Santé | Site sur le bien-être | Blog.yogimag.fr https://blog.yogimag.fr/category/sante L'actualité bien-être, santé et sociétale Mon, 17 Mar 2025 16:12:59 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://blog.yogimag.fr/wp-content/uploads/2024/11/cropped-blog-yogimag-bien-etre-sante-yoga-32x32.jpg Santé | Site sur le bien-être | Blog.yogimag.fr https://blog.yogimag.fr/category/sante 32 32 Les familles d’hypotenseurs https://blog.yogimag.fr/57025-les-familles-d-hypotenseurs.html https://blog.yogimag.fr/57025-les-familles-d-hypotenseurs.html#respond Mon, 17 Mar 2025 12:57:39 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=57025 Les hypotenseurs diminuent la tension artérielle. A cet effet, il existe 5 classes d’antihypertenseurs : les diurétiques, les bêtabloquants, les bloqueurs calciques, les anti angiotensines et les inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Les familles d’hypotenseurs luttent contre l’hypertension. Découvrez les spécificités de ces traitements anti HTA.

Le but des hypotenseurs

Le but des hypotenseurs est de faire baisser la tension artérielle. Les antihypertenseurs sont des protecteurs des accidents vasculaires chez les personnes victimes de HTA (hypertension artérielle). Parmi eux, on compte les AVC (accident vasculaire cérébral), les infarctus, les accidents ischémiques transitoires (AIT), les troubles cardiaques, l’insuffisance du rythme du coeur, les lésions des reins ou de la rétine, etc…

Les hypotenseurs sont des médicaments contre l’hypertension. En effet, ils régulent la tension artérielle (TA). Ceci dans le but d’éviter de lourdes pathologies comme celles sus-énumérées.

Les 5 familles d’hypotenseurs

Il existe 5 familles d’hypotenseurs. Il est courant d’essayer plusieurs anti-hypertenseurs avant de trouver celui qui convient. Seul votre médecin ou cardiologue est apte à prescrire ou à changer ce traitement anti HTA. Il ne faut jamais l’arrêter de soi-même.

Les bêtabloquants dans le traitement contre l’hypertension

Ces traitements contre l’hypertension sont des hypotenseurs efficaces. Ils diminuent la fréquence cardiaque engendrant une baisse de la tension artérielle pour réduire les contractions du coeur. Ils sont particulièrement prescrits aux personnes hypertendues dont la fréquence cardiaque au repos est rapide. Ces médicaments s’adressent spécifiquement aux patients ayant fait un infarctus du myocarde ou présentant des angines de poitrine. Ils peuvent entrainer des troubles du sommeil et des dysfonctionnements de l’érection, un ressenti de fatigue chronique ainsi que des troubles digestifs.

Les diurétiques hypotenseurs

Ces médicaments contre l’hypertension font partie des plus vieilles familles d’hypotenseurs. Ils sont une valeur sûre dans le traitement de l’HTA. Ils contribuent à éliminer la rétention d’eau et la présence de sel par les fonctions rénales. Le but de ce puissant diurétique anti HTA est de restreindre la pression de ce liquide sur les parois des artères. Ils peuvent entrainer une baisse de potassium dans le sang et des réactions cutanées lors de l’exposition au soleil. Il est impératif de consulter régulièrement un dermatologue lors de la prise de cette molécule d’hydrochlorothiazide.

Les inhibiteurs dans le traitement de l’HTA

Ces traitements hypotenseurs ralentissent la pénétration du calcium dans la masse musculaire afin d’abaisser la contraction artérielle. En effet, l’hypercalcémie provoque de la fatigue, le besoin de beaucoup s’hydrater et entraine des troubles neurologiques tels que les troubles cognitifs, des modifications de l’humeur, des hallucinations ou des confusions.

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Les médicaments anti angiotensine ECA dans le traitement de l’hypertension

Ces médicaments hypotenseurs sont des antagonistes évitant la contraction des parois musculaires des petites artères. Ils diminuent la pression artérielle. Par ailleurs, cette nouvelle famille d’hypotenseurs a peu d’effets indésirables bien qu’une étude démontre des atteintes graves de l’intestin. De surcroit, elle est contre-indiquée pour les personnes présentant des insuffisances rénales et à partir du 4ème mois de grossesse. Néanmoins, son efficacité n’a pas été prouvée dans les cas de maladies cardiovasculaires.

Les bloqueurs calciques parmi les familles d’hypotenseurs

Ces traitements anti HTA entraînent une vasodilatation abaissant la pression artérielle par leurs effets de relâchement des artères. Ils sont utilisés seuls ou en association avec des β-bloquants ou des diurétiques. Les inhibiteurs calciques réduisent la pression artérielle, corrigent l’irrégularité des battements cardiaques, ralentissent le rythme du coeur et soulagent les douleurs thoraciques.

