Emploi | Blog Yogimag https://blog.yogimag.fr/category/vie-au-quotidien/emploi L'actualité bien-être, santé et sociétale Mon, 17 Mar 2025 16:27:36 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://blog.yogimag.fr/wp-content/uploads/2024/11/cropped-blog-yogimag-bien-etre-sante-yoga-32x32.jpg Emploi | Blog Yogimag https://blog.yogimag.fr/category/vie-au-quotidien/emploi 32 32 Le mécompte des jeunes diplômés https://blog.yogimag.fr/56977-le-mecompte-des-jeunes-diplomes.html https://blog.yogimag.fr/56977-le-mecompte-des-jeunes-diplomes.html#comments Fri, 14 Mar 2025 02:20:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56977 Master, DEA, DESS, diplôme d’ingénieur ou master spécialisé, le mécompte des jeunes diplômés croit depuis plusieurs années. On peut entendre ou lire : « je ne trouve pas de travail ». Malgré un BAC+5, la déception est frustrante chez les nouveaux demandeurs d’emploi diplômés. De fait, y-aurait-il trop de diplômés face à la demande sur le marché ? Les jeunes talents auraient-ils suivi un cursus dont la filière est sans débouché ? Nombreux finissent par prendre un virage à 180° pour trouver un emploi dans un autre secteur d’activités.

Comment faire pour trouver du travail pour les jeunes diplômés BAC+5 master ?

Comment faire pour trouver du travail pour les jeunes diplômés BAC+5 Master ? Dernièrement encore, nous entendions des jeunes sortis de Polytechnique être déçus pour rester sur le carreau et ne pas trouver un emploi depuis l’obtention de leur diplôme BAC+5. Force est de constater que de nombreux domaines sont touchés : informatique, marketing, commercial, imagerie médicale…

De surcroit, de nombreux métiers disparaissent silencieusement suite à l’arrivée de l’IA en sus d’une dégradation de l’emploi en France.

La démonétisation des BAC+5

Alors que les écoles supérieures font miroiter un niveau de salaire, la réalité est que les étudiants sont obligés de revoir à la baisse leurs prétentions salariales. Le constat est que le master s’est démocratisé. En conséquence, leur recherche d’emploi est devenue le parcours du combattant. Certains sont obligés d’accepter des temps partiels pour avoir un minimum de rémunération. Le désarroi des jeunes diplômés est bien réel.

Côté entreprises, les patrons déplorent l’arrivée en masse de diplômés souhaitant l’accès à des postes cadres. Hors ces emplois sont en minorité et majoritairement réservés à des personnes ayant de l’expérience dans leur domaine. En conséquence, les jeunes diplômés débutants rencontrent de réelles difficultés à trouver un emploi à la hauteur de leurs attentes.

Pourquoi cette désillusion des jeunes diplômés ?

Les jeunes diplômés ont du mal à s’insérer professionnellement. Ce fléau croissant inquiète les demandeurs d’emploi sortant d’un cursus d’études longues. Cette génération souffre de trop de diplômés face à la demande du marché. Par ailleurs, n’ayant pas d’expérience, elle est laissée sur le carreau face aux quarantenaires et aux cinquantenaires.

Certains masquent leur niveau de diplôme pour intégrer un poste et commencer à se faire une expérience dans leur domaine. D’autres se dirigent vers d’autres qualifications en reprenant leurs études ou en effectuant des formations. Des ingénieurs se retrouvent conducteurs de TGV, des masters marketing intègrent le monde du bâtiment, d’autres entreprennent pour se lancer dans le monde du travail.

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Le mécompte des jeunes diplômés BAC+5

Sont-ce les écoles supérieures qui leur donnent espoir et leur font miroiter des tours d’argent nonobstant la pratique de tarifs excessifs pour les intégrer ? Néanmoins à l’obtention de leur diplôme tant désiré, les ex-étudiants déchantent face à la réalité du marché de l’emploi et se voient contraints de réviser leur copie.

Par ailleurs, certains travailleurs reprennent leurs études pour accéder à un niveau supérieur hiérarchiquement. Ils sont victimes de la même désillusion pour accéder à l’échelon souhaité. Pire, certains recruteurs leur demande d’enlever leur master de leur CV pour pouvoir les présenter à l’entreprise !

En conséquence, faut-il faire de longues études actuellement pour trouver un emploi ? N’hésitez pas à laisser vos commentaires sur notre blog si vous êtes victime de cette injustice. 😉

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Harcèlement au travail obligations de l’employeur https://blog.yogimag.fr/56472-harcelement-au-travail-obligations-de-l-employeur.html https://blog.yogimag.fr/56472-harcelement-au-travail-obligations-de-l-employeur.html#respond Thu, 20 Feb 2025 13:48:30 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56472 Harcèlement sexuel ou harcèlement moral en entreprise, découvrez les obligations de l’employeur. En effet, que l’entreprise soit dans le domaine privé ou dans le secteur public, l’employeur doit respecter certaines conditions pour protéger ses salariés. A cet effet, Ipsos révélait en 2022 que le harcèlement professionnel se positionnait en troisième position des problématiques majeures des salariés après la dégradation des conditions de travail et salariales. Par ailleurs, Ipsos rédigeait en mars 2023 qu’une femme scientifique sur deux était victime de harcèlement sexuel dans le cadre de ses fonctions. D’après les défenseurs des droits, 20% des femmes avouent avoir été confrontées au moins une fois au harcèlement sexuel dans leur vie professionnelle.

Le harcèlement au travail, c’est quoi ?

