Tout savoir sur les enfants | Blog.yogimag.fr https://blog.yogimag.fr/category/vie-au-quotidien/enfants L'actualité bien-être, santé et sociétale Sat, 03 May 2025 16:26:53 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://blog.yogimag.fr/wp-content/uploads/2024/11/cropped-blog-yogimag-bien-etre-sante-yoga-32x32.jpg Tout savoir sur les enfants | Blog.yogimag.fr https://blog.yogimag.fr/category/vie-au-quotidien/enfants 32 32 L’importance de la stimulation cognitive jusqu’à 6 ans https://blog.yogimag.fr/57453-l-importance-de-la-stimulation-cognitive-jusqu-a-6-ans.html https://blog.yogimag.fr/57453-l-importance-de-la-stimulation-cognitive-jusqu-a-6-ans.html#respond Sat, 03 May 2025 16:17:55 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=57453 Le développement cognitif du jeune enfant doit être sollicité dès sa naissance. En effet, l’importance de la stimulation cognitive jusqu’à 6 ans est fondamentale pour le bon développement cérébral et les capacités d’apprentissage.

Comment l’enfant se développe sur le plan cognitif ?

Dès sa naissance, le bébé franchit plusieurs étapes au fil des semaines. Il apprend la reconnaissance faciale de ceux qui l’environnent, il développe l’ouïe par les voix et les bruits qu’il entend en sus d’intégrer la mémorisation. Le nourrisson est déjà en capacité de prendre le contrôle de lui-même naturellement et d’avoir une attention.

Au fil des mois, sa connectivité fonctionnelle se développe ce qui lui évite d’avoir des troubles cognitifs.

Quelle est l’importance de la stimulation cognitive jusqu’à 6 ans ?

Comme cité précédemment, la stimulation cognitive d’un enfant lui épargne de nombreux troubles. De multiples études sont menées et dévoilent les bienfaits de la sollicitation cognitive dans les premières années de vie. Elles révèlent que cette stimulation augmente le potentiel intellectuel, l’aptitude à se sociabiliser et à se contrôler dès tout petit. De plus, le jeune enfant gagne en équilibre émotionnel pour son bien-être. Enfin, motiver la cognition dès la naissance accroit le pouvoir de mémorisation et la vitesse de traitement de l’information ainsi que la compréhension langagière orale et écrite.

Comment faire pour motiver le tout-petit ?

Le jeu est la première clé pour stimuler l’enfant sur le plan cognitif. Il acquiert de l’autonomie et structure ses fonctions cérébrales de manière ludique. Il se développe, analyse, pense et construit sa logique. Néanmoins, il ne faut pas tomber dans l’hyper-parentalité. En effet, l’enfant a besoin de phases de repos voire d’ennui pour se recentrer sur lui et pour apprendre à s’occuper seul.

Le chant avec le reproduction de gestes est une bonne solution pour solliciter tous les sens d’un enfant. Heureux de reproduire ce que les adultes font, il s’auto-motive et s’auto-satisfait d’y arriver. C’est le départ de la bonne construction de son développement personnel.

Les exercices physiques sont également source de développement cognitif. Pour ce faire, il faut les adapter à chaque âge. L’enfant mémorise chaque posture et les enchaine en enrichissant sa confiance en lui et sa psychomotricité. A cet effet, le yoga pour enfants est idéal. En grandissant, il se lancera des challenges et des défis afin de continuer sa construction.

En conclusion, stimuler la cognition d’un enfant dès son plus jeune âge est positif. Il développera des aptitudes supérieures aux autres qui lui seront bénéfiques tout au long de sa vie.

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Pourquoi l’affection de la mère impacte sur le caractère d’un enfant ? https://blog.yogimag.fr/57374-pourquoi-l-affection-de-la-mere-impacte-sur-le-caractere-d-un-enfant.html https://blog.yogimag.fr/57374-pourquoi-l-affection-de-la-mere-impacte-sur-le-caractere-d-un-enfant.html#comments Wed, 23 Apr 2025 13:49:25 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=57374 L’affection d’une maman a des répercussions positives sur le tempérament de son enfant à l’âge adulte. Cet amour maternel est très important dans le développement et la construction à tout âge. Découvrez pourquoi l’affection de la mère impacte sur le caractère d’un enfant.

Pourquoi donner de l’affection à son enfant ?

L’affection d’une maman sur ses enfants impacte sur leur tempérament. En effet, ils sont plus joyeux, plus ouverts, plus sociables et plus stables émotionnellement. L’affection d’une mère sur son enfant a des impacts positifs sur leur caractère à l’âge adulte. Ils éprouvent plus de facilités à se construire et à s’épanouir dans ce qu’ils entreprennent. Cette affection impacte sur leur développement personnel. De surcroit, si ces jeunes en devenir sont élevés dans des milieux environnementaux propices à leur propre expansion, ils s’ouvrent au monde sans tabou et avec envie.

Les conséquences d’une mère donnant de l’affection sur le caractère d’un enfant

Les impacts de l’affection de la mère sur le caractère de l’enfant sont nombreux. Dès sa plus tendre enfance, le petit développe un bien-être général et un équilibre mental. Ils se sent protégé et dans un cocon rassurant. Il peut revenir à la source, sa maman, en cas de besoin. D’après les pédopsychiatres, il aura de meilleurs résultats scolaires, il sera calme et posé, il saura se mettre en réflexion face à un évènement pour prendre les bonnes décisions.