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Pourquoi je bâille ? https://blog.yogimag.fr/56558-pourquoi-je-baille.html https://blog.yogimag.fr/56558-pourquoi-je-baille.html#comments Sat, 22 Feb 2025 02:35:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56558 Prendre une bouffée d’oxygène provoque plusieurs réactions physiologiques et émotionnelles. Les mécanismes du corps sont bien rodés pour retrouver de l’énergie. Découvrez pourquoi je bâille en lisant cet article du le blog Yogimag. Vous allez faire plein de découvertes !


Qu’est-ce que le bâillement ?


Bâiller est une réaction physiologique. Le bâillement c’est ouvrir la bouche pour inspirer de l’air et remplir ses poumons d’oxygène au maximum. Le thorax se bloque une fraction de seconde. Puis les voies pulmonaires se vident progressivement à l’expiration. Ce mécanisme naturel permet de reprendre de l’énergie et de pallier à diverses situations. Dans notre société occidentale, il est poli de mettre la main devant la bouche quand on bâille.


Les causes du bâillement


Il existe plusieurs raisons de bâiller. Découvrez les diverses causes du bâillement :

  • la fatigue
  • l’ennui
  • une forte chaleur
  • la faim
  • la fièvre
  • la prise de médicaments


Pourquoi je bâille exactement ?


Bâiller a un effet thermorégulateur. Comme les crocodiles qui gardent la gueule ouverte pour thermoréguler la température de leur corps, celui de l’homme réagit de la même manière notamment dans le cadre de fortes chaleurs et de fièvre.


Bâiller est un stimulant. En inspirant une grande dose d’oxygène, le sang s’énergise et redonne un coup de fouet au cerveau. Ce réflexe naturel stimule la vigilance et la concentration.


Bâiller le matin permet d’ouvrir les voies aériennes et de redynamiser les muscles associés à la respiration.


Bâiller est une alerte à l’hypoglycémie signifiant qu’il est temps de manger. Dans ce cas de figure, bâiller est une alerte.


Bâiller est un signal de fatigue avertissant qu’il est l’heure d’aller se reposer ou de dormir.


Bâiller est un signe d’ennui. Qui n’a jamais bâillé dans une réunion ? Le cerveau envoie un signal disant « je m’enquiquine ». Attention car l’interlocuteur décodera illico votre attitude que vous ne pourrez pas arrêter malgré vous.


Bâiller en s’étirant se révèle être un rite de séduction et de désir sexuel. Autant dire que l’autre saura décoder ce geste qui parait anodin.


Bâiller est un réflexe de relaxation. En inspirant de l’oxygène, le corps se détend en relâchant les tensions naturellement. Il pourrait être assimilé à un exercice de respiration pranayama.

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Pourquoi un bon bâilleur en fait bâiller 10 ?


D’après certains scientifiques les personnes qui bâillent en voyant bâiller une autre est une marque d’empathie. Nous serions plus sensibles à une personne de notre proche environnement qui bâille qu’à des étrangers.

Bâiller peut devenir contagieux sachant que l’on est de moins en moins sensible à ce réflexe conditionné en prenant de l’âge.


Quelles pathologies peut révéler le bâillement ?


Trop bâiller est anormal et peut être révélateur de certaines pathologies. Un excès de bâillements peut être lié au syndrome de l’apnée du sommeil ou signaler une luxation de la mâchoire. Il peut être signe de problèmes cardiaques, d’accident vasculaire cérébral, d’hypertension, de sclérose en plaques voire de tumeur du cerveau. Il accompagne bien souvent les migraines et les malaises vagaux.

La prise de médicaments tels que les antidépresseurs et les psychotropes peut faire bâiller. Les personnes atteintes de tics et de tocs, de la maladie de Gilles de la Tourette, de schizophrénie ou les hyperactifs ont tendance à bâiller excessivement.

En pédiatrie, une salve de bâillements peut être un signe d’alerte de fausse route alimentaire ou d’un corps étranger dans la gorge.


Les bienfaits de bâiller


Le bâillement est un allié pour notre bien-être. Nonobstant tous les bienfaits énumérés, bâiller contribue à se sentir bien. Il permet d’une manière quasi-instantanée de lâcher-prise. C’est une excellente façon de déstresser en deux secondes. Il contrôle notre activité parasympathique et améliore le fonctionnement du flux sanguin et de certains organes (cerveau, coeur, poumons, etc).

Forcer un bâillement est bon pour la santé ! C’est un excellent outil anti-stress et de bien-être.


Comment se faire bâiller soi-même ?


Dans le yoga, le karna mudra est une technique pour se forcer à bâiller.