Le harcèlement moral au travail c’est :

  • Le dénigrement par des critiques ou moqueries
  • des regards méprisants, des blagues de mauvais goût récurrentes, des rumeurs dégradantes
  • des accusations injustifiées et humiliantes voire violentes
  • des sanctions vexatoires comprenant des critiques répétées par mail ou en direct
  • des avertissements abusifs et illégitimes
  • le déclassement pour faire revenir le salarié à un poste inférieur à ses capacités
  • la pression disciplinaire par des convocations récurrentes visant à lui mettre la pression
  • des propos humiliants et rabaissants en public
  • la privation des ressources et outils de travail pour mettre en échec la bonne réalisation des tâches confiées
  • des tâches dévalorisantes en vue de déprécier le salarié
  • La mise au placard ou l’isolement pour pousser le collaborateur à la démission
  • des tâches supérieures aux capacités du salarié pour le mener à l’épuisement et au burn-out
  • une mutation non souhaitée ou dans un lieu géographique qui ne lui convient pas pour le faire craquer

Le harcèlement sexuel au travail c’est :

  • des gestes déplacés portant atteinte à l’intégrité
  • des suggestions verbales
  • des questions sortant du cercle professionnel
  • des agissements hostiles
  • des agissements à connotation sexuelle
  • des comportements sexistes
  • des invitations obligatoires sans justification réelle d’un caractère professionnel
  • des regards qui en disent long sur le but sexuel recherché

Le harcèlement porte atteinte à la santé physique et mentale du salarié. Il vise à le faire démissionner ou à le faire craquer. La persécution professionnelle est punie par des sanctions sévères par le droit français conformément au code du travail et au droit pénal.

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9 obligations de l’employeur dans le cadre du harcèlement au travail

Pour éviter ce scénario, les obligations de l’employeur dans le cadre du harcèlement au travail sont strictes et réglementées. En effet, l’altération de la santé physique ou mentale, l’atteinte à la dignité et la compromission d’un avenir professionnel sont des agissements punis par la loi dans le cadre du travail. De surcroit, conformément à l’article L1152-5 du code du travail, l’employeur est tenu de réagir immédiatement et efficacement face aux cas de harcèlement dans l’entreprise. Si ce dernier n’a pas pris les mesures de prévention requises, sa responsabilité est engagée devant les tribunaux.

Découvrez les obligations et les bonnes pratiques des employeurs en matière de prévention des risques, de recueil des signalements et de conduite pour prévenir le harcèlement du travail.

1 – Prévoir un affichage spécifique sur le harcèlement professionnel

Un affichage sur le harcèlement sexuel dans les locaux professionnels est obligatoire conformément à l’article L1153-5 du Code du travail. Il doit mentionner les sanctions applicables, les actions pénales et civiles ainsi que les coordonnées des autorités et des services compétents.

2 – Obligation de la présence d’une clause de harcèlement dans le règlement intérieur

L’article L1321-2 du code du travail oblige la mention des dispositions dans le cadre des harcèlements sexuel, moral et/ou d’agissements sexistes.

3 – Sensibiliser les équipes face au harcèlement professionnel

La sensibilisation au harcèlement professionnel par des ateliers en interne est intéressante. En effet, certains salariés peuvent prendre conscience qu’ils sont harcelés ou d’autres qu’ils sont harceleurs sans s’en apercevoir (blagues, moqueries, …).

4 – Communiquer avec la victime potentielle

Le changement d’attitude soudain d’un salarié peut être révélateur de harcèlement. Il est opportun d’essayer d’engager la conversation pour savoir ce qui le contrarie en l’invitant à déjeuner ou à boire un verre après la journée de travail. Cette bienveillance permet bien souvent de le sortir de son mutisme et de régler son état de persécution professionnelle.

5 – Mettre en place un dispositif de signalement sur la persécution professionnelle

Les salariés doivent être en mesure d’avoir accès à des dispositifs sécurisés et confidentiels afin de signaler leurs persécutions sans craindre des représailles.

6 – Alerter une autorité du travail

Dans ce cas de figure, il est urgent de prendre les dispositions requises sous deux mois (délai de prescription). Il faut alerter par un mail et envoyer un courrier pour prendre rendez-vous avec les experts adéquats (l’inspection du travail, un médiateur, le CSE ou l’employeur en personne). Par ailleurs, pour les entreprises de plus de 250 salariés, un référent neutre doit être désigné à cet effet.

7 – Faire une enquête en interne

Dès le premier signalement, une enquête sera menée en interne pour qualifier et avérer les faits de manière impartiale et objective afin de motiver les conclusions.

8 – Prendre des mesures conservatoires pour protéger la victime

Des mesures de protection doivent être mises en place comme l’éloignement du harceleur, l’aménagement temporaire des horaires de travail, un accompagnement psychologique.

9 – Sanctions disciplinaires pour le harceleur

L’employeur est dans l’obligation d’appliquer des sanctions disciplinaires à hauteur de l’importance de la faute. Le harceleur peut faire l’objet d’un blâme, d’une mise à pied, d’une mutation, d’une rétrogradation voire d’un licenciement pour faute lourde ou grave.

La persécution professionnelle morale ou sexuelle punie par le droit français

Les obligations de l’employeur dans le cadre du harcèlement au travail sont strictement réglementées. Si vous êtes victime ou témoin de persécution au travail d’ordre moral ou sexuel, il est capital d’agir sous 60 jours pour arrêter le scénario et faire valoir vos droits pour votre santé physique et psychique.