De surcroit, il sera plus enclin à garder son sang froid et manifestera une plus grande confiance en lui. Par ailleurs, il est constaté que l’enfant ayant été aimé par sa mère développe un bien-être, un rapport privilégié aux autres ainsi qu’une bonne santé mentale. Par conséquent, il est dans un bon état général de santé et comportemental.

Alors, chères mamans, donnez de l’amour et de la sécurité affective à vos enfants pour mieux les construire !

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Mentir ou dire la vérité aux enfants ? https://blog.yogimag.fr/57153-mentir-ou-dire-la-verite-aux-enfants.html https://blog.yogimag.fr/57153-mentir-ou-dire-la-verite-aux-enfants.html#respond Tue, 25 Mar 2025 02:17:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=57153 Mentir ou ne pas dire la vérité aux enfants peut avoir un effet pervers sur leur bon développement psychique même si les évènements vécus peuvent être lourds à porter pour les jeunes générations. Saisir l’opportunité de dire la vérité avec rassurance, psychologie et pédagogie est bénéfique pour la sérénité des enfants. Leur cacher la vérité ou mentir peut avoir des effets néfastes en sus d’engendrer une détresse intérieure. En conséquence, toutes les vérités sont-elles bonnes à dire aux enfants ?

Le mensonge et la vérité

Le mensonge fait partie du monde adulte. Avant un certain âge, l’enfant n’a aucune notion de mensonge. Il aurait même tendance à dire la vérité sans ménagement. Ne dit-on pas que « la vérité sort de la bouche des enfants ? ». L’enfant a tendance à évincer toute situation déplaisante de son esprit contrairement aux adultes qui agissent sciemment. Toutefois, ne pas dire toute la vérité n’est pas, a fortiori, un mensonge lorsque l’adulte s’adresse à l’enfant. Ca peut aussi être une délicatesse protectrice et de l’amour.

Faut-il mentir ou dire la vérité aux enfants ?

D’une manière générale, il faut éviter de mentir aux enfants. Les tous jeunes ont une capacité à intégrer les évènements bons ou mauvais par leur activité « élastique » cérébrale. Cacher la vérité n’est pas recommandé. Si les adultes apportent la sécurité affective à leurs enfants, ces derniers se construisent et se préparent à tous les évènements qui ponctueront leur vie.

Il ne faut jamais oublier que les enfants sont dotés d’une sensibilité qui leur permet de ressentir les choses tels des éponges. En conséquence, quoi que l’adulte puisse cacher, l’enfant le ressent naturellement. En voulant protéger sa progéniture, l’adulte provoque un malaise et un intérêt à débusquer la vérité. Inconsciemment, le parent met en route le sherlock Holmes qui sommeille en chaque enfant. En effet, s’il venait à découvrir la vérité par lui-même et s’aperçoit que ses parents lui ont menti, il pourrait perdre confiance en eux, leur en vouloir voire se mettre en colère pour se sentir trahi. En conséquence, mieux vaut dire la vérité même s’il y a quelques « omissions volontaires » pour le ménager. Les enfants ont cette capacité innée à se remettre des évènements plus rapidement que les adultes.

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La notion de mensonge ou de vérité en fonction des âges

Il faut choisir les bons mots et mettre l’enfant en confiance pour qu’il accueille une situation même déplaisante. Le choix des paroles se fait en fonction de l’âge. En effet, un enfant de deux ans n’a pas la même capacité de compréhension qu’un pré-ado de 12 ans ou un adolescent de 16 ans. Il faut savoir s’adapter à l’âge, ponctuer et tempérer ses propos pour annoncer un évènement.

Mentir ou dire la vérité en cas de changement de vie ?

Dire la vérité, c’est rassurer l’enfant. L’adulte est son pilier et son repère. Les enfants ont besoin d’explications concises avec des paroles rassurantes pour comprendre les situations. Il est courant de constater des crises d’adolescence liées à des cachotteries faites pendant l’enfance. C’est le cas notamment dans les cas de divorce ou d’une perte d’emploi où chaque parent essaie de sauvegarder ses enfants par des non-dits. En agissant de la sorte, l’enfant se fait sa propre idée excepté qu’il a vécu en dehors de la réalité par manque de vérité de ses géniteurs.

Faut-il dire la vérité aux enfants en cas de maladie ?

Dans le cadre de la maladie, il faut aborder le thème en douceur et progressivement sans mentir. L’enfant préfère savoir plutôt que de vivre une inquiétude qui le ronge. Les enfants ont de réelles ressources ainsi que de vraies capacités de compréhension et d’adaptation à une situation donnée.

Faut-il cacher la vérité aux enfants en cas de décès?

Lors d’un décès, mieux vaut dire la vérité avec des mots rassurants. Par exemple, papi ou mamie n’est plus là mais que cette personne chère dans nos coeurs restera toujours près de nous. L’enfant comprend que la personne est décédée. Néanmoins, son parent lui donne la pensée positive. En effet, l’adulte fait comprendre qu’il ne la verra plus jamais mais qu’elle est toujours présente par les souvenirs et l’amour qu’on lui porte, etc… S’il s’agit d’un animal de compagnie, il faudra adopter la même attitude. Même si l’enfant est triste, les paroles vraies et rassurantes de ses parents lui permettent d’avancer malgré cet obstacle qui vient bouleverser sa vie. Agir ainsi, c’est construire les futures générations en leur apprenant à franchir les obstacles avec discernement.

Faut-il dire des mensonges aux enfants sur les faits sociétaux ?

