C’est quoi la génération alpha ?

La génération Alpha comprend les enfants de 0 à 15 ans. Elle est de loin la génération à mettre sous haute surveillance pour être hétérogène dans ses actes et ses fonctionnements de pensée.

Les faits conditionnant le comportement de la génération α

Le comportement de la génération α est conditionné par différents faits marquants. Elle est victime de 3 grands axes :

Le monde des adultes

• La volonté des adultes d’abolir les genres : entendre parler de « yel » ou de personne non-binaire déstabilise les enfants. Suite à la révolte de nombreux parents, cette notion d’agenre commence à prendre fin.
• Les pertes d’emploi plongeant les familles dans la misère marquent cette jeune descendance qui prend peur pour leurs propres parents.
• L’abandon de certains parents dans leur rôle d’éducateur accroit la modification de leur comportement. Responsabilisée trop tôt ou délaissée, cette génération s’auto-éduque en se forgeant ses propres repères, qui souvent, sont conditionnés par les réseaux sociaux.
• Des parents trop défenseurs de leurs enfants perturbent l’éducation nationale dans son rôle d’apprentissage et empêchent les enseignants de faire régner la discipline pendant les cours.

Les médias et les politiques

• Entendre le mot « guerre » est destructeur. En effet, ces enfants sont bercés par le terme « guerre« , ils vivent dans l’angoisse voire exorcisent leur peur en devenant violents et agressifs.
• Les médias en mode rabâchage 24h/24 qui alertent sur tous les faits et dangers sociétaux.
• Le mouvement écologiste fait peur aux jeunes générations. Il impacte sur leurs angoisses et leur transmet une eco-anxiété démesurée.
• Les confinements à répétition sont les premiers vecteurs destructeurs de cette génération alpha devenue agressive, laxiste, dépressive ou insociable.
• Internet donnant accès à toutes sortes d’informations.

La société

• La violence au quotidien que ce soit dans l’environnement scolaire ou sociétal modifie le comportement des alphas.
• La peur de sortir à l’extérieur face à l’insécurité
• L’accès aux réseaux sociaux mettant en avant des « fake news », des endoctrinements de tout ordre, des photos non-adaptées à cette génération sont responsables de leur changement d’attitude comparé aux anciennes générations.
• Les jeux de guerre virtuels qui conditionnent les cerveaux de nos plus jeunes générations et normalisent la suppression d’une vie.
• Un niveau scolaire en chute libre mettant le niveau culturel et intellectuel de cette jeune génération française en danger.
• Des manifestations culturelles qui détruisent l’image de la femme ou de l’homme et par conséquent leur propre image en devenir.
• Des mots de jargon de leur temps ont pris la place d’un vrai vocabulaire structuré et enrichi compréhensible de tous.
• La sédentarité est un autre souci ayant modifié le comportement des moins de 15 ans.

Le comportement de la génération alpha inquiète

Suite à tous ces scénarios, le comportement de la génération alpha est modifié et inquiète sérieusement. Différente de la génération Z, les constats sont éloquents dans l’enseignement, dans leurs attitudes et leurs rapports aux autres ou en société. Néanmoins, force est de constater que les attitudes de la génération alpha sont disparates en fonction du milieu dans lequel elle évolue.

L’attitude de la génération des 8-15 ans

• L’irrespect fait partie de sa façon d’être
• Le refus d’obéissance est chose courante
• Une génération de plus en plus agressive
• Arrogante, elle n’hésite pas à contrecarrer les adultes sans ménagement et de façon narquoise
• La discipline est une notion qui lui est étrangère
• Son vocabulaire s’appauvrit et emprunte de plus en plus des mots de jargon et de verlan
• Un appauvrissement intellectuel et peu d’ouverture d’esprit face au manque d’intérêt et d’éveil culturel
• Un désintérêt de la vie extérieure
• Le dégoût de la société
• Une haine montante
• Une rebelion grimpante
• Des jeunes de plus en plus dépressifs et dans le mal-être ne pouvant être soignés par manque de pédopsychiatres.
• Un besoin de rassurance dans des valeurs qui ne sont pas toujours recommandables
• Une génération sur la défensive ou manipulée et corrompue par les dealers, les criminels et les religions
• Une eco-anxiété extrapolée
• Un manque de confiance ou le contraire : trop sûre d’elle
• etc…

La génération alpha inquiète les psys pour être une tranche d’âge en crise victime des faits sociétaux, de leurs fréquentations, de leur milieu social, des attitudes de leurs parents et d’un flot d’informations trop violent.