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Fin des auto-entrepreneurs ? https://blog.yogimag.fr/56197-fin-des-auto-entrepreneurs.html https://blog.yogimag.fr/56197-fin-des-auto-entrepreneurs.html#comments Fri, 07 Feb 2025 02:21:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56197 L’INSEE dénombrait 1 400 000 auto-entrepreneurs en France en 2020. Ce régime spécial créé le 04 août 2008 par Hervé Novelli facilitant les créations d’entreprises fait l’objet de révisions depuis plus d’une dizaine d’années. En conséquence, est-ce la fin des auto entrepreneurs en 2025 ?

L’auto-entreprise, c’est quoi ?

L’auto-entreprise est une phase transitoire pour faire un galop d’essai. C’est un temps conditionnel pour savoir si cette micro-entreprise génère assez de chiffre pour tester sa viabilité. Ce statut avantageait les auto-patrons par l’allègement des charges et de l’exonération de la TVA. De surcroit, les micro-entrepreneurs apprenaient à côtoyer les obligations administratives de manière « light » avant de passer au niveau supérieur : l’entreprenariat.

En effet, jusqu’en 2023, le régime de la micro-entreprise permettait de réaliser un chiffre d’affaires de :

  • 188 700 euros pour les activités de commerce et de fournitures de logement
  • 77 700 euros pour les prestations de services et les professions libérales

Les principaux avantages étaient la minimisation des démarches administratives et l’exonération de nombreuses charges. Le salaire est un inconvénient puisque d’après LégalPlace, un autoentrepreneur gagne en moyenne 590 euros par mois. Par ailleurs, le taux de régime micro-social oscillait de 6 à 21,20% suivant l’activité. La facturation avec TVA intervenait après le dépassement des CA sus-cités ; ce qui laissait une marge.

L’ensemble de ces allègements et conditions permettaient aux micro-entrepreneurs de se lancer dans le monde des affaires sans risque et de s’axer sur le développement de leur activité professionnelle.

2024 : Un premier tournant annonciateur de la baisse des avantages des micro-entreprises

Les taux des cotisations augmentent pour les activités en « autres prestations de services BNC » de 21,10% à 23,10%. Les professions libérales relevant de la CIPAV passent de 21,20% à 23,20%. L’État vise ces deux secteurs d’activités prestataires les soumettant à une hausse taxative de 2%.

Les secteurs de l’achat/vente de marchandises restent à 12,30%, les prestations de services commerciales et artisanales « BIC » se stabilisent à 21,20%. La location de meublés de tourisme classés demeure à 6%.

Toutefois, 2024 sera les prémices de 2025 qui sera un grand tournant pour les auto-entrepreneurs.

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Est-ce la fin des auto-entrepreneurs ? Ce qui change en 2025 pour les micro-entreprises

Le statut d’auto-entrepreneur est dans le collimateur de l’État ! Les micro-sociétés « autres prestations de services BNC » sont visées. Au 1er janvier 2025, leur taux de régime social passe à 24,6% avec un prévisionnel à 26,1% en 2026 soit une hausse de leur taxation de 5% en 4 ans.

Le gouvernement continue la révision de ce régime spécial nonobstant que la condition d’auto-entreprise est un « pied à l’étrier » pour les patrons et la future croissance de l’embauche. En effet, la loi N°2023-1322 du 29 décembre 2023 relative aux finances 2024 s’est vue réformée pour harmoniser les seuils de TVA dans l’Union Européenne avec une entrée en vigueur au 1er janvier 2025.

Selon le PLF 2025 et à compter du 1er mars 2025, toute entreprise réalisant un CA supérieur à 25 000 euros annuels devra s’affranchir de la TVA quelle que soit la nature de son activité. Par conséquent, l’auto-entrepreneur devra facturer la TVA à ses clients en sus de répercuter les taux des cotisations à la hausse sur ses prestations et/ou ventes pour sauvegarder ses marges. Restera-t-il concurrentiel d’autant plus qu’il ne récupère toujours pas la TVA sur ses achats d’entreprise ? Est-ce un moyen de pousser les auto-entrepreneurs à franchir le pas de l’entreprenariat ? Est-ce une stratégie pour pallier au manque à gagner face aux liquidations judiciaires qui s’accumulent ? De surcroit, serait-ce une manoeuvre tactique pour combler la perte financière actuelle enregistrée par les caisses de l’État ?

La baisse de la franchise de la TVA pénalise les auto-entrepreneurs

La baisse du plafond de la TVA pénalise les auto-entrepreneurs. Comment ça marche ?

Dans le cas où la micro-entreprise réalise un chiffre d’affaires inférieur à 25 000 euros, rien ne change pour elle.

En contre partie, si son CA est compris entre 25 000 et 27 500 euros, elle devra s’acquitter de la TVA au 1er janvier de l’année suivante au prorata du dépassement des 25 K€ et ce jusqu’à un maximum de 27,5 K€.

Si la micro-entreprise dépasse les 27 500 euros, elle doit appliquer la TVA le premier jour du dépassement et procéder aux formalités administratives nécessaires.

Les conséquences des nouvelles mesures du statut de micro-entrepreneur

La perte de chiffre d’affaires suite à la hausse des coûts des devis de 20%

Le premier impact est que les auto-entrepreneurs devront répercuter la TVA sur leur facture qui augmentera le montant à devoir de 20% pour le client final. Par conséquent, on pourrait imaginer une perte potentielle de certains clients. De surcroit, que faire des devis acceptés exempts de TVA avant le 49.3 ? Les micro-entrepreneurs devront-ils se priver d’une marge de 20% pour compenser cette nouvelle réglementation s’ils veulent rester compétitifs ?

Une stratégie poussant à faire du travail dissimulé

Est-ce une nouvelle porte ouverte pour le travail dissimulé non déclaré afin de pouvoir continuer à vivre malgré l’inflation ?