Actuellement, la violence, la dégradation de la planète et les drames sociétaux croissent et provoquent l’éco-anxiété des jeunes. Ils entendent parler de guerre comme on parlerait d’un orage, le gouvernement et les médias ne prennent plus de gants, etc. En espérant que cela ne leur déclenche pas « la guerre des nerfs »…De surcroit, nos enfants ont subi malgré nous et malgré eux les confinements à répétition provoquant des troubles psychiques. De notre point de vue, il ne faut pas mentir à nos jeunes en âge de comprendre mais d’alléger les propos en essayant de les rassurer pour les protéger psychiquement et qu’ils puissent continuer à se construire en croyant à leur avenir.

En conséquence, mieux vaut dire la vérité aux enfants plutôt que de mentir. En effet, le mensonge peut engendrer une anxiété juvénile persistante voire des troubles psychiques à l’âge adulte. Tout se joue dans le « savoir dire » adapté à l’âge pour éviter de provoquer l’inquiétude ou un stress chronique. De plus, si l’enfant pose des questions, il faut y répondre, c’est qu’il a besoin d’explications. Les enfants ont beaucoup plus de compréhension et de ressources que l’adulte peut le penser. 😉

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Apprendre à nager aux enfants pour leur sécurité https://blog.yogimag.fr/56437-apprendre-a-nager-aux-enfants-pour-leur-securite.html https://blog.yogimag.fr/56437-apprendre-a-nager-aux-enfants-pour-leur-securite.html#respond Tue, 18 Feb 2025 17:23:20 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56437 L’eau est partout. Les enfants doivent apprendre à nager au plus vite pour leur sécurité. Ils doivent être en mesure de se redresser dans leur baignoire, d’accepter l’eau dans les yeux sans paniquer.

Pourquoi apprendre à nager aux enfants ?

Savoir nager est important pour la sécurité des enfants. Si l’enfant tombe dans l’eau par mégarde, il saura flotter sans paniquer et bouger ses membres pour se rapprocher du bord. Que ce soit dans un lac, un ruisseau, un torrent, une piscine ou à la mer, les enfants doivent apprendre à nager dès leur plus jeune âge pour éviter les noyades.

Savoir nager, c’est garantir la sécurité des enfants

Selon le site Familynportal, 20% des enfants âgés de 6 à 10 ans ne savent pas nager ! La noyade est la deuxième cause de mortalité chez les enfants après les accidents de la route. Apprendre à nager aux enfants présente de nombreux avantages :

  • l’enfant évite la noyade
  • il connait l’eau et n’en a pas peur
  • nager muscle et assouplit les articulations
  • l’enfant développe la confiance en soi
  • c’est un loisir qui l’équilibre mentalement et lui donne de la joie
  • il se libère de ses pensées négatives
  • il s’amuse à composer des mouvements libre comme un poisson dans l’eau
  • il apprend à gérer ses émotions
  • L’enfant apprend à se dépasser
  • il cherche à améliorer ses performances
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A quel âge un enfant peut apprendre à nager ?

Les séances de bébés nageurs démontrent que l’enfant peut commencer à s’accoutumer à l’eau et à nager dès les premiers mois. A partir d’1 an et demi, il apprend à se mettre en position de sécurité sur le dos en cas de chute dans l’eau. S’il prend le réflexe, il ne paniquera pas parce qu’il en aura l’habitude. A compter de 4 ans, l’enfant est capable de commencer à apprendre les nages comme la brasse, le dos crawlé ou le crawl.

Notre conseil :

La grande erreur que font les parents et certains maîtres nageurs est d’apprendre aux enfants à nager avec des lunettes de plongée. Si l’enfant tombe dans l’eau, il n’aura pas ses lunettes ce qui provoquera sa panique. En conséquence, il faut lui apprendre à nager les yeux ouverts dans l’eau pour sa totale sécurité.

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Solutions pour faire manger les enfants https://blog.yogimag.fr/55843-solutions-pour-faire-manger-les-enfants.html https://blog.yogimag.fr/55843-solutions-pour-faire-manger-les-enfants.html#respond Sat, 01 Feb 2025 02:10:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55843 Les repas avec les enfants sont bien souvent source de conflits entre les parents et les enfants. Il faut renouer d’imagination pour leur faire manger ce qu’ils ont dans leur assiette quand on déroge aux pates ou aux frites. Découvrez nos solutions pour faire manger les enfants en leur faisant découvrir de nouvelles saveurs.

Pourquoi les enfants refusent de manger ce qu’ils ont dans leur assiette ?

Les enfants peuvent refuser de manger parce qu’ils sont malades (fièvre, mal de gorge…). Il ne faut pas insister, il se rattrapera quand il sera guéri. Par ailleurs, leur croissance peut ralentir auquel cas ils auront moins faim. Chers parents, rassurez-vous, un enfant ne se laisse jamais mourir de faim.

Si l’enfant grignote entre les repas, il n’aura plus faim quand il sera l’heure de passer à table. Il faut apprendre à l’enfant à manger aux repas pour éviter le grignotage mauvais pour sa santé et son poids. L’autre phénomène est qu’il teste les limites de ses parents pour obtenir ce qu’il veut manger plutôt que ce qui est dans son assiette. Il ne faut pas céder. Enfin, le dernier scénario est qu’il ne veut pas goûter de nouveaux produits.

Mais alors comment faire pour faire manger les enfants quand ils font des caprices à table ? Notre blog a des solutions futées !

Solutions pour faire manger les enfants

Les idées pour faire manger les enfants sont nombreuses lorsqu’ils refusent le plat présenté. Il faut être stratégique et savoir jouer de phrases magiques. S’il est en crise face à son assiette, il faut garder son calme pour éviter d’attiser sa colère.