Technique de yoga pour bâiller :

La pratique du karna mudra yoga consiste à écarquiller les yeux et à lever les sourcils tout en se pinçant les lobes des oreilles entre le pouce et l’index en les tirant vers le bas en ouvrant la bouche en grand et en tirant la langue dans l’arrière gorge.

Il faut savoir que la pratique du yoga déclenche naturellement le bâillement car elle libère les tensions émotionnelles et physiques. A l’identique, les cours de méditation font bâiller par le fait de se relâcher.


Autre technique pour se faire bâiller pour se faire du bien :


Inspirez profondément et lentement par la bouche au maximum du remplissage des poumons. Bloquez et expirez progressivement. Répétez cet exercice jusqu’à ce que le bâillement arrive. 


Pourquoi je bâille ? Vous savez désormais tout, bâiller n’a plus de secret pour vous !

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Le bien-être : une nécessité existentielle pour la santé https://blog.yogimag.fr/56396-le-bien-etre-une-necessite-existentielle-pour-la-sante.html https://blog.yogimag.fr/56396-le-bien-etre-une-necessite-existentielle-pour-la-sante.html#respond Sun, 16 Feb 2025 02:14:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56396 Apprendre à prendre soin de soi pour la santé mentale et le bien-être intérieur est devenu une nécessité existentielle. Le mal être engendré par les confinements a propulsé la notion de bien-être au sommet des exigences de la population.

Bien-être & Santé

Depuis la pandémie du covid-19, la population est en recherche constante de bien-être pour être en bonne santé et vivre mieux. En effet, le bien-être impacte sur la santé. Les consommateurs l’ont bien compris. Prendre soin de soi permet d’améliorer son well being pour rester en bonne santé sur les plans mental, métabolique et physique.

Les 5 éléments phares du bien-être sont : la pensée positive, l’engagement, la qualité des relations sociales, avoir des objectifs de vie et enfin la réalisation de soi. Ils permettent d’être épanoui et d’éviter tout état de stress ou d’anxiété. Par ailleurs, selon la vision hédoniste le bien-être réside dans l’épanouissement par l’équilibre affectif en atteignant la satisfaction globale (vie, sociale, emploi, vie familiale, relations amoureuses…). Enfin, l’OMS convient qu’il faut intégrer le bien-être à la santé publique.

Le bien-être est une nécessité existentielle pour la santé

Les adeptes du wellness ont bien compris que prendre soin de soi contribue à un équilibre psychique et sus de rester en forme physiquement. Par ailleurs, le « well being » augmente les défenses immunitaires et accroit le bon fonctionnement de l’organisme. Le bien-être est devenu une nécessité existentielle pour bien vivre et gagner en qualité de vie.

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Le bien-être et la santé pour le « mieux être »

L’évidence est que le « mieux être » passe par le bien-être et la santé. En effet, l’optimisation de la qualité de vie émane d’un travail sur soi. Apprendre à voir la vie positivement, éviter de se laisser envahir par les émotions négatives, croire en soi, atteindre ses buts, provoquer le bonheur sont une nouvelle façon d’envisager la vie qui permet d’atteindre le bien-être et par conséquent d’améliorer l’état de santé.

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Les médicaments anti rechute AVC https://blog.yogimag.fr/56301-les-medicaments-anti-rechute-avc.html https://blog.yogimag.fr/56301-les-medicaments-anti-rechute-avc.html#respond Tue, 11 Feb 2025 02:46:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=56301 En 2024, 150 000 AVC étaient recensés en France. Force est de constater que ce chiffre est en augmentation de 10 000 cas comparativement aux années précédentes. 30% environ laissent des séquelles sévères et 25% sont mortels. La prescription d’un traitement à vie s’impose après avoir été victime d’un accident vasculaire cérébral. Par conséquent, découvrez les médicaments anti rechute AVC.

L’accident vasculaire cérébral, c’est quoi ?

Il existe plusieurs stades d’AVC. L’AIT est un accident vasculaire cérébral qui dure de quelques secondes à quelques minutes. Il se résorbe de lui-même. Néanmoins, il faut le prendre au sérieux car majoritairement, il est annonciateur d’un futur AVC. Dans cet article, nous allons nous attacher aux traitements pour éviter la rechute de l’AVC ischémique.

L’avancée de la recherche permet de mieux soigner les AVC

En 2025, un nouveau dépistage anti-AVC est mis sur le marché. Il consiste à mesurer la fibrillation atriale, c’est à dire les dysfonctionnements cardiaques. Par ailleurs, un traitement par le glenzocimab développé par Acticor Biotech est en cours d’essai. Il vient en complément du traitement thrombolytique administré dans les heures qui suivent les premiers symptômes des accidents vasculaires cérébraux. Il donnerait d’excellents résultats. C’est une affaire à suivre.