En revanche, il est à prendre en compte que la tranche la plus concernée est celle des 8 à 15 ans. En effet, cette section d’âge compte désormais de nombreux assassins au sang froid. En conséquence, il faut réagir rapidement pour que cette génération alpha réapprenne à vivre sereinement et dans le bien être avec les codes sociétaux adéquats sous peine de devenir immaîtrisable dans un futur proche.

Les vaccins injectés pour lutter contre la Covid

Moderna, Astra-Zaneca, Bio-NTech-Pfizer, CureVac, tous ces vaccins anti covid ont été validés par l’Union Européenne et les organismes de santé. Certains vaccins notamment ceux à ARN Messager (ARNm) étaient destinés à répondre à une défense immunitaire contre la Covid-19.

La polémique croissante des vaccins anti Covid-19

Selon le site swissMedic, sur 17 575 cas déclarés de suspicions aux réactions au vaccin Covid-19, 6 949 soit 39,5% se déclarent comme cas graves sachant que l’âge moyen est de 53 ans.

Décès excédentaires

Le site Our World Data dénombre plus de 3 millions de décès excédentaires entre 2020 et 2022 donc pendant les pandémies. Les complotistes mettent cette hausse de décès sur le dos des vaccins, néanmoins, cela reste à prouver.

Un accord crapuleux dans les accords d’acquisition des vaccins ?

Les antivax mettent en avant un manque d’accès volontaire à l’information et de transparence notamment concernant l’accord relatif aux contrats d’achat de vaccins entre Ursula Von Der Layen et le laboratoire américain Pfizer.

Pourquoi avoir choisi des laboratoires hors Europe alors qu’une entreprise nantaise La Biotech Valneva avait développé son propre vaccin anti covid-19 ? Contrairement aux autres vaccins qui apportent uniquement la protéine Spike, il stimule le système immunitaire pour faire face aux nouveaux variants. En lien avec le gouvernement britannique et l’Ecosse, ce laboratoire français n’a pas eu le droit d’être testé en France ! Pour quelles raisons alors que le vaccin pouvait être produit sur notre territoire ?

La vaccination du covid-19 responsable de myocardites et péricardites

Selon un rapport du site de la cardiologie française, sur 214 cas de myocardites, 17,1% sont associés à la vaccination. Il fait aussi état de péricardites. Mais cet article a disparu ! De plus, l’ANSM écrit que le risque de myocardite et de péricardite après vaccination par ARNm augmenterait chez certains sujets mais n’aurait entraîné aucun décès.

D’après le site FranceInfo, Pfizer reconnaissait dès 2021, un risque accru des myocardites. En revanche, une étude britannique évoque que le risque d’inflammation du myocarde est plus élevé en ayant contracté la COVID-19 qu’avec la vaccination. Selon le site le Figaro, sur 5000 cas de myocardites recensés, 500 étaient directement liés au vaccin, soit 10%.

Syndrome de Guillain-Barré suite à l’injection contre le coronavirus

Le site « Amelie » fait également part d’une augmentation du syndrome de Guillain-Barré après injection du vaccin. Cette maladie auto-immune attaque les nerfs périphériques handicapant la marche et entrainant des douleurs.

Thromboses provoquées par le vaccin du covid-19

En 2022, Le Nationale Institutes of Health recense des cas de thromboses veineuses cérébrales, spléniques (artère/veine du pancréas, du foie…) et mésentériques (artère/veine digestive et intestinale).

Hausse des AVC

Nous notons une hausse des AVC. En effet, une personne déclenche un accident vasculaire cérébral toutes les 4 minutes en 2024. L’estimation tourne autour des 150 000 (source) cas en 2024 contre 122 000 en 2022 (source BEH). Le site Cleveland Clinic dénonce que l’infection du Covid-19 double le risque de faire un AVC ou un infarctus mais ne remet pas en cause la vaccination. En revanche, le site inspq note une hausse potentielle des Accidents vasculaires cérébraux chez les personnes de plus de 65 ans ayant été vaccinées par le vaccin bivalent Comimaty®.