Mélanger des aliments qu’il aime avec ceux à découvrir

Notre conseil est de mettre un ou deux aliments qu’il aime avec ceux qu’il doit découvrir. Par exemple, mettez-lui 5 frites avec une cuillère d’haricots verts. Il finira par tout manger.

Lui faire comprendre que le corps a besoin de divers aliments pour la santé

A travers des livres, en échangeant à tout moment de la journée, il est bon de faire comprendre aux enfants l’utilité de la variété des aliments pour que son petit corps fonctionne bien. Dans la majorité des cas, les enfants sont réceptifs à la découverte.

Rendre le repas ludique

En effet, le repas doit être un moment agréable et partagé avec les parents. Pourquoi ne pas l’inviter à mettre la table ou s’il est petit à emmener le pain sur la table. Ca le responsabilise et le prédispose à avoir l’appétit. Il s’assoira à sa place avec plaisir en attendant que les mets arrivent heureux d’avoir participé. Il saura se glorifier en disant « c’est moi qui ai mis la table » !

Le faire participer à l’élaboration des plats

Une autre idée est de le faire participer à la préparation du repas dans la joie. Il goûtera de nouvelles saveurs avec plaisir avec son petit doigt dans la bouche et ses grands yeux tout ronds qui disent « c’est bon, j’en veux encore ».

Faire la course au premier qui aura terminé son assiette

Les repas trainent indéterminément par son refus de manger. Pourquoi ne pas le faire participer à une sorte de compétition pour qu’il soit motivé à finir son assiette. Ce scénario marche souvent. Lorsqu’il a terminé le premier, il faut le féliciter et lui dire qu’il est grand et que c’est bien. Il recommencera la « course » avec plaisir au prochain repas.

Jouer à découvrir les aliments

C’est le moment de lui faire découvrir les saveurs en lui proposant plusieurs aliments. Toujours sous la forme ludique, on joue au « sucré, salé ou acide ». « Goutes et dis-moi si c’est sucré ? » Les enfants aiment gagner, il se dépêchera de répondre avant les autres et par conséquent aura goûté à son plat. L’enfant ne se sent pas contraint et se prendra au jeu volontiers.

Le responsabiliser en le laissant se servir tout seul

Ce principe touche à son gain d’autonomie. Il ne se sent pas forcé par ses parents, c’est l’enfant qui se sert tout seul comme un grand. Il mettra la quantité qu’il veut et finira son assiette avec le sourire aux lèvres heureux et épanoui.

Celui qui a fini son assiette aura un petit bonbon à la fin du repas

En exploitant cette philosophie, les parents jouent avec le système de récompense. Néanmoins, on a dit 1 bonbon ; pas le paquet. C’est une petite gâterie qu’il n’aurait pas eu temps réel à la fin d’un repas mais ça fonctionne.

Idées pour faire manger les enfants : les phrases magiques

Si tu manges des épinards, tu seras fort comme Popeye. Si tu manges des carottes, tu seras belle comme une princesse avec des jolies joues roses. Il ne veut pas des haricots verts ? Présentez-lui cet aliment comme des frites vertes. Ca marche pour l’avoir fait personnellement !

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Conseils pour faire manger les enfants

Notre conseil pour faire manger les enfants est de leur faire découvrir de nombreuses saveurs dès bébé. En effet, son palais s’habituera aux diverses variétés des aliments. Pendant que vous cuisinez, présentez-lui un bout de tomate, de chou-fleur ou de carotte. Il découvrira leur texture avec ses petits doigts et par réflexe les portera à sa bouche pour goûter. En conséquence, votre enfant sera moins difficile que des enfants n’ayant pas eu la chance de goûter des plats variés cuisinés « maison » par papa ou maman.

Ne perdez jamais de vue que le repas doit être un temps de plaisir pour l’enfant sous peine de rejeter ses repas pour vous contrarier. L’enfant sait jouer de ses parents pour les connaître par coeur.

Vous l’aurez compris, les stratégies pour faire manger les enfants sont nombreuses, quelle est la vôtre ? Dites-le nous en commentaire pour aider tous les parents qui lisent cet article sur les enfants. 😉

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L’importance de la sécurité affective sur les enfants https://blog.yogimag.fr/54345-l-importance-de-la-securite-affective-sur-les-enfants.html https://blog.yogimag.fr/54345-l-importance-de-la-securite-affective-sur-les-enfants.html#respond Sat, 04 Jan 2025 02:06:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=54345 La sécurité affective des enfants est un facteur majeur dans leur construction. Découvrez pourquoi l’importance de la sécurité affective sur les enfants joue un rôle essentiel sur leur comportement et l’équilibre de leurs réactions. En effet, elle est déterminante quant à leurs actes et leur caractère tout au long de leur vie notamment à l’âge adulte.

Pourquoi la sécurité affective des enfants est importante sur leur construction émotionnelle ?

Protéger son enfant des dangers de la vie est un réflexe naturel. Néanmoins, il n’en demeure pas moins qu’il doit être en sécurité affective. En effet, pendant ses premières années, l’enfant est dépendant des adultes dont ses parents. Il est en pleine construction depuis sa première heure sur terre. Il nécessite de repères pour harmoniser ses sentiments et ses pulsions. De l’âge de bébé à adolescent, il apprend à réguler ses émotions en trouvant refuge auprès de ceux en qui il a confiance.