La prévision de la fermeture des microentreprises

De plus, va-t-on constater la fermeture de nombreuses auto-entreprises à l’effigie des faillites d’entreprises ?

La fin des conditions privilégiées des autoentrepreneurs

Contrairement à son fondement visant à faciliter la création de sa propre activité, l’évidence est que le statut d’auto-entreprise se voit surchargé de charges. En conséquence, est-ce la fin des conditions privilégiées des auto-entrepreneurs ?

Des conséquences pour le monde du travail

Par ailleurs, l’effet pervers des statistiques de chômage présentées par le Gouvernement ne prendront pas en compte cette catégorie de chômeurs. Il aura un impact direct sur les demandeurs de RSA. Donc, les chiffres du chômage seront tronqués et galvaudés tenant compte que l’auto-entrepreneur est voué à devenir entrepreneur voire générer des embauches. Quel est l’intérêt de devenir entrepreneur en France au regard des avantages des autres pays européens dès l’instant où le chiffre d’affaires passe la barre des 25 K€ ?

La fuite en avant des futurs patrons

Enfin, est-ce le départ de l’exode des créateurs d’entreprises français qui décideront de fuir la France voire l’Europe pour trouver des conditions d’entreprenariat plus avantageuses ?

Le gel de la volonté d’entreprendre en France

Ces nouvelles directives risquent de geler la volonté d’entreprendre de nombreux futurs entrepreneurs ayant opté pour cette condition d’entreprise. En effet, nombreux ont choisi cette formule d’entreprenariat pour lancer leurs affaires sans être étranglés par les obligations administratives tout en minimisant les risques financiers. De fait, voyant que ce régime est de plus en plus taxé et bénéficiant d’un plafond extrêmement bas pour être exonérés de TVA, ils se sentent refroidis pour entreprendre.

L’État ne creuse-t-il pas toujours plus son déclin en révisant le régime des auto-entreprises entre autres ? S’attaquer à la France qui travaille est-ce une bonne solution ?

Si vous souhaitez signer la pétition de protection du régime des auto-entrepreneurs de la FNAE, la seule organisation des Auto-Entrepreneurs reconnue représentative au niveau national.
Cet article d'actualité est rédigé par un ex-chef d'entreprise en passe de remonter des sociétés...
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Le télétravail source de croissance des entreprises https://blog.yogimag.fr/55274-le-teletravail-source-de-croissance-des-entreprises.html https://blog.yogimag.fr/55274-le-teletravail-source-de-croissance-des-entreprises.html#respond Sun, 19 Jan 2025 01:48:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55274 Force est de constater que les salariés ont pris goût au télétravail suite aux confinements. A l’heure où certaines entreprises exigent le retour des collaborateurs dans leurs bureaux, nombreux décident de démissionner. Les entreprises psychorigides exigeant le présentiel ne remplissent pas leurs postes vacants. En revanche, les sociétés flexibles constatent une accélération de leur développement et un engouement face à leurs recrutements. En conséquence, le télétravail est-il source de croissance des entreprises ?

L’exode des salariés des entreprises non-flexibles

Les entreprises non-flexibles exigeant le retour au présentiel déclenchent l’exode de leurs salariés. Certains collaborateurs refusent, d’autres négocient un présentiel hybride. Si ce dernier est refusé, le salarié ne tardera pas à se faire embaucher par une autre structure plus souple. Ce phénomène est la pure résurgence des confinements ayant modifié le comportement des employés. Désormais, ils privilégient leur qualité de vie en assurant leurs missions professionnelles.

Il devient complexe de construire une équipe en présentiel et de vouloir rassembler les troupes dans les locaux. Ce n’est plus dans les mentalités à l’heure où les salariés se sont responsabilisés en s’investissant dans leurs fonctions professionnelles à distance. Le Covid19 a-t-il fait entrer les entreprises dans un nouveau modèle RH plus productif ? En effet, le constat est sans appel. La suppression du télétravail provoque la fuite des collaborateurs notamment ceux occupant des postes « clés » faisant péricliter l’ascension des structures de leurs employeurs sur les marchés.

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Le challenge des entreprises flexibles

Selon une étude de Revio Labs, les entreprises ayant opté pour une stratégie RH « souple » développent plus de croissance que celles psychorigides souhaitant leurs équipes en présentiel. Selon une autre source, les entreprises axées sur le présentiel provoquent l’exode de leurs salariés surtout concernant ceux hautement qualifiés. De surcroit, elles rencontrent des difficultés à recruter par refus de s’adapter au monde du travail hybride contrairement à leurs concurrents proposant des emplois en télétravail 100% ou partiel. En effet, ces derniers attirent particulièrement les postulants de haut vol.

La mixité présentiel/télétravail ou 100% travail à distance séduit une grande majorité des salariés. Le challenge des entreprises est de s’adapter à ce nouveau fonctionnement RH pour attirer et recruter les meilleurs talents.

Le télétravail source de croissance des entreprises

Les sociétés ayant relevé le challenge de ce nouveau « mode d’emploi » ont tout à gagner. Il est avéré que les employés en télétravail produisent davantage qu’en étant en présentiel. Sont-ils reconnaissants ou plus détendus par une qualité de vie retrouvée au point qu’ils font des heures « sup » de leur propre chef ? Ils sont devenus flexibles tout comme leur employeur. Ils n’ont plus le stress des bouchons et ne sont plus obligés de s’habiller en costume/cravate, quoique s’il y a une visio ! .. C’est la magie productive entre équilibre de la vie privée et de la vie professionnelle. Leur bien-être se ressent positivement dans leur implication professionnelle et leurs résultats.