Quels sont les médicaments prescrits pour éviter de rechuter après un AVC ischémique ?

Certains médicaments sont prescrits par le neurologue et/ou le cardiologue afin d’enrayer un risque de rechute de l’AVC. Le principal médicament post AVC est un antiagrégant plaquettaire. Celui-ci vise à prévenir la formation de caillots et par conséquent limite le risque d’un nouvel accident vasculaire cérébral. Parmi eux, il y a le Kardegic® 75mg ou 160mg, l’Aspirine Protect®, l’Aspégic 100®…

Cette prescription peut être complétée par un traitement anticholestérol (lipruzet®, Atorvastatine®, …). Enfin, un troisième médicament hypotenseur peut être prescrit pour limiter l’hypertension (Amlor®, Amiloride hydrochlorothiazide Teva®, valsartan®…).

Traitement anti-rechute AVC par trithérapie

Ce traitement anti rechute AVC par trithérapie peut provoquer des effets indésirables. Les bêtabloquants pour traiter le cholestérol peuvent provoquer des douleurs dans les articulations, les tendons et les muscles, des troubles de la vision, des cauchemars, une fatigue … Les hypotenseurs peuvent faire prendre du poids de manière démesurée et inexpliquée, provoquer une fatigue excessive ou des gonflements du visage… Enfin, les antiagrégants peuvent engendrer des saignements hémorragiques.

Les médicaments contre la rechute d’un AVC sont nombreux et adaptés à chaque cas. Ils doivent être pris avec soin.

Néanmoins, n’arrêtez jamais vos traitements sans consulter votre professionnel de la santé. Parlez-lui des désordres qu’ils occasionnent pour qu’il puisse agir en conséquence.

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Les meilleures vitamines pour la mémoire https://blog.yogimag.fr/55870-les-meilleures-vitamines-pour-la-memoire.html https://blog.yogimag.fr/55870-les-meilleures-vitamines-pour-la-memoire.html#respond Mon, 03 Feb 2025 02:21:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55870 Il faut prendre soin de son cerveau pour éviter de détériorer ses facultés cérébrales. La mémoire est l’une des composantes majeures de l’intelligence. Le traitement et le stockage de l’information passent par le système nerveux : l’appareil central de la mémoire. Le glucose transporté par le sang est le principal carburant des neurones tout comme certaines vitamines sont indispensables pour garder une bonne mémoire. Manger sainement est le premier réflexe à avoir pour garantir le bon fonctionnement cérébral. Maintenir sa mémoire en bonne santé ne tient qu’à nous.

Quel est le meilleur aliment pour booster la mémoire ?

Les remèdes miracles n’existent pas. Compléments alimentaires, médicaments de perlimpinpin, toutes ces boites commercialisées à coup de marketing n’améliorent en rien la mémoire. La seule vérité est qu’il faut avoir une alimentation saine et équilibrée. En effet, en se nourrissant de protéines, lipides, glucides, de vitamines, d’oligo-éléments, d’antioxydants et de minéraux est la meilleure solution pour entretenir la mémoire.

Quelles sont les meilleures vitamines pour la mémoire ?

Découvrez tout ce dont le cerveau a besoin pour garder une bonne mémoire.

Les antioxydants

Un manque d’antioxydant engendre un vieillissement cérébral précoce. La vitamine E est un puissant antioxydant protégeant les neurones des dangers de l’accumulation de graisses et de protéines oxydées. Cette vitamine contribue à la protection du bon fonctionnement des cellules nerveuses qui interagissent avec la mémoire.

Les oligo-éléments

Le sélénium est un oligo-élément ayant des propriétés antioxydantes. Il aide à éliminer les radicaux libres du cerveau pour conserver ses capacités notamment celles de la mémorisation.

Le calcium est essentiel pour le bon fonctionnement du système nerveux. Il agit sur les neurotransmetteurs qui sont responsables de la bonne transmission des informations dont celle des souvenirs et de la mémorisation.

Les vitamines

La vitamine B fait partie des meilleures vitamines pour la mémoire. Une alimentation trop riche en sucre et en graisses ou déséquilibrée serait un facteur responsable d’un déficit de cette vitamine essentielle pour le cerveau et les neurones. La carence des vitamines B entraine des troubles de la mémoire.

La vitamine B1 (thiamine) joue un rôle essentiel en tant que neurotransmetteur. Elle produit de l’énergie pour le bon fonctionnement des neurones. La vitamine B6 (pyridoxine) augmente les capacités de concentration et empêche l’affaiblissement de la mémoire. La vitamine B9 (acide folique) enraye les troubles de la mémoire en augmentant les facultés de raisonnement et de concentration.