Témoignage

« En 2023, j’ai fait un AVC et on m’a détecté un trou dans le coeur. J’ai été stupéfaite compte tenu que j’étais en pleine forme et avais fait deux échographies du coeur qui n’ont jamais révélé ce FOP. J’ai été vaccinée trois fois avec Pfizer et depuis je sens ma santé fragilisée et affaiblie… »

Troubles menstruels sous haute surveillance après l’inoculation anti covid

Ce constat des troubles du cycle menstruel est pris au sérieux puisque l’ANSM a mis en place un dispositif de surveillance renforcé suite à la vaccination. Les antivax parlent de vouloir stériliser les populations.

Autres troubles constatés

• La paralysie de Bell : paralysie faciale avec l’ARNm
• fatigue chronique
• faiblesse musculaire
• troubles respiratoires
• vacillements …

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Un rapport qui en dit long…

Suite au rapport édité par le médecin rhumatologue Stéphanie Rist, le gouvernement a décidé de proposer une consultation dédiée aux femmes manifestant les premiers signes de la ménopause. En effet, les gynécologues et les sages-femmes auront pour mission d’accompagner les femmes afin de répondre à toutes leurs questions.

La ménopause, la fin d’un sujet tabou

La ménopause peut être un vrai bouleversement dans la vie d’une femme. Le métabolisme et son état d’esprit sont souvent touchés par ce changement radical mettant fin à sa capacité de procréation. Les menstruations s’arrêtent progressivement. Certaines l’acceptent, d’autres ont du mal à franchir cette étape. Être ménopausée peut être signe de troubles de l’humeur. En effet, la femme peut devenir irascible, fatiguée, se sentir inutile, pleurer voire entrer dans une forme de dépression nerveuse. Tous ces symptômes sont les facteurs annonciateurs de la ménopause.

De surcroit, le corps se métamorphose pouvant prendre du poids sans raison apparente bien que n’ayant pas changé les habitudes de vie. Les nuits deviennent agitées jusqu’à avoir des insomnies. Il faut savoir que les troubles du sommeil sont des éléments déclencheurs de perturbations du mental et du métabolisme. Par ailleurs, certaines femmes ressentent des douleurs articulaires ou une accentuation des rhumatismes. D’autres font l’objet de sécheresse vaginale voire n’ont plus de désir sexuel détériorant leur relation de couple.

Désormais, la ménopause n’est plus un sujet tabou, elle est enfin prise en compte pour être un réel changement voire un facteur perturbant dans la vie d’une femme. En effet, l’État a décidé de la prendre en charge afin d’accompagner chaque femme dans ce changement radical.

Le traitement de substitution (THS) mis en avant pour vivre mieux

Le traitement de substitution de la ménopause est à la « UNE » ! En effet, trop peu de femmes en bénéficient. Compensant le déficit d’oestrogènes et de progestérone, il permet récupérer la forme mentale et la condition physique. Néanmoins en cas d’AVC, cette prise en charge de la ménopause avec le THS est proscrit, il faut le savoir.

La Kétamine, c’est quoi ?

La kétamine est une molécule utilisée pour anesthésier les animaux. Consommée chez l’être humain, elle traite les douleurs intenses et neuropathiques sévères, les syndromes dépressifs en sus d’être un anesthésiant analgésique. Ce psychotrope vise à agir sur les mécanismes neurobiologiques en vue de résoudre les désordres mentaux et d’améliorer l’activité psychique.

Cette molécule se consomme par injection intramusculaire ou intraveineuse. Sa prise doit être contrôlée de près par le corps médical. Néanmoins, une partie de la population l’emploie pour se droguer et vivre mieux. De fait, la kétamine arrive-t-elle au même stade de la consommation dangereuse pour la santé que le miel aphrodisiaque sauf qu’elle n’a pas les mêmes effets ? Une nouvelle « mode » malfaisante serait-elle lancée ?

Les dangers de la consommation de kétamine sur la santé : le nouveau fléau ?

La kétamine est interdite en consommation de plaisance. Elle ne peut s’obtenir que sur ordonnance en France. Néanmoins, certains détournent leur besoin de consommation en passant commande sur le web sur des sites étrangers. Elle représente de nombreux dangers pour la santé notamment pour les personnes sujettes aux convulsions ou ayant fait l’objet d’AVC, d’hypertension artérielle, d’insuffisance cardiaque, d’alcoolisme chronique, de cirrhose, de maladies psychiatriques… Les contre-indications sont multiples et peuvent avoir des impacts graves sur la santé.