L’envelopper de ses bras quand il en a besoin, le cajoler quand il pleure, le réconforter quand il a peur, lui faire comprendre que ce qu’il vient de vivre n’est pas grave, lui dire qu’il a essayé et qu’il a échoué est une étape dans sa future réussite à force de persévérance, le féliciter quand il se surpasse ou recommence pour aboutir, … Tous ces actes relèvent de la capacité de l’adulte à provoquer le calme affectif des tous petits.

Le but de la sécurité affective sur les enfants

Le but de la sécurité affective des enfants est qu’il puisse se référer aux adultes. Il comprend que les « grands » seront toujours là pour le protéger et le chérir. La mère et le père sont ses êtres de prédilection pour qu’il se sente en sécurité. Vient ensuite la famille et les personnes présentes sur son lieu de garde : les nounous, les assistantes maternelles, etc. Chaque lien de l’enfant avec l’adulte représente un cercle de protection. Un environnement précieux dans lequel il peut se réfugier et se construire à tout moment. Il trouve un repère qui l’équilibre émotionnellement.

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Pourquoi la sérénité affective équilibre le comportement des enfants ?

L’enfant sait qui sont les personnes fiables vers lesquelles il peut se réfugier ou leur montrer ce qu’il sait faire de nouveau. Il se plait à leur montrer ses prouesses et à faire le petit singe. Il aime leur dire « t’as vu ce que je fais ? Je suis grand maintenant, je sais faire ça ». Il sait qu’il a un bon public prêt à s’émerveiller devant ses avancées de la vie. En contrepartie, il sait qu’en cas d’échec, il retrouvera la paix intérieure réfugié dans ses bras.

L’importance de la sécurité affective sur les enfants impacte leur comportement, leur équilibre et leur vie à l’âge adulte

Le rôle de l’adulte dans la sécurité affective des enfants est d’être présent dans leurs échecs et dans leurs réussites. Il est d’accompagner leurs tous petits à grandir dans un cadre de confiance et de quiétude.

C’est en cela que l’importance de la sécurité affective sur les enfants agit sur leur comportement, leurs actes, leur construction et leur caractère. D’après les pédopsychiatres, la dépression post-partum doit être enrayée au plus vite car dès sa naissance, le nourrisson demande refuge auprès de sa mère pour se construire. En effet, il a besoin de ses repères affectifs et charnels. Cette sécurité émotionnelle et sensible est ultra importante pour sa construction dès sa première heure.

Consultez nos articles sur les enfants : Pourquoi mon enfant refuse tout ?, pourquoi faire du yoga pour enfant, faut-il être strict dans l'éducation des enfants, repérer le harcèlement scolaire, est-ce bon d'être trop fusionnel avec son enfant, ...
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Faut-il parler de la sexualité aux enfants ? https://blog.yogimag.fr/53516-faut-il-parler-de-la-sexualite-aux-enfants.html https://blog.yogimag.fr/53516-faut-il-parler-de-la-sexualite-aux-enfants.html#respond Wed, 18 Dec 2024 02:03:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=53516 Le wokisme souhaiterait introduire l’éducation de la sexualité à l’école dès la maternelle. Les pédopsychiatres hurlent à cette idée. Selon l’article L.312-16, désormais « une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins 3 séances annuelles et par groupes d’âges homogènes« . Mais alors, pourquoi, comment et quand faut-il parler de sexe aux enfants ? Est-ce de la responsabilité des parents ? L’éducation nationale doit-elle s’insérer dans cette éducation ?

Quand échanger sur la sexualité avec les enfants ?

Selon les pédopsychiatres, il n’est pas nécessaire d’échanger sur la sexualité si l’enfant n’est pas demandeur. A chaque âge correspondent certaines questions. C’est aux parents d’éduquer leur enfant sur le sujet de la sexualité dès leurs premières interrogations. En effet, les parents leur expliquent naturellement dès leur plus jeune âge que les filles ont un sexe différent des garçons. Souvent, ils emploient des petits mots mignons pour surnommer leur sexe et les mettre à l’aise par protection de leur pudeur.

A cet effet, la mode du « YEL » relevant du wokisme est en train de s’essouffler dans les pays nordiques et aux Etats-Unis suite aux alertes lancées par les pédopsychiatres. En effet, la non-binarité fait trop de dégâts sur les jeunes générations. Elle déclencherait des troubles psychiatriques et comportementaux chez les jeunes générations déjà bien assez angoissées par leur éco-anxiété juvénile.

Il n’est pas bon de forcer et de devancer les questions sur la sexualité des enfants. Ils savent exprimer leurs interrogations dès qu’ils sont prêts. Leur imposer ce thème est irrespectueux et peut les indisposer voire les choquer car ils n’auront pas envie d’en parler à telle ou telle période de leur croissance. Ca peut être lié à une certaine pudeur, un manque de maturité, une volonté de garder son insouciance infantile ou un refus total parce qu’il n’est pas prêt…

Comment parler de sexualité avec les enfants ?

Certains parents diront la vérité sur leur conception, d’autres imageront pour sauvegarder leur insouciance. L’éducation sexuelle à l’école fait brandir le bâton des professionnels de la santé. Nombreux jugent que ce n’est pas le rôle de l’éducation nationale. Parler de sexe aux enfants est du ressort du cercle familial. Qui de mieux que la mère ou le père est le mieux placé pour avancer sur le thème de la sexualité avec ses enfants dont il connait leurs sensibilités et leurs caractères. Seuls les parents sauront utiliser les mots adaptés à chacun selon leur âge.

