants lorsque ceux-ci sont manipulés et entendent de fausses accusations qu’ils répercutent sur le parent attaqué à tort. En effet, celui-ci fuit la destruction de sa descendance victime de « fake infos ».

L’indifférence des enfants

Nombreux enfants omettent de communiquer avec leurs parents une fois partis du nid familial. Ils vivent leur vie tels des égoïstes oubliant de donner de leurs nouvelles et en prendre de leurs géniteurs. Les parents peuvent éprouver un sentiment de rejet et d’indifférence les conduisant à couper les ponts avec leurs enfants.

Couper les ponts avec sa famille : un moyen de se ressourcer pour mieux revenir

Pourquoi couper les ponts avec sa famille est en augmentation ? Parce que la vie est de plus en plus complexe à vivre. L’éloignement géographique y contribue assurément. S’éloigner de sa famille est une attitude positive et courageuse. Cela permet de « prendre l’air » pour mieux revenir dans la plupart des cas. Il faut accepter cette situation et continuer à vivre. Un jour le téléphone sonne, un SMS arrive ou la sonnette de la porte retentit pour mieux redémarrer sa vie de famille en ayant tiré leçon du passé.

La vie de famille est loin d’être un long fleuve tranquille !

Le mensonge et la vérité

Le mensonge fait partie du monde adulte. Avant un certain âge, l’enfant n’a aucune notion de mensonge. Il aurait même tendance à dire la vérité sans ménagement. Ne dit-on pas que « la vérité sort de la bouche des enfants ? ». L’enfant a tendance à évincer toute situation déplaisante de son esprit contrairement aux adultes qui agissent sciemment. Toutefois, ne pas dire toute la vérité n’est pas, a fortiori, un mensonge lorsque l’adulte s’adresse à l’enfant. Ca peut aussi être une délicatesse protectrice et de l’amour.

Faut-il mentir ou dire la vérité aux enfants ?

D’une manière générale, il faut éviter de mentir aux enfants. Les tous jeunes ont une capacité à intégrer les évènements bons ou mauvais par leur activité « élastique » cérébrale. Cacher la vérité n’est pas recommandé. Si les adultes apportent la sécurité affective à leurs enfants, ces derniers se construisent et se préparent à tous les évènements qui ponctueront leur vie.

Il ne faut jamais oublier que les enfants sont dotés d’une sensibilité qui leur permet de ressentir les choses tels des éponges. En conséquence, quoi que l’adulte puisse cacher, l’enfant le ressent naturellement. En voulant protéger sa progéniture, l’adulte provoque un malaise et un intérêt à débusquer la vérité. Inconsciemment, le parent met en route le sherlock Holmes qui sommeille en chaque enfant. En effet, s’il venait à découvrir la vérité par lui-même et s’aperçoit que ses parents lui ont menti, il pourrait perdre confiance en eux, leur en vouloir voire se mettre en colère pour se sentir trahi. En conséquence, mieux vaut dire la vérité même s’il y a quelques « omissions volontaires » pour le ménager. Les enfants ont cette capacité innée à se remettre des évènements plus rapidement que les adultes.

La notion de mensonge ou de vérité en fonction des âges

Il faut choisir les bons mots et mettre l’enfant en confiance pour qu’il accueille une situation même déplaisante. Le choix des paroles se fait en fonction de l’âge. En effet, un enfant de deux ans n’a pas la même capacité de compréhension qu’un pré-ado de 12 ans ou un adolescent de 16 ans. Il faut savoir s’adapter à l’âge, ponctuer et tempérer ses propos pour annoncer un évènement.

Mentir ou dire la vérité en cas de changement de vie ?

Dire la vérité, c’est rassurer l’enfant. L’adulte est son pilier et son repère. Les enfants ont besoin d’explications concises avec des paroles rassurantes pour comprendre les situations. Il est courant de constater des crises d’adolescence liées à des cachotteries faites pendant l’enfance. C’est le cas notamment dans les cas de divorce ou d’une perte d’emploi où chaque parent essaie de sauvegarder ses enfants par des non-dits. En agissant de la sorte, l’enfant se fait sa propre idée excepté qu’il a vécu en dehors de la réalité par manque de vérité de ses géniteurs.

Faut-il dire la vérité aux enfants en cas de maladie ?

Dans le cadre de la maladie, il faut aborder le thème en douceur et progressivement sans mentir. L’enfant préfère savoir plutôt que de vivre une inquiétude qui le ronge. Les enfants ont de réelles ressources ainsi que de vraies capacités de compréhension et d’adaptation à une situation donnée.

Faut-il cacher la vérité aux enfants en cas de décès?

Lors d’un décès, mieux vaut dire la vérité avec des mots rassurants. Par exemple, papi ou mamie n’est plus là mais que cette personne chère dans nos coeurs restera toujours près de nous. L’enfant comprend que la personne est décédée. Néanmoins, son parent lui donne la pensée positive. En effet, l’adulte fait comprendre qu’il ne la verra plus jamais mais qu’elle est toujours présente par les souvenirs et l’amour qu’on lui porte, etc… S’il s’agit d’un animal de compagnie, il faudra adopter la même attitude. Même si l’enfant est triste, les paroles vraies et rassurantes de ses parents lui permettent d’avancer malgré cet obstacle qui vient bouleverser sa vie. Agir ainsi, c’est construire les futures générations en leur apprenant à franchir les obstacles avec discernement.