Par effet de ricoché, les entreprises voient leur chiffre d’affaires s’envoler et fidélisent leurs équipes. Nonobstant leur croissance constatée, elles ne sont plus confrontées au turn-over de la masse salariale. Enfin, elles rencontrent plus de facilités à recruter que les sociétés fermées à réviser leur modèle de travail « emploi ancienne génération ».

En conclusion, le télétravail est une source de croissance pour les entreprises en sus d’apporter une qualité de vie aux salariés et aux sociétés elles-mêmes.

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Les patrons sont-ils encore respectés ? https://blog.yogimag.fr/54242-les-patrons-sont-ils-encore-respectes.html https://blog.yogimag.fr/54242-les-patrons-sont-ils-encore-respectes.html#respond Thu, 02 Jan 2025 02:45:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=54242 Pour diriger il faut une main de fer dans un gant de velours. Pour être dirigeant, il faut être convaincant, fédérer et motiver ses équipes. Être leadership, c’est diriger pour conduire l’entreprise aux objectifs fixés en lien avec les salariés. Force est de constater que les sociétés sont de plus en plus victimes de turnover surtout concernant les générations Y et Z en sus d’une poignée d’irréductibles semeurs de troubles en entreprise. En conséquence, les patrons sont-ils encore respectés par leurs équipes ?

Le respect des patrons est vital pour le bon fonctionnement d’une entreprise

L’inflation, les confinements, des tranches générationnelles qui privilégient leur qualité de vie à leur investissement professionnel, un refus de revenir travailler en présentiel, une volonté de travailler moins pour gagner plus, la hausse des taxes, l’augmentation des charges, des normes de plus en plus strictes, une Commission Européenne qui sort des décrets sans tenir compte des répercussions « intra pays »… En 2024, les patrons s’arrachent les cheveux pour tout concilier en sus d’avoir le souci de sauver leur bateau compte tenu de l’actuelle conjoncture économique.

En effet, concilier le bien-être au travail et une productivité optimisée avec des directives gouvernementales et européennes qui se durcissent en sus d’une concurrence déloyale étrangère imposée est devenu hippique. Le constat est que diriger une entreprise s’avère de plus en plus complexe. Les dirigeants sont en plein parcours du combattant pour maintenir leur entreprise en vie. Mais est-ce que ça remet en cause le respect des patrons par leurs collaborateurs ?

Des salariés plus solidaires que jamais de leurs Dirigeants

Le constat est que les salariés ont compris la difficulté qui se rigidifie au fil du temps de tenir le gouvernail d’une société. La majorité des subalternes sont solidaires de leur patron pour sauvegarder leurs emplois et maintenir leur entreprise à flot. Le bilan actuel est que les équipes ont un profond respect pour leur dirigeant. Elles font preuve de loyauté et parfois d’hommage en soutien à leur direction.

Les patrons sont-ils encore respectés par leurs subalternes ?

Compte tenu de cette prise de conscience des salariés, il est devenu monnaie courant de voir les collaborateurs faire corps avec leur direction. En 2024, le constat est que les subalternes respectent leur dirigeant pour comprendre ce qu’il subit et pour sauver leurs emplois.

En revanche, concernant cette marque de respect, il y a un bémol : celui des jeunes générations et d’une poignée de salariés irréductibles qui ne visent que leur propre intérêt avant celui de la firme.

Les jeunes générations font fi à leurs engagements professionnels

Le monde du travail a compris qu’il faut une hiérarchie pour pouvoir mener à bien les objectifs des sociétés. La tranche la plus âgée de la génération Z et la génération Y ne semblent pas prendre conscience dans la dangerosité de leurs actes. Prendre un emploi puis partir sans préavis, passer du coq à l’âne sans prévenir démontre un irrespect manifeste pour leurs employeurs et les salariés en place. Ces générations « no limite » sont des « brouteurs » d’emplois.

L’engagement professionnel est un terme qu’elles ne connaissent pas. Le patron ? Il trouvera un autre salarié pour les remplacer. De fait, ces nouvelles générations posent problème dans le monde professionnel par leur marque d’irrespect envers les dirigeants au profit de leur propre intérêt et de leur qualité de vie. Est-ce un manque d’éducation les concernant ?

La relève des seniors n’est pas faite. C’est bon signe pour l’ancienne génération imprégnée d’une éducation respectueuse et investie envers leur hiérarchie.

Les patrons sont-ils encore respectés par une poignée d’irréductibles n’ayant pas saisi la situation économique ?

Il est à noter qu’une poignée d’irréductibles salariés pense à ses intérêts avant ceux de l’entreprise. Elle n’a pas compris que sans patron, il n’y a pas d’employés et que sans entreprise, il n’y a plus de salaire. En effet, ces « semeurs de troubles » réclament des augmentations, de nouveaux avantages, des aménagements pour gagner en qualité de vie, toujours plus de congés… La conjoncture actuelle ? C’est un terme qu’ils ne connaissent pas ou ne comprennent pas. Il est complexe de comprendre ces réactions « hors temps » et décalées qui donnent du fil à retordre aux dirigeants. De toute évidence, pour ce lot de salariés le respect du patron n’existe pas.

En conclusion, les patrons sont généralement respectés par leurs équipes. Ces dernières montrent un élan de solidarité à l’égard de leur direction. Désormais patrons et collaborateurs travaillent main dans la main dans la plus grande considération.