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Les phyto-nutriments

Les flavonoïdes sont de puissants antioxydants et des veino-actifs. On les trouve dans les fruits et les légumes. Ils empêchent l’inflammation des tissus principale cause dans la maladie de Parkinson et celle d’Alzheimer qui s’attaquent à la mémoire provoquant des dégénérescences.

Conseils pour garder une bonne mémoire

Faire travailler sa mémoire est vital pour la garder en bonne santé. Par ailleurs, de nombreux jeux en ligne permettent d’entrainer la mémorisation. Pour celles et ceux qui le souhaitent, le yoga est une excellente pratique pour faire travailler la mémoire.

Comment garder une bonne mémoire ? La mémoire est une gymnastique de l’esprit, elle s’entretient nonobstant un apport en vitamines suffisant.

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Maladie d’Alzheimer : un nouveau responsable identifié par la science https://blog.yogimag.fr/55720-maladie-alzheimer-nouveau-responsable-identifie-science.html https://blog.yogimag.fr/55720-maladie-alzheimer-nouveau-responsable-identifie-science.html#respond Sun, 02 Feb 2025 01:41:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55720 La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative. De nombreuses recherches tentent de trouver le responsable de cette maladie démentielle. Les scientifiques de Nature Aging ont identifié un nouveau « responsable » de la maladie d’Alzheimer : les microgliocytes. La découverte de ce coupable est un grand espoir face à ce fléau du 21ème siècle.

La maladie d’Alzheimer, c’est quoi ?

La maladie d’Alzheimer touche les fonctions cognitives. Elle se manifeste sous une forme de démence provoquant des troubles de la pensée, de la mémoire et du comportement. Évoluant lentement, Alzheimer s’aggrave au fil du temps. Le patient s’enfonce dans une perte de mémoire jusqu’à ne plus pouvoir interagir en société coupé de toute communication. Maladie incurable à ce jour, les traitements médicamenteux peuvent ralentir son évolution. Néanmoins, l’avancée scientifique donne de nouveaux espoirs pour avoir débusqué un nouveau responsable.

Identification des symptômes d’Alzheimer

Les symptômes d’Alzheimer sont nombreux. Le plus connu est la perte de mémoire qui s’amplifie avec le temps. La difficulté à trouver des solutions aux problèmes, l’incapacité à exécuter des tâches quotidiennes, la confusion avec un lieu ou le temps, les oublis, une baisse d’interaction avec les autres, le repli sur soi, des comportements inhabituels, les confusions, les injures, la non reconnaissance de son cercle familial, la violence… Tous ces symptômes sont des signaux de la maladie d’Alzheimer qui doivent éveiller les soupçons.

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Maladie d’Alzheimer : un nouveau responsable identifié par la science

Les microgliocytes sont des cellules immunitaires vitales au bon fonctionnement cérébral.
Elles proviennent de la moelle épinière. Elles permettent de former un tissu cicatriciel après une liaison cérébrale et d’éliminer les résidus après la mort cellulaire. De surcroit, elles contribuent à la réponse immunitaire du système nerveux central. Dans le cadre de la maladie d’Alzheimer, les microgliocytes sont à l’état inflammatoire élevé, elles passent du stade de « protecteur » au stade d' »agresseur ». Elles seraient potentiellement responsables d’Alzheimer dès lors qu’elles sont activées. A ce jour, les neuroscientifiques sont sous le sceau de deux hypothèses :

  • soit les microgliocytes sont responsables de la maladie
  • soit c’est la pathologie qui modifie le comportement de ces cellules

Le doute sur ces deux scénarios guide les scientifiques sur une nouvelle voie pour comprendre la dégénérescence neuronale de la maladie d’Alzheimer.

Une ouverture à de nouvelles méthodes thérapeutiques

1 – Arrêter l’état inflammatoire excessif en empêchant l’état pré-inflammatoire d’évoluer.

2 – Accélérer la protection neuronale et éliminer les déchets en excitant les microgliocytes protecteurs.

3 – Ralentir les actions des cellules nuisibles en ciblant les groupes de microgliocytes dangereux.

L’avancée de la recherche laisse penser que les neuroscientifiques sont sur la bonne voie pour découvrir des traitements curatifs efficaces pour lutter contre la maladie d’Alzheimer.