Cette molécule présente des menaces de dépendance, d’élévation de la pression artérielle, de troubles neuropsychiatriques, …

Dernièrement dans les médias, Elon Musk vantait consommer cette substance psychotrope pour soigner une dépression. Sa prise de kétamine serait-elle responsable de son comportement erratique malgré ses affirmations de n’avoir aucun impact sur sa santé ? Ou tout simplement, sous l’emprise de cette molécule, ne s’aperçoit-il plus de ses réactions euphoriques et de ses prises de décision incontrôlées dépassant tout sens des réalités ?

Néanmoins la consommation de cette substance n’est pas à prendre à la légère. Son utilisation détournée pourrait être le nouveau « désastre sant »é d’une partie de la population en recherche de mieux-être.

L’avenir nous dira si la kétamine est le nouveau « fléau bien-être » dangereux pour la santé d’une partie de la nation de notre pays…

La guerre, c’est quoi ?

La guerre peut être d’ordre économique, politique, stratégique ou se faire via les réseaux de communication, sur le terrain ou par les cyberattaques. Son but est d’obtenir des territoires, de faire plier ou de piller l’ennemi.

Le chef de guerre se veut charismatique et dans la manipulation de la population pour aboutir à ses objectifs. Il a recours aux mensonges, il est en proie à créer la peur du peuple pour faire valoir ses buts guerriers quoi qu’il en coûte.

Il peut même engager une partie de la population dans les forces armées sous la contrainte… Au demeurant, le recrutement militaire qui pénètre dans nos chaumières via des spots publicitaires sur l’armée est un moyen détourné du gouvernement pour anticiper l’engagement de nos jeunes jusque sous leur toit. Ce toit si précieux où nombreux se réfugient comme dans un « cocon protecteur » sévèrement atteints d’ecoanxiété, ils se voient encore déstabiliser psychologiquement. A cet effet, certains ont fait le choix de ne plus avoir de TV. En effet, cette fameuse génération Z fragilisée est visée par le gouvernement.

Le slogan : « Peux-tu le faire ? » à la Rambo défie nos jeunes, hommes comme femmes, d’être capables de faire l’armée et de s’engager… Ne serait-ce pas une forme de manipulation de nos jeunes ? Qui dit s’engager, dit prendre le risque de faire la guerre à tout moment autrement c’est déserter. Déserter en présence de l’ennemi est puni de 20 ans de réclusion criminelle. Si la personne a le rang d’officier, c’est la perpétuité.

Entendre parler de « guerre » provoque le mal-être de la population

Jamais on n’a autant entendu ce mot « guerre » que depuis ces dernières années. Ce mot est employé à toutes les sauces.

Le 16 mars 2020, nous entendions « nous sommes en guerre contre le virus … ». Mener un combat contre un virus : oui mais pas la guerre au sens strict. Le terme est inadapté. En février 2024, nous entendions à nouveau le mot « guerre » concernant l’invasion des russes en Ukraine. La France est à nouveau impliquée malgré elle. Par contre en novembre 2024, on entend que l’on est en lutte contre le narcotrafic. Désormais nous comptons la « guerre des politiciens », la « guerre des gangs » et la « menace de guerre chimique » sur le territoire français. Peut-être sous peu, la guerre civile ? La France dysfonctionnerait-elle à cette heure ?

Est-il bon d’entendre parler de guerre ? La réponse est non. La population ne supporte plus cette pression omniprésente qui fait partie de son quotidien. Employer le mot « guerre » plutôt que « combat » est-il volontaire ? Faire peur, ranger le peuple à l’obéissance, les transformer en petits guerriers…? Les guerres du passé n’ont manifestement pas servi de leçon pour certains…

Qui sait ce que c’est que de faire la guerre ?

Les anciennes générations savent la destruction d’une guerre sur un peuple. Nos politiciens eux-mêmes n’ont jamais été confrontés à ce scénario et pour la majorité d’entre eux n’a même pas fait le service militaire. Comment peut-on parler de guerre à un peuple en non-sachant ni expérience ? Comment peut-on inquiéter un peuple de la sorte ?