Notre sélection d'articles sur le monde du travail : la dégradation de l'emploi en France, l'impact des faillites d'entreprise, augmentation des liquidations judiciaires, le nouveau mode de recrutement, pourquoi la hiérarchie en entreprise est importante... 
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« Pet at Works » ou le droit d’aller au travail avec son chien https://blog.yogimag.fr/53242-pet-at-works-ou-le-droit-d-aller-au-travail-avec-son-chien.html https://blog.yogimag.fr/53242-pet-at-works-ou-le-droit-d-aller-au-travail-avec-son-chien.html#comments Mon, 09 Dec 2024 15:19:37 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=53242 Vous avez un chihuahua, un doberman ou un bouledogue, la journée « take your dog to work day » lance un nouveau mouvement venu tout droit des Etats-Unis. En effet, cette journée vise à emmener son chien au travail en vue que les employeurs acceptent les canins dans leur locaux au quotidien. Découvrez le « Pet at Works » ou le droit d’aller au travail avec son chien.

Pourquoi le « Pet at Works » ou le droit d’aller au travail avec son chien en entreprise est d’actualité ?

Le « take your dog to work day » est une manière de démontrer aux patrons qu’emmener son chien en entreprise est bienfaisant sur de nombreux plans. Cette vision est loin d’être ancrée en France contrairement à certains pays. Cette journée d’essai est un moyen de tester l’accueil des chiens en entreprise qui peuvent être vecteurs de liens entre les équipes.

Néanmoins, les sociétés doivent définir une réglementation d’accueil de l’animal dans leur enceinte comme un carnet vaccinal à jour, des zones interdites pour raisons d’hygiène, se protéger en signant une décharge de responsabilité auprès des propriétaires de chien, l’acceptation des collègues, l’exigence d’une assurance spéciale, etc… En effet, l’acceptation des animaux en entreprise demande une organisation et des règles cadrées. Néanmoins, aucun décret n’interdit leur présence dans le cadre professionnel.

Trouver un emploi où chacun pourrait emmener son chien sur son lieu de travail est un futur phénomène d’actualité présentant de nombreux bienfaits.

Les avantages d’avoir le droit de travailler avec son chien pour le maître, le patron, la société et les clients

Aller travailler avec son chien présente de nombreux avantages.

En effet, l’animal est réputé pour avoir des effets antistress en sus de favoriser la concentration. De surcroit, être avec son chien au bureau améliorerait la productivité. Elle ferait baisser considérablement le taux d’absentéisme et de « vacancéisme ». La motivation des salariés s’accroit. Ces derniers sont reconnaissants d’accepter leur animal sur le lieu professionnel et seraient plus enclins à faire des heures supplémentaires. De surcroit, amener son chien au travail améliore considérablement l’esprit d’équipe. Par sa présence, l’animal déclenche une cohésion et des interactions entre les collègues. En quelque sorte, il devient celui des autres et procure du plaisir à ceux qui n’en ont pas. Ca surenchérit le plaisir d’aller au travail de toutes les équipes.

Enfin, l’image de l’entreprise se modernise positivement en étant attrayante dans le cadre des recrutements. En effet, ça peut être le « petit plus » qui décidera un futur collaborateur à intégrer ce genre société pour son ouverture d’esprit et sa flexibilité. La fidélisation des clients et des salariés en sera largement améliorée. Plus de 98% des personnes interrogées par Holidog pensent que donner le droit d’aller au travail avec son chien donne du sérieux et de la crédibilité à l’entreprise !

Concernant le chien, il n’est plus seul à attendre le retour de son maître. Il sera heureux d’accompagner son propriétaire tous les matins sur son lieu professionnel. Il saura très vite trouver sa place et séduire les équipes qui le chouchouteront en retour.

Le droit d’aller bosser avec son chien déclenche le bien-être au travail de tous sur tous les plans en créant une dynamique d’entreprise ! Alors, tous au « Pet at Work » ! 🐕

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La dégradation de l’emploi en France https://blog.yogimag.fr/53159-la-degradation-de-l-emploi-en-france.html https://blog.yogimag.fr/53159-la-degradation-de-l-emploi-en-france.html#respond Fri, 06 Dec 2024 00:25:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=53159 Les médias rapportent quasi toutes les semaines la liquidation judiciaire de certaines grandes enseignes. Ils omettent d’informer les français de toutes les TPE et PME qui suivent le même chemin mettant en péril des milliers d’emplois mois après mois. L’heure apparait grave sur le plan de l’emploi. La hausse croissante et révolutionnaire des entreprises en faillite affaiblit les embauches. Découvrez pourquoi la dégradation de l’emploi en France s’accélère.

Les faillites d’entreprise impactent sur l’embauche

Les conséquences des faillites d’entreprises prennent une mauvaise tournure pour l’embauche. Les entreprises du CAC40 sont toujours mises à l’honneur et bénéficient d’aides de l’État. En parallèle, les franchises, des enseignes de renommée, des grands noms qui sont synonymes du savoir-faire français, des PME, des TPE, les artisans, les agriculteurs ne peuvent plus embaucher faute de moyens.

En effet, le manque d’aides financières et d’allègement des charges pour les relancer les conduit dans le précipice. Conjointement, ces chefs d’entreprise font face à l’inflation augmentant leur budget dépenses et les limitant dans leur pouvoir d’achat pour produire ou commercer. Pour nombreux, contraints de baisser leurs marges, ils n’arrivent plus à faire face aux charges les conduisant à la faillite. Désormais, les Tribunaux de Commerce croulent sous les dossiers des liquidations judiciaires qui s’accroissent années après années. 2024 est une année record.

Pourquoi cette hausse révolutionnaire de la dégradation de l’emploi en France ?