Découvrez aussi nos articles sur la santé : l'AVC, un espoir vers la vie éternelle, l'IA au secours de la cancérologie, etc...
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Les symptômes de la maladie de parkinson https://blog.yogimag.fr/55565-les-symptomes-de-la-maladie-de-parkinson.html https://blog.yogimag.fr/55565-les-symptomes-de-la-maladie-de-parkinson.html#respond Mon, 27 Jan 2025 01:47:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55565 La maladie de parkinson est une pathologie neurodégénérative. Les personnes diagnostiquées a doublé entre 1990 et 2015. Entre 2016 et 2020, cette maladie continue à progresser notamment pour la tranche d’âge de 45 à 80 ans. C’est la deuxième cause d’handicap moteur après l’AVC. Cette maladie est chronique et progresse lentement. Elle apparait lorsque 50 à 70% des neurotransmetteurs sont détruits. Découvrez les symptômes de la maladie de Parkinson.

Comprendre la maladie de Parkinson

La maladie de parkinson est causée par la disparition progressive de certains neurones du cerveau et par l’accumulation d’amas protéiques toxiques pour les cellules nerveuses. Ce phénomène empêche le bon cheminement des nutriments jusqu’aux neurones à dopamine (neurotransmetteurs) entrainant leur mort. Ces neurones dopaminergiques jouent un rôle majeur sur la motricité, le plaisir, la motivation et la récompense. Dans le cas de Parkinson, ces amas protéiques « tau » se torsadent pour former une accumulation de fibres emmêlées. A compter de ce stade, la transformation des cellules protéiniques se déclenche pour se transmettre d’un neurone à l’autre. Le malade est atteint d’une inflammation du tissu cérébral et d’une activité anormale des fonctions vitales des cellules (mitochondries).

Seulement 15% de la population touchée par Parkinson a des antécédents familiaux et 5% est d’origine génétique. De surcroit, l’exposition à certains métaux et pesticides faciliterait le déclenchement de cette maladie. Étrangement et selon une étude, le tabac et le café seraient source de stimulation de la dopamine.

Les symptômes de la maladie de Parkinson

Les symptômes de la maladie de Parkinson se manifestent de plusieurs manières :

Dégradation des capacités physiques

Le premier symptôme de la maladie de parkinson est les tremblements notamment au repos.

Parkinson affecte la mobilité des personnes touchées par cette maladie. Les muscles se raidissent et se contractent pouvant provoquer des crampes et des douleurs musculaires. Par ailleurs, les malades remarquent une lenteur des mouvements qui s’accentue avec le temps. A un stade avancé, elle empêche de faire des gestes quotidiens comme s’habiller, manger, se laver… L’écriture devient patte de mouche.

Diminution des facultés cognitives

La maladie de Parkinson atteint les facultés cognitives et fonctionnelles. En effet, progressivement elle empêche la capacité de concentration, d’acquisition de nouvelles connaissances, de s’adapter ou de raisonner. Elle entrave l’interaction avec les autres au point de ne plus pouvoir suivre une discussion.

Lentement, elle impacte sur les aptitudes à comprendre, à se souvenir, à réfléchir et à avoir du plaisir. A un stade avancé comme pour la maladie d’alzheimer, la personne perd tout repère et s’égare. Elle devient confuse avec une mémoire qui se détériore. Au départ, seule la mémoire à court terme sera touchée puis celle à long terme : celle des souvenirs.

Affectation des troubles de l’humeur

Ce perturbateur neuropsychiatrique a des effets néfastes sur l’état psychique du patient. Il développe des fluctuations de l’humeur et des réactions inhabituelles comme une irritation ou une agressivité soudaine incontrôlée. Compte tenu que les neurones à dopamine sont en décroissance, le malade tombe progressivement dans un état anxieux voire dépressif. En effet, les neurones dopaminergiques s’appauvrissent et s’asphyxient par l’accumulation d’amas protéiques appelés corps de Lewy. Le malade perd le contrôle de ses émotions voire est victime d’hallucinations.

Autres fonctions touchées

La perte de l’odorat (anosmie), la perte de l’équilibre, les troubles du sommeil sont des facteurs qui font partie du diagnostic de la maladie de Parkinson.

En cas de doute, n’hésitez pas à consulter votre professionnel de la santé. Il saura vous guider vers un neurologue qui vous prescrira un traitement adéquat pour ralentir le processus de cette maladie.

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La luxothérapie https://blog.yogimag.fr/55485-la-luxotherapie.html https://blog.yogimag.fr/55485-la-luxotherapie.html#respond Thu, 23 Jan 2025 02:30:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55485 Utilisée pour perdre du poids, en anti-stress, en régulateur de sommeil, en soin anti-âge… La luxothérapie est une méthode alternative à l’acupuncture. Découvrez à quoi sert la luxothérapie, ses principes et ses bienfaits.

La luxothérapie, c’est quoi ?