L’école n’est pas le lieu pour parler de sexe aux enfants. Si l’enfant désire en savoir plus et que le parent est mal à l’aise, il peut faire appel à un professionnel comme un psychologue, un médecin ou encore un pédopsychiatre qui sont formés pour communiquer sur ce sujet avec lui. Ces derniers échangent avec l’enfant avec des mots justes en s’adaptant à la personnalité du jeune. La sexualité n’est pas un thème de groupe que l’on impose aux jeunes générations.

Pourquoi faut-il parler de la sexualité aux enfants ?

Néanmoins, il est recommandé que les parents parlent de la sexualité avec leurs enfants. En effet, il faut expliquer ce qu’est le sexe d’un enfant, donner des bases comportementales de respect, transmettre que le sexe n’est pas l’amour, etc… La sexualité fait partie de l’éducation incombée aux géniteurs. Seuls les parents et le corps thérapeutique ou médical sauront parler de la sexualité aux enfants.

En conclusion, parler de sexualité à l’école est abject pour les professionnels de la santé et pour de trop nombreux parents qui commencent à voir rouge dans cette emprise de l’éducation nationale sur leur rôle.

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Comment enrayer l’anxiété des jeunes générations ? https://blog.yogimag.fr/52457-comment-enrayer-l-anxiete-des-jeunes-generations.html https://blog.yogimag.fr/52457-comment-enrayer-l-anxiete-des-jeunes-generations.html#respond Wed, 27 Nov 2024 00:21:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=52457 De plus en plus d’enfants et d’adolescents sont victimes d’anxiété tellement ils sont angoissés et stressés. Réfugiés derrière leurs écrans, ils se protègent de la vie actuelle. Les évènements de la société engendrent leur dégradation mentale. Découvrez comment enrayer l’anxiété des jeunes générations.

Agir pour arrêter cette anxiété grandissante chez les enfants et les adolescents

L’anxiété est croissante chez les jeunes générations : enfants et adolescents de 4 à 18 ans. Ces générations sont confrontées quotidiennement à des images et des discours trop agressifs pour leur âge. Nos ados et enfants sont privés de leur insouciance. Ils entendent les médias toujours plus alarmistes générant une panique angoissante. Pour couronner le tout, la pandémie du covid19 les a marqués provoquant des troubles anxieux. Combien de temps va tenir cette génération victime de la société anxiogène ?

Les conséquences de l’anxiété sur les jeunes générations sont dévastatrices pour leur santé, leur bien-être, leur qualité de vie au quotidien et leur futur.

Comment enrayer l’anxiété des jeunes générations : solutions pour stopper les angoisses et le stress chroniques des enfants et des adolescents

Découvrez plusieurs solutions pour savoir comment enrayer l’anxiété des jeunes générations.

La rassurance des parents est essentielle pour aider leurs enfants à lutter contre les angoisses

Il est du devoir des parents de relativiser les faits. Le cercle familial doit être un lieu de communication et d’échanges. Les parents doivent être rassurants et leur faire comprendre que par exemple un vent de 90 km/h n’est pas une tempête. Les adultes doivent leur rappeler que dans leur jeunesse jamais on n’aurait parlé de tempête pour un vent de cette intensité.

Occuper et faire prendre l’air aux jeunes générations pour leur donner les vraies valeurs de la vie

Les parents doivent motiver leurs enfants à sortir. Prendre un bol d’oxygène fait du bien au moral et change les idées. C’est un temps d’échanges entre les parents et les enfants. C’est l’occasion de leur montrer des monuments, de les cultiver ou de faire du sport en famille.

La sophrologie : une solution pour calmer l’angoisse des enfants et des adolescents

La sophrologie est particulièrement recommandée dans le cadre de l’anxiété. En effet, c’est une thérapie de développement personnel qui permet de lâcher-prise en douceur. Le sophrologue gère le stress par divers tunnels comme des exercices de relaxation, la méditation de pleine conscience et la pensée positive. Il donnera des astuces pour se libérer de toute angoisse subite.

Consulter un psychologue pour désarmer l’angoisse des jeunes générations

La psychologie est une autre solution alternative pour guérir les jeunes générations de leurs angoisses. Le psychologue a suivi un cursus de 5 ans et a été formé à la gestion du stress. Au travers des échanges, les enfants et les adolescents livrent leurs craintes, le professionnel rationnalise leurs pensées négatives. Suivant l’âge de l’enfant, ça peut être sous forme de dessin ou de jeux. Pour les ados, la guérison se fera sur l’échange voire des challenges lancés par le psy à réaliser.

Le yoga pour prendre confiance en soi

Les jeunes générations ont besoin de prendre confiance en elles. Le yoga permet de s’autodiscipliner, d’être concentré, de se dépasser en faisant certaines postures. Cette pratique apprend l’auto-maîtrise en exploitant sa propre respiration ce qui permet aux jeunes de désarmer leurs émotions trop intenses. Le yoga engendre la satisfaction lors de la réussite d’une figure complexe. Il fait du bien au moral.

La thérapie de groupe pour se libérer dans l’échange

Il peut être bon d’envisager une thérapie de groupe où les enfants ou les adolescents se retrouvent à plusieurs pour parler. Le thérapeute orchestre la séance de manière à ce que tout le monde s’extériorise et exprime ses douleurs angoissantes. Ces thérapies obtiennent de bons résultats également.