Néanmoins, les meurs ont changé. Le peuple n’est plus prêt à payer de sa vie, il préfère la paix et la sagesse aux « séïsmes guerriers » et aux génocides. Il aurait plus tendance à s’exiler et à fuir la France qui d’après certains médias frôlerait une forme de dictature dans sa conduite. Il suffit de constater le chiffre croissant de l’exode des entreprises. Les faillites, les nouvelles taxes sur les autoentrepreneurs, les efforts demandés aux entreprises, la montée des chômeurs viennent conforter ce réflexe de fuir vers l’étranger. Une partie de la population finit par s’isoler en prenant un virage à 180° en partant en pleine cambrousse pour fuir ce mal-être et vivre en autarcie.

La guerre « intra hexagonale » n’est-elle pas déjà sur le terrain français ?

Force est de constater que la guerre est déjà sur notre territoire lorsqu’on entend les meurtres quotidiens dans toutes les villes de France. Actuellement, les français se concertent pour monter des milices pour leur propre défense alors que le gouvernement pense à ses propres intérêts sans défendre ses forces de l’ordre. De surcroit, les partis politiques se déclarent la guerre entre eux. En conséquence, la France serait-elle à l’abandon de toute forme de paix et de résilience ? Aujourd’hui, on nous demande de supporter les « séïsmes » de la société française qui s’amplifient année après année. En conséquence, combattre pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres devient peu crédibles pour beaucoup.

Les français veulent retrouver la sérénité et le bien-être. Faire la guerre ? Ce n’est pas dans leur programme d’existence. Ils veulent la paix et retrouver leur autonomie économique et financière. Pour cela, il faut créer des emplois, développer le secteur industriel, être indépendants en comptant sur notre agriculture et notre énergie. La France en a le pouvoir pour éviter de répéter incessamment le mot « guerre ». Est-ce une erreur de diplomatie de la part du gouvernement ?

La planète risque de prendre le dessus sans crier « gare » pour stopper ces scénarios guerriers et remettre l’humain à sa place

Non, entendre parler de « guerre » n’est pas bon pour le moral des français. Cela amplifie leur mal-être et leur déclenche des pathologies mentales et physiques. Le peuple est trop sous pression actuellement.

Et si les évènements climatiques et terrestres (tornades, séïsmes, tsunamis, volcans..) venaient à arrêter ce scénario ? La terre en a assez d’être détériorée et polluée par des acteurs incapables de s’entendre à l’échelle mondiale. A l’heure où on nous vend de l’écologie à gogo, les divers gouvernements de la planète veulent des guerres plus dévastatrices sur tous les plans que nos propres consommations et émissions polluantes ? Cherchez l’erreur…

La population en a ras-le-bol d’entendre le mot « guerre » qui n’a plus de sens. C’est néfaste pour la santé de chacun en sus de dégrader la qualité de vie personnelle et sociétale.

En France, il était courant de rendre service à autrui gratuitement ou en échange d’un petit billet. Désormais, certaines plateformes en ligne se sont spécialisées dans ces services rendus pour en faire un véritable commerce de mises en relations entre particuliers. Ce concept venu tout droit des Etats-Unis s’étend au monde entier.

Qu’est-ce que le jobbing ?

Le jobbing est une prestation rendue moyennant un prix inférieur à ceux pratiqués par les entreprises. Quel que soit le profil des intervenants, ils vendent leurs compétences pour pallier aux besoins des particuliers. Bricolage, ménage, réparations en tout genre, jardinage…

Qui sont les jobbeurs ?

Les jobbeurs s’inscrivent sur des sites comme easyjobber pour proposer leurs services rémunérés. D’autres proposent de louer leur matériel en sus de leurs prestations comme sur Allovoisins. Ces petits boulots et services entre particuliers permettent d’arrondir les fins de mois de ces nouveaux prestataires à domicile en dépannant la population.

Les polémiques du jobbing

Actuellement, le jobbing fait l’objet de nombreuses polémiques par son manque de législation. Les particuliers y trouvent leur compte pour bénéficier de prestations moins cher qu’en passant par une entreprise privée.

Une source de travail non déclaré ?

L’une des principales polémiques est que les ressources du jobbing arrivent tout droit dans la poche du jobbeur sans passer par la case imposition. L’État français est en train de réfléchir pour réglementer cette nouvelle pratique professionnelle. Par ailleurs, ce style de travail pourrait être apparenté à du « travail au noir ».

Une concurrence déloyale ?

La deuxième polémique est que ces prestataires privés font concurrence aux entreprises (artisans, réparateurs, jardiniers, mécaniciens, services à domicile…). Leurs délais d’intervention sont plus rapides en sus de pratiquer des tarifs bradés.