Les entreprises disparaissant les unes après les autres, les salariés pointent au chômage ; tous plus nombreux au fil du temps qui passe. Les entrepreneurs refusent d’embaucher compte tenu des situations économique et politique trop instables et imprévisibles. Par ailleurs, ces patrons sont pris à la gorge financièrement n’ayant plus les moyens d’employer un quelconque salarié. Pourtant nombreux en expriment les besoins. Croulant sous les charges, les taxes et des obligations impossibles à respecter, leurs sociétés sont mises en péril. Pour éviter ce scénario de mise à mort de leur société, certains dirigeants ont fait le choix de partir à l’étranger. C’est l’exode des recruteurs.

S’il n’y a plus de société, il n’y a plus d’emploi. Plus les entreprises sont en faillite, moins il y a d’embauche et plus il y a de chômeurs. S’il n’y a plus de patrons, il n’y a plus de salariés.

Actuellement, l’emploi en France est en péril. Miser sur le tertiaire, l’IA, les avancées technologiques, etc… au détriment de l’industrialisation et de l’agriculture, entre autres, parait être une erreur fondamentale qui contribue à la baisse et à la perte de la création d’emplois. Pourquoi ne pas gagner en force en dynamisant tous ces secteurs d’activités confondus ? L’emploi exploserait.

Blog sur le bien-être Yogimag

La concurrence déloyale responsable de la dégradation de l’emploi en France

De surcroit, la concurrence déloyale des plateformes étrangères bénéficiant d’avantages financiers et d’allègement de charges du gouvernement détruit les magasins et les boutiques internet françaises surtaxées mettant en danger des milliers d’emplois. En effet, il faut prendre conscience que les sites de vente en ligne français ont une équipe composée de comptables, assistantes, commerciaux, logisticiens, webmasters, sociétés partenaires et d’externalisation de services… Ce sont à nouveau des emplois qui disparaissent.

Cette concurrence déloyale touche de nombreuses activités comme les taxis, les coursiers, les agriculteurs… La proaction éviterait ce scénario de pertes d’emploi de masse et d’appauvrissement de la population.

L’actualité fait des « coups d’annonce » en mettant en avant 1 000 emplois créés par des plateformes étrangères venues envahir le marché français. Cependant, combien de milliers d’emplois web, en magasins et d’activités faisant tourner le pays disparaissent en silence face à la concurrence déloyale de ces monstres bénéficiant d’aides ?

L’intelligence artificielle coupable de suppressions d’emplois dans un proche futur ?

Dans un futur proche, l’Intelligence Artificielle sera responsable de la disparition de nombreux métiers et par conséquent de nombreux emplois. Les métiers touchés seront nombreux : comptables, recruteurs, chargés des paies, assistants, hôtesses d’accueil, webmasters, chasseurs immobiliers, … De nouveaux métiers verront le jour mais combien de salariés seront confrontés au manque de formation à ces nouveaux jobs les laissant sur les bancs de France Travail ? L’emploi va très mal en France.

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Le nouveau mode de recrutement connecté https://blog.yogimag.fr/51556-le-nouveau-mode-de-recrutement-connecte.html https://blog.yogimag.fr/51556-le-nouveau-mode-de-recrutement-connecte.html#respond Tue, 29 Oct 2024 00:02:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=51556 Vous êtes en recherche d’emploi ? Vous êtes addict du web ? Découvrez le nouveau mode de recrutement connecté avec le blog Yogimag. Cette nouvelle technique d’embauche digitale cible particulièrement la génération Z pour être une population rivée sur les écrans.

Le principe du recrutement connecté sous forme de « matching » et de « like » via de nouvelles applications en ligne

Surprenante méthode pour les anciennes générations habituées à adresser un CV et une lettre de motivation aux employeurs… Il va falloir vous y mettre si vous voulez rester dans le « move » ! Le principe du recrutement connecté consiste à simplifier le processus de recrutement sur la base du « matching » et du « like ». En effet, la mise en relation entre employeurs et candidats via ces nouvelles applications est plus directe et rapide. Elles nous feraient penser à des sites de rencontres😂

Des recruteurs connectés aux profils

Les entreprises appâtent les futurs salariés en diffusant des vidéos, des photos de l’environnement du travail et les avantages qu’elles offrent à l’embauche comme les avantages sociaux ainsi que leurs offres d’emploi. L’avantage de cette nouvelle façon de recruter virtuellement est de faire gagner du temps aux chasseurs de têtes. Les employeurs n’ont plus besoin de sourcer. C’est le site digital de recrutement qui s’en charge via les inscriptions des chercheurs d’emploi séduits par cette plateforme de rencontres professionnelles.

Des candidats connectés aux profils et aux offres des entreprises

Les candidats répondent à une trentaine de critères de manière à optimiser la mise en relation via une application en ligne. Ensuite, il référencent leurs compétences, leurs diplômes et leur cursus professionnel. Ils peuvent diffuser des vidéos prouvant leur savoir-faire. L’avantage est qu’il suffit d’être inscrit pour être chassé. Cette nouvelle forme de recrutement digitale évite de passer des heures à faire des lettres de motivation ou à faire des vidéos de recrutement à répétition.

Comment se passe la connexion employeurs/candidats via ces nouvelles plateformes de recrutement professionnelles on line ?

Ce nouveau mode de recrutement connecté s’appuie sur un canal d’échanges varié. Le recruteur séduit par un candidat va entrer en relation avec lui via un chat intégré, une messagerie, des SMS et des appels téléphoniques… En cas de « matching », le chasseur de tête demande un premier entretien par visioconférence. Si son intérêt se précise, le candidat sera convoqué à un entretien physique. L’avantage est que les employeurs et les candidats gagnent du temps via ces nouvelles applications en ligne en accélérant les processus.

Habituez-vous à ces nouvelles façons de recruter virtuelles, c’est l’avenir !