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Quels sont les effets de l’anxiété chez les enfants et les adolescents ? https://blog.yogimag.fr/52473-quels-sont-les-effets-de-l-anxiete-chez-les-enfants-et-les-adolescents.html https://blog.yogimag.fr/52473-quels-sont-les-effets-de-l-anxiete-chez-les-enfants-et-les-adolescents.html#respond Tue, 19 Nov 2024 00:54:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=52473 Les enfants et les adolescents sont de plus en plus anxieux. Le chiffre est en constante croissance. En effet, 53% d’entre eux présentent des troubles anxieux dont 31% sont victimes de troubles de l’anxiété généralisés. Le constat est alarmant. Les faits de société depuis plusieurs années sont responsables de leur mal-être. Découvrez quels sont les effets de l’anxiété chez les enfants et les adolescents.

Les causes de l’anxiété chez les jeunes de 4 à 18 ans

Le harcèlement scolaire est l’une des premières causes de l’anxiété chez les enfants et les adolescents. Le dérèglement climatique les soucie tout autant leur provoquant des symptômes d’éco-anxiété. Les conflits internationaux les effraient. Ils ne comprennent pas non plus ces violences sociétales au quotidien déclenchant leur peur de sortir. Les entreprises en liquidation judiciaire qui ne s’arrêtent plus qui licencient à tour de bras. L’inflation qui fait souffrir le porte-monnaie de leurs parents est tout aussi anxiogène. Nos jeunes ont peur pour leur famille et leur devenir devenu incertain. Les virus les obligeant à l’isolement pour ne pas être contaminés où les médias n’ont cessé de comptabiliser les décès provoquant leur panique mentale. Nos jeunes sont perdus face à tous ces troubles.

Tous ces faits sont responsables de leur avoir enlevé l’insouciance inhérente à leur âge et de leur provoquer des inquiétudes anxiogènes. Désormais, la majorité d’entre eux préfère se réfugier derrière les écrans rompant toute communication saine et physique murée dans le silence et l’écrit.

Quels sont les effets de l’anxiété chez les enfants et les adolescents devenus stressés et angoissés ?

Obsession et dépendance des écrans

En tout premier lieu, il est démontré qu’un temps excessif passé devant les écrans provoque de l’anxiété, des troubles de l’humeur et de l’hyperactivité. Pourtant nos jeunes se réfugient derrière leurs écrans pour contrecarrer leurs angoisses latentes. En conséquence, en adoptant cette posture, ils renforcent leur stress.

Nos enfants et nos ados ne prennent plus l’air

Actuellement, nos enfants ne sortent plus assez ce qui est véritable souci. Il faut sortir nos enfants de leurs écrans et leur faire prendre l’air. En effet, sortir équilibre le mental et renforce le système immunitaire. Préférant être à l’intérieur pour se sentir dans leur cocon plutôt que de bouger à l’extérieur, nos jeunes anxieux sont trop inactifs et sédentaires. Actuellement, nos enfants et adolescents ne sortent plus assez ce qui est véritable souci pour leur santé.

Risque de santé à long terme

L’anxiété fragilise la santé mentale et physique de nos adolescents pouvant aboutir à une dépression nerveuse. Le manque de pédopsychiatres est un réel problème de société impactant sur la santé publique. Devant l’explosion des états anxiogènes juvéniles, il est craint que nos jeunes développent des pathologies liées à l’anxiété à l’âge adulte bien qu’ayant donné déjà leurs premiers prémices comme la somatisation ou l’obésité liée à leur sédentarité.

Dégradation du développement personnel

Un état anxieux dégrade l’estime de soi et le sentiment d’utilité sur Terre. A l’âge où nos jeunes sont en pleine construction, l’anxiété vient leur couper l’herbe sous le pied leur faisant perdre confiance en eux. L’envie d’entreprendre, de se battre pour leurs convictions, d’oser, de faire des expériences ou d’affronter n’est plus leur préoccupation contrairement aux ex-générations.

Manque de motivation scolaire

Atteints dans leur équilibre psychique, les enfants peuvent décrocher scolairement. S’exprimer en classe, participer ou fournir un effort pour avoir une bonne note les désintéressent. Ils préfèrent se réfugier dans leur bulle de confort compte tenu que leur concentration et leur attention sont atteintes par l’angoisse. Pris dans l’anxiété, leur cerveau n’est plus réceptif à quoi que ce soit. Ils s’appauvrissent à l’heure où ils devraient se cultiver et exercer la gymnastique de leurs neurones.

Le désintérêt à la vie est une conséquence de l’anxiété chez les enfants et les adolescents

S’investir dans des taches quotidiennes ne les intéressent plus. Elles peuvent leur paraitre insurmontables. Par ailleurs, découvrir des musées, des paysages ou faire des activités nouvelles n’est pas leur priorité. L’anxiété sclérose mentalement les enfants et les adolescents. Leur envie de découvrir et de s’investir sur tous les plans est entachée. Hors, c’est l’âge où les jeunes font leurs expériences. C’est fondamental pour leur futur.

Les effets de l’anxiété chez les enfants et les adolescents sont nombreux.

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Mon enfant dit toujours « non », j’ai besoin de conseils et je craque ! https://blog.yogimag.fr/51653-mon-enfant-dit-toujours-non.html https://blog.yogimag.fr/51653-mon-enfant-dit-toujours-non.html#comments Fri, 01 Nov 2024 00:11:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=51653 Certains enfants paraissent avoir l’esprit de contrariété. Le refus est devenu automatique à vous pourrir la vie. Alors, pourquoi mon enfant dit toujours « non »? Vous craquez ? Vous avez besoin de conseils ? Nos chers chérubins vont être dévoilés avec cet article sur la psychologie du blog Yogimag !