C’est quoi la luxothérapie ? Cette méthode est une médecine par laser pratiquée par un médecin esthétique. Elle s’inspire des principes de l’acupuncture. En effet, elle agit sur le métabolisme, le psychique et l’organisme sauf qu’il n’y a pas les aiguilles. Basée sur l’action d’une lumière infrarouge, elle dynamise les points réflexes à des fins de mieux être. En fonction de l’action souhaitée, le médecin guide le faisceau laser sur la zone à traiter : méridiens, organes, zones faciales, etc… Cette technique de traitement naturelle est douce et indolore.

A quoi sert la luxothérapie : la thérapie par laser ?

Le but de la luxothérapie est de soigner le patient tant sur les plans physique, métabolique et psychique qu’esthétique. En effet, cette thérapie par laser agit dans de nombreux cas :

Pour perdre du poids

Le médecin agit de manière à rééquilibrer le psy et le physique du patient. Le faisceau laser est dirigé sur des zones sensibles afin de corriger le trouble alimentaire et de rétablir le fonctionnement métabolique par la sensation de satiété. S’en suivra un régime adapté et un suivi de plusieurs séances pour renforcer l’action.

Pour sortir de son addiction

Toujours sur le principe de cibler des zones réflexes, le médecin dirige le laser sur des points particuliers atténuant l’envie irrépressible de fumer, de boire, etc… Son acte vise à calmer et à faire disparaitre le besoin chronique à consommer des substances toxiques. De surcroit, d’autres zones sont ciblées afin de booster la production de dopamine et d’endorphines en vue de calmer tout trouble de l’humeur suite à l’arrêt de l’addiction.

Pour retrouver une qualité de vie

Les bienfaits de la luxothérapie sont nombreux. Dans le cadre de la ménopause, elle aide les femmes à lutter contre les bouffées de chaleur, la prise de poids et les changements d’humeur. Pour les personnes atteintes de fatigue chronique, elle est un processus efficace qui enraye cet état d’épuisement latent.

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Pour lutter contre l’anxiété

La luxothérapie est un remède efficace contre les états dépressifs et anxieux. En agissant sur des zones caractéristiques, elle atténue l’hyperactivité et le stress toujours dans le principe de solliciter la dopamine et la production naturelle d’endorphines.

Pour une relaxation garantie

Toujours basée sur la libération des hormones du bonheur par des points contacts, cette médecine douce est source de relaxation profonde en facilitant un état de quiétude général. Elle libère les tensions, soulage la charge mentale et améliore la concentration. La luxothérapie est un excellent outil de relaxation.

Pour effacer les imperfections esthétiques

La luxothérapie en solution anti-âge. En effet, le médecin esthétique agit sur les rides et les ridules afin d’effacer leur progression liée au vieillissement cutané. Au fil des séances, la peau gagne en jeunesse et se lisse. La luxothérapie efface les imperfections esthétiques.

Comment se passe une séance de luxothérapie ?

La première séance de luxothérapie comporte un entretien préalable pour définir les besoins du patient. Le médecin détermine le nombre de séances nécessaires pour aboutir au résultat escompté. Ensuite, il interviendra sur le patient en position allongée. Il stimulera une trentaine de points réflexes en fonction des attentes. Pour exemple, s’il s’agit de troubles de la ménopause, il stimulera le système hormonal. S’il doit ralentir une rétention d’eau, il activera le système lymphatique. Enfin, si le patient est atteint de troubles du transit, le médecin interviendra sur le système digestif.

Vous l’aurez compris, cette thérapie laser traite de nombreux cas. Et si vous essayiez cette nouvelle technique de santé/bien-être ?

Faites-nous part en commentaire de votre expérience avec la luxothérapie ! 😉 
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Dépistage en prévention de l’AVC https://blog.yogimag.fr/55353-depistage-en-prevention-de-l-avc.html https://blog.yogimag.fr/55353-depistage-en-prevention-de-l-avc.html#respond Fri, 17 Jan 2025 01:42:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=55353 L’accident vasculaire cérébral arrive sans prévenir. Il n’est pas douloureux, il arrive à pas de velours sans avertissement préalable. L’avancée médicale a développé un nouveau dépistage en prévention de l’AVC.

Le but du dépistage anti-AVC

Le but du dépistage anti-AVC est de mesurer la fibrillation atriale (FA). C’est à dire qu’il décèle les troubles du rythme cardiaque en détectant une accélération du coeur ou une arythmie. L’obésité, le vieillissement, l’apnée du sommeil sont des facteurs favorisant les dysfonctionnements cardiaques.

Un test détecteur d’AVC

Ce test détecteur d’AVC est actuellement à l’essai. Le corps médical fonde ses espoirs sur ce diagnostiqueur pour sauver des personnes de l’accident vasculaire cérébral. Néanmoins, l’AVC peut être provoqué par d’autres pathologies que la fibrillation atriale comme l’hypertension, un FOP, une hypercholestérolémie provoquant entre autres une obstruction de la carotide ou encore une mauvaise circulation sanguine liée notamment à un manque de fluidité du sang favorisant la production de caillots. Ces dernières ne sont pas détectables avec ce nouveau test AVC.