Restez connecté(e) pour être recruté(e) ! 😉

Parlez-nous de vos expériences de recrutement connecté 👍

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La meilleure heure pour prendre des décisions https://blog.yogimag.fr/49335-la-meilleure-heure-pour-prendre-des-decisions.html https://blog.yogimag.fr/49335-la-meilleure-heure-pour-prendre-des-decisions.html#respond Tue, 01 Oct 2024 01:58:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=49335 Nombreux sont ceux qui se demandent quel est le meilleur moment de la journée pour décider. On dit que « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ». Ce n’est peut-être pas un hasard. Découvrez quelle est la meilleure heure pour prendre des décisions.

La nuit le cerveau cogite comme on le dit « la nuit porte conseil ». Bien souvent, nombreux trouvent des réponses à leurs questions en se levant. Lorsque les étudiants révisent leurs cours le soir, le sommeil aide à mieux stocker les informations.

Cet article sur la vie au quotidien démontre que certaines heures sont plus propices que d’autres pour prendre des décisions importantes. Alors quelles sont-elles ?

Quels sont les mauvais horaires pour les prises de position dans la journée ?

Le conseil est de ne pas prendre de décision lorsque l’on a faim. Dès lors que le corps réclame à se nourrir, c’est qu’il est en manque d’énergie. Le cerveau marche au ralenti, c’est une réaction métabolique. Il a besoin de reprendre des forces. En conséquence, ce n’est surtout pas le bon moment pour réfléchir efficacement sous peine d’avoir des réflexions biaisées.

Les heures qui passent dans la journée permettent d’optimiser notre capacité d’analyse, de réflexion et par conséquent de décision. En revanche, nous savons tous qu’après le déjeuner, le cerveau se met en « mode sieste ». De fait, le début d’après-midi n’est pas non plus l’heure de prédilection pour décider.

En fin de journée, il est constaté que le gyrus frontal moyen décline. Cela implique que cette zone du cerveau liée au processus décisionnel est diminuée dans ses capacités à solutionner efficacement. La fatigue peut entraîner des décisions rapides loin d’être les plus judicieuses. En conséquence, ce n’est pas non plus le moment optimal pour les prises de position.

En conséquence, réfléchissez à deux fois avant de prendre une décision pendant ces trois créneaux horaires. Par déduction, il ne reste plus que la matinée.

La meilleure heure pour prendre des décisions est la fin de matinée

Le meilleur moment pour décider serait le matin à partir de 8h. En effet, le cerveau fait le point pendant la nuit. L’inconscient met de l’ordre dans les idées. Il range les évènements dans les cases en soulageant du stress pour partir de bon pied au lever du jour. Ne dit-on pas que « le sommeil est réparateur » ? Non seulement, le cerveau se régénère pour être lucide mais il reprend de l’énergie pour attaquer le lendemain de façon clairvoyante et attentive prêt à décider avec un esprit éclairé.

Selon de nombreuses études, le meilleur créneau horaire pour se positionner en décideur serait entre 11h et 12h30. La lucidité est à son apogée au cours de cette plage horaire !

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Le recrutement par vidéo https://blog.yogimag.fr/48259-le-recrutement-par-video.html https://blog.yogimag.fr/48259-le-recrutement-par-video.html#respond Mon, 23 Sep 2024 13:54:50 +0000 La nouvelle tendance 2024 en terme de RH est de déposer une candidature via un enregistrement physique. Néanmoins, depuis plus d’une décennie, les CV (curriculum vitae) n’ont plus l’obligation de comporter une photo ni de notifier l’âge pour éviter tout recrutement à connotation discriminatoire. En conséquence, le recrutement par vidéo ne serait-il pas un moyen détourné de contourner la législation en vigueur ?

Le recrutement par vidéo est-il discriminatoire ?

Il est vrai que recruter via une vidéo fait gagner du temps aux recruteurs. La personne se présente, le chasseur de tête entend la manière dont le candidat s’exprime. Sa façon de se tenir et de se comporter face à la caméra permet de cibler ses points forts et ses points faibles. En revanche, les performances du candidat à l’écrit ne sont pas testées.

Ce mode de recrutement pourrait être apparenté à un moyen de détourner les obligations concernant l’interdiction de discrimination sur l’âge et l’appartenance culturelle ou religieuse. Le recruteur caché derrière son écran décide d’exclure ou de retenir un candidat à distance sans être confronté à la personne physiquement. L’avantage est que le chasseur de tête pourra visionner autant de fois qu’il le souhaite cette vidéo.

Les recrutements par vidéo sont-ils analysés par l’IA ?

L’IA faisant son apparition dans les ressources humaines sera en mesure de trier les candidats. Elle est d’une grande aide pour les recruteurs. L’intelligence artificielle est capable de « profiler » chaque postulant.

  • morphologie
  • morphopsychologie (regard, lèvres, forme du visage…)
  • gestuelle
  • comportement
  • rapidité du débit de paroles
  • aspect physique
  • capacités orales
  • fautes d’élocution
  • vidéo improvisée ou en mode lecture
  • etc.

Tout est analysé. Le candidat passe au crible.

L’IA cataloguera les points forts et les points faibles du candidat via cette vidéo de recrutement. En conséquence, le recrutement par vidéo analysé par l’IA décèlera les failles et les atouts des postulants grâce à son algorithme de données. Elle sera en mesure d’établir une bibliothèque de profils qu’elle proposera aux recruteurs. Chaque postulant analysé enrichira sa banque de données.

Dans l’espoir que d’éventuelles fausses annonces de recrutement ne pullulent pas sur le web pour éviter le phénomène de deepfake via les recrutements par vidéo.

Parlez-nous de vos expériences RH !
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