Quoi que vous fassiez, votre enfant est dans le refus. Cette attitude usante et étonnante est incompréhensive pour nombreux parents jusqu’à provoquer la rupture du couple s’il n’est pas en adéquation quant à l’éducation d’un enfant.

Pourquoi mon enfant dit toujours « non », je craque !?

  • Tu veux manger ? NON !
  • Tu veux te promener ? NON !
  • Vas au bain ! NON !
  • Stop la télé ? NON !
  • Tu veux aller à la piscine ? Toujours la même réponse.

L’esprit d’opposition des enfants est frustrant pour les parents. Mais il faut savoir qu’entre l’âge de 1 et 3 ans, l’enfant teste ses parents pour cerner leurs limites. Il a compris dès sa quasi naissance que ce mot de trois lettres « N-O-N » avait un certain pouvoir. Il vous teste dès son premier souffle ! Eh oui !!!! Il est intelligent ce cher petit être tout mignon paraissant hyper innocent.

Avant d’être en capacité de le prononcer, peut-être pleurait-il ou faisait-il des caprices pour être déjà dans l’opposition sans que vous vous en aperceviez… Dès sa naissance, le bébé sait s’imposer, c’est un petit malin aux yeux d’ange qui sait en jouer.

Jusqu’à l’âge de 4 ans, l’enfant est centré sur lui-même. Il n’a pas de place pour les autres, il se construit. Donc le NON est son arme pour se protéger ! 🥰

Les raisons du NON de l’enfant : j’ai besoin de comprendre

Votre petit peut avoir plusieurs raisons d’être dans le refus. Peut-être se sent-il incapable de faire ce que vous lui demandez ou a-t-il peur de l’échec ou de l’inconnu… Atteindre son estime de lui peut engendrer des frustrations à vie. Le laisser se développer personnellement et prendre confiance en lui quand il se sent prêt est important. Certains enfants sont toujours partants comme des vainqueurs. D’autres, moins sûrs d’eux, se réfugient dans le refus pour mieux se protéger. Vos enfants n’ont pas forcément votre caractère, gardez cela omniprésent à l’esprit.

Les limites : une arme pour arrêter son opposition

Le refus peut aussi être une technique pour attirer votre attention coûte que coûte même si ça finit par une scène punitive. Toutefois ! Certains jouent de vous. Pour lui, « dire non » est une manière de vous provoquer et de tester vos limites. Vous gardez le sourire ? Peut-être faudrait-il lui faire comprendre que c’est le refus de trop afin qu’il intègre vos limites. Le faire dès son plus jeune âge, c’est le préparer pour l’avenir notamment sur le plan professionnel et sociétal. L’autorité des parents est un acte d’amour. Ca le rassure, il se sent protégé. Donnez-lui des limites, il vous aimera toujours plus en retour. En vous voyant solide, il prend lui-même de l’assurance. Son côté rebelle s’éteindra rapidement.

Un enfant est un être unique. son opposition systématique est une manière de s’affirmer. « Je suis donc j’existe ». En étant dans le refus, il teste sa puissance en apprenant les limites qu’il ne peut pas dépasser. Aimer son enfant, c’est lui inculquer la vie en société avec ses limites. La première société d’apprentissage est son noyau familial. Ca lui permettra de prendre position dans la hiérarchie en société ado ou à l’âge adulte en fonction du niveau qu’il souhaite avoir. C’est aux parents d’inculquer les vraies valeurs pour que l’enfant soit préparé au futur.

Conseils pour détourner le refus de votre enfant pour qu’il finisse par acquiescer naturellement en se construisant en toute autonomie

Certaines petites têtes dures peuvent jouer de vous. Il est temps de reprendre de la fermeté en usant de la diplomatie. Peut-être prendra-t-il plaisir à avoir de l’autonomie pour avoir confiance en lui ?

  • Le récompenser avec la condition « quand » : quand tu te seras mis en pyjamas, tu pourras jouer en attendant que je fasse le repas. Oh surprise ! Le mot JOUER lui parle, il va vite se mettre en tenue de nuit.
  • Faire de la psychologie positive avec l’enfant, c’est juste du bon sens : quand l’enfant s’exécute, dites-lui que c’est bien. Il n’attend que ça : vous voir satisfait de lui. Ca lui fait du bien et ça le motive à recommencer.
  • Devancer vos demandes en prévention : « dans 10 minutes, il faudra éteindre ton dessin animé pour venir manger ». L’enfant est averti et décompte le temps de plaisir dans sa tête pour passer à autre chose imposé par ses parents.
  • Lui proposer de faire un choix pour qu’il réponde à votre demande : « tu veux le pyjama bleu ou le gris ? » Cette alternative le fait grandir. Il se sent grand et responsable. Il comprend que vous êtes à l’écoute dans la collaboration. C’est un moyen de s’affirmer sans pression parentale.

Ce qu’il faut éviter

  • Le contraindre et vous énerver casse l’enfant. Ca lui envoie de mauvais messages comportementaux.
  • L’acheter : « si tu es sage dans le magasin, tu auras droit à un jouet ». Surtout pas, il saura vous manipuler comprenant votre stratagème. Restez ferme face à une demande. Si vous lâchez, il aura compris que vous craquez. Il recommencera à votre grand désespoir.
  • Enfin, n’oubliez pas que votre enfant est un être unique et qu’il a son propre caractère. Son mode de fonctionnement n’est pas le vôtre. En conséquence, il faut composer avec ce dernier facteur.

Élever un enfant est du bon sens. Il n’y a pas de mauvais ou bon enfant, il devient ce que vous en faites en terme d’éducation. Vous l’aimez ? Construisez-le. 🥰

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