Faut-il dire des mensonges aux enfants sur les faits sociétaux ?

Actuellement, la violence, la dégradation de la planète et les drames sociétaux croissent et provoquent l’éco-anxiété des jeunes. Ils entendent parler de guerre comme on parlerait d’un orage, le gouvernement et les médias ne prennent plus de gants, etc. En espérant que cela ne leur déclenche pas « la guerre des nerfs »…De surcroit, nos enfants ont subi malgré nous et malgré eux les confinements à répétition provoquant des troubles psychiques. De notre point de vue, il ne faut pas mentir à nos jeunes en âge de comprendre mais d’alléger les propos en essayant de les rassurer pour les protéger psychiquement et qu’ils puissent continuer à se construire en croyant à leur avenir.

En conséquence, mieux vaut dire la vérité aux enfants plutôt que de mentir. En effet, le mensonge peut engendrer une anxiété juvénile persistante voire des troubles psychiques à l’âge adulte. Tout se joue dans le « savoir dire » adapté à l’âge pour éviter de provoquer l’inquiétude ou un stress chronique. De plus, si l’enfant pose des questions, il faut y répondre, c’est qu’il a besoin d’explications. Les enfants ont beaucoup plus de compréhension et de ressources que l’adulte peut le penser.

Sommaire

1 – Les cours de yoga enfant

2 – Les postures de yoga adaptées aux enfants

3 – Les vertus du yoga sur l’enfant

4 – Âge de l’enfant pour faire du yoga

5 – Le matériel de yoga pour enfant

L’enfant : un petit yogi qui fait preuve de grande écoute pendant son cours de yoga.

Les professeurs formés à enseigner le yoga auprès des jeunes générations ont de nombreuses cordes à leur arc pour intéresser et captiver l’attention de chaque bambin.

Les cours de yoga enfant

Initier son enfant au yoga permet de développer sa coordination, sa concentration, de faire travailler sa psychomotricité, de lui donner confiance en lui. En réalisant les diverses postures yogi, le petit prend de l’assurance en ayant un sentiment de satisfaction extrême.

En travaillant le souffle, l’enfant apprend à gérer son stress. Le petit finit par savoir gérer ses émotions à la grande surprise de ses parents. En effet, l’apprentissage du pouvoir de la respiration à des vertus probantes.

Les cours de yoga pour enfants ont fait leur entrée dans les écoles afin de développer l’attention de chaque élève en lui offrant un potentiel d’écoute supérieur.

En général, un cours de yoga enfant dure 30 minutes et pour les plus grands juqu’à une heure, la durée est adaptée en fonction de l’âge.

Les postures de yoga adaptées aux enfants

La majorité des postures enseignées à l’enfant ont des noms d’animaux comme le chien assis, le cobra, le papillon, le singe… Cela permet au petit de retenir facilement chaque exercice correspondant à un nom suscitant son intérêt.

Sur son tapis de yoga, le petit exécute chaque asana en ayant la volonté de la réaliser au mieux. Il s’émerveille devant son accomplissement, fier comme un paon !

Le yoga permet aux enfants d’échanger et de s’entraider quand l’un d’entre eux en a besoin. Il facilite la communication des jeunes.

Le yoga est une récréation constructive pour l’enfant.

Les vertus du yoga sur l’enfant

Le yoga apporte l’équilibre physique et mental aux enfants. En effet, les postures font travailler l’équilibre corporel de l’enfant associé à des figures bien concises.

L’enfant gagne en assurance et en concentration au-delà de son activité yoga. Sa motricité alliée au psychique se développe. Il gagne en souplesse et en sagesse dans le cadre d’un apprentissage ludique.

Il apprend à se maîtriser même dans les situations compliquées en respectant les consignes, son enseignant et le groupe. Le professeur de yoga pour enfants initie à la respiration afin que le petit apprenne à gérer ses émotions à tout instant. L’enfant apprend vite et reproduit instinctivement ce qui lui a été enseigné. Il est plus apaisé moins enclin au stress.

Âge de l’enfant pour faire du yoga

Il n’y a pas d’âge pour commencer la pratique du yoga, toutefois l’idéal est à partir de 4-5 ans. Il est assez mature pour comprendre et être motivé. Il a une certaine aisance et habileté dans ses mouvements. Il commence à s’ouvrir aux autres.

En effet, un enfant a certaines perceptions modifiées jusqu’à l’âge de 6 ans notamment l’appréciation des distances, son champ visuel.

Passé cet âge, que l’enfant soit jeune ou adolescent, il n’y a plus d’âge pour la pratique du yoga ! Le yoga enfant construit pour l’avenir.

Le matériel de yoga pour enfant

Il n’y a pas forcément de matériel de yoga spécialement conçu pour les enfants.

Idéalement, offrez-lui un tapis de yoga enfant de la couleur de son choix de dimension standard 183x60x4mm qui l’accompagnera dans l’évolution de sa morphologie.

Optez pour un tapis de longueur standard afin que le jeune ne sorte pas de son tapis en enchaînant ses séries d’exercices. Il sera à l’aise. Garantissez-vous une certification SGS ou Oeko-Tex pour un tapis non toxique.

Comptez un prix de 20€ environ pour un bon tapis de yoga pour enfants. Concernant les accessoires, un sac de yoga sera utile. Le professeur saura donner ses conseils aux parents souhaitant équiper leur enfant d’un équipement de yoga. A noter que l’enfant équipé est particulièrement motivé pour pratiquer !