Le dépistage en prévention de l’AVC

Ce dépistage en prévention de l’AVC est une belle avancée mais incomplet quant aux différentes pathologies responsables de l’accident vasculaire cérébral. Néanmoins c’est un grand pas plein d’espoir vers l’avancée diagnostique médicale anti-AVC.

Comment fonctionne ce diagnostiqueur d’AVC ?

Le diagnostiqueur d’AVC ressemble à un bâton métallique de 30 cm. Le client en position assise met ses mains à chaque extrémité. Ce dispositif médical MyDiagnostick est indolore, rapide (1 minute) et gratuit. La LED verte indique l’absence de FA. En revanche si la LED rouge s’allume, elle avertit de la présence de FA qui déclenche une prise en charge médicale immédiate pour éviter l’AVC qui pourrait changer définitivement la vie de la personne.

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Les dangers du stress sur la santé https://blog.yogimag.fr/54885-les-dangers-du-stress-sur-la-sante.html https://blog.yogimag.fr/54885-les-dangers-du-stress-sur-la-sante.html#respond Sun, 12 Jan 2025 02:14:00 +0000 https://blog.yogimag.fr/?p=54885 L’angoisse, le stress et le manque d’épanouissement sont des états psychologiques qui augmentent les risques d’une dégradation de la santé. En effet, le stress psychosocial aggravé est un facteur qui accroit l’obsolescence des tissus et du système immunitaire. Découvrez les dangers du stress sur la santé physique, métabolique et mentale, le vieillissement, les troubles alimentaires et la longévité.

Les dangers du stress sur la santé en général

Le stress accélère le vieillissement avec un risque de dégradation général de l’état de santé. Selon une étude de l’IFOP, 95% des français sont touchés par cet état de détresse psy. Le stress chronique est insidieux et redoutable car il provoque des dommages sur l’ADN. Cette macromolécule est présente dans les virus et les cellules. La détérioration de cet acide désoxyribonucléique engendre un dysfonctionnement du métabolisme favorisant ainsi le développement de cancers et des troubles de la santé en tout genre.

Sur le plan de la santé

Un stress continu raccourcit les télomères (les extrémités des brins d’ADN) diminuant la capacité de reconstitution des cellules. Dans le cas de disparition de ces télomères, les cellules deviennent inflammatoires et ne produisent plus aucune défense immunitaire. Ce processus augmente les chances de développer des pathologies sévères dont les cancers.

Sur le plan du vieillissement physique

La diminution des télomères accélère considérablement le processus du vieillissement provoquant un vieillissement précoce des cellules et de fait de l’apparence physique. Une personne stressée pendant 2 ans en parait 10 de plus pour ne plus être épanouie faute de déclencher un taux de dopamine suffisant ; la cellule essentielle au plaisir.

Sur le plan psychologique et cérébral

Le stress élevé et répété dévaste les connections neuronales. Ces dernières régulent les troubles alimentaires et les troubles comportementaux. Le stress incompressible pousse aux addictions par le besoin de récompense chronique pour le compenser.

Sur le plan métabolique

Le stress à répétition a des répercussions biochimiques. Il active le neuropeptide Y (NPY). C’est un activateur chimique de graisse qui cible les graisses abdominales en particulier. Par ailleurs, il provoque une augmentation du taux de cortisol ; principal responsable de la production de graisses corporelles. Selon plusieurs études scientifiques, stress et graisse sont étroitement liés.

Sur le plan de la longévité

Le stress peut diminuer l’espérance de vie jusqu’à 30 ans s’il est vécu depuis l’enfance ou fait partie du quotidien depuis de multiples années.

Quels sont les « facteurs risques du stress » ?

Le manque d’activité physique, un mauvais réseau social, la perte d’un emploi ou une relation de couple toxique peuvent engendrer un stress quotidien. Les victimes de stress sont bien souvent dans la solitude. Les personnes stressées ont tendance à se réfugier dans leur travail ou dans le sport à haute dose.

Néanmoins, la prise de mesure de la valeur prédictive des télomères pourrait être bénéfique pour comprendre que la surdose de stress doit s’arrêter avant la destruction totale des extrémités de chaque ADN. Est-ce la future prise de sang de prévention pour éviter les dangers du stress pour la santé ?

En sachant les risques encourus, peut-être que les personnes victimes de stress se tourneront vers des thérapies de bien-être comme le yoga ou la méditation, le sport, etc… pour désarmer ce stress chronique, retrouver un bien-être intérieur et surtout la santé qui leur est vitale.

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