La confiance n’exclut pas le danger

La personne recevant le prestataire ne le connait pas. N’importe qui peut se faire passer pour un jobbeur. Si ce dernier est mal intentionné, tout peut arriver…

Côté assurances…

Nombreux jobbeurs n’ont pas d’assurance professionnelle. En conséquence, s’il y a litige, le particulier n’a aucun recours. Par ailleurs, si le jobbeur bricole chez autrui, qui est tenu responsable en cas d’accident ? Est-ce que la responsabilité civile d’une des deux parties fonctionnera s’il y a une transaction financière contrairement au bénévolat ?

Les avantages du jobbing

Néanmoins, le jobbing présente de nombreux avantages et reste très intéressant pour tous. Confrontés à l’inflation, nombreux ont recours au jobbing par souci d’économies ou pour arrondir leurs fins de mois suivant la position de chacun.

Par ailleurs, devant la croissance des faillites d’entreprises, la population se tourne vers un prestataire plus sûr. De surcroit, il s’avèrerait après constats et comparatifs que les jobbeurs travailleraient mieux que certaines sociétés.

Enfin, le contexte économique actuel encourage ces petits services entre particuliers via toutes les plateformes en ligne ou par le bouche à oreille.

L’auto-entreprise, c’est quoi ?

L’auto-entreprise est une phase transitoire pour faire un galop d’essai. C’est un temps conditionnel pour savoir si cette micro-entreprise génère assez de chiffre pour tester sa viabilité. Ce statut avantageait les auto-patrons par l’allègement des charges et de l’exonération de la TVA. De surcroit, les micro-entrepreneurs apprenaient à côtoyer les obligations administratives de manière « light » avant de passer au niveau supérieur : l’entreprenariat.

En effet, jusqu’en 2023, le régime de la micro-entreprise permettait de réaliser un chiffre d’affaires de :

• 188 700 euros pour les activités de commerce et de fournitures de logement
• 77 700 euros pour les prestations de services et les professions libérales

Les principaux avantages étaient la minimisation des démarches administratives et l’exonération de nombreuses charges. Le salaire est un inconvénient puisque d’après LégalPlace, un autoentrepreneur gagne en moyenne 590 euros par mois. Par ailleurs, le taux de régime micro-social oscillait de 6 à 21,20% suivant l’activité. La facturation avec TVA intervenait après le dépassement des CA sus-cités ; ce qui laissait une marge.

L’ensemble de ces allègements et conditions permettaient aux micro-entrepreneurs de se lancer dans le monde des affaires sans risque et de s’axer sur le développement de leur activité professionnelle.

2024 : Un premier tournant annonciateur de la baisse des avantages des micro-entreprises

Les taux des cotisations augmentent pour les activités en « autres prestations de services BNC » de 21,10% à 23,10%. Les professions libérales relevant de la CIPAV passent de 21,20% à 23,20%. L’État vise ces deux secteurs d’activités prestataires les soumettant à une hausse taxative de 2%.

Les secteurs de l’achat/vente de marchandises restent à 12,30%, les prestations de services commerciales et artisanales « BIC » se stabilisent à 21,20%. La location de meublés de tourisme classés demeure à 6%.

Toutefois, 2024 sera les prémices de 2025 qui sera un grand tournant pour les auto-entrepreneurs.

Est-ce la fin des auto-entrepreneurs ? Ce qui change en 2025 pour les micro-entreprises

Le statut d’auto-entrepreneur est dans le collimateur de l’État ! Les micro-sociétés « autres prestations de services BNC » sont visées. Au 1er janvier 2025, leur taux de régime social passe à 24,6% avec un prévisionnel à 26,1% en 2026 soit une hausse de leur taxation de 5% en 4 ans.

Le gouvernement continue la révision de ce régime spécial nonobstant que la condition d’auto-entreprise est un « pied à l’étrier » pour les patrons et la future croissance de l’embauche. En effet, la loi N°2023-1322 du 29 décembre 2023 relative aux finances 2024 s’est vue réformée pour harmoniser les seuils de TVA dans l’Union Européenne avec une entrée en vigueur au 1er janvier 2025.

Selon le PLF 2025 et à compter du 1er mars 2025, toute entreprise réalisant un CA supérieur à 25 000 euros annuels devra s’affranchir de la TVA quelle que soit la nature de son activité. Par conséquent, l’auto-entrepreneur devra facturer la TVA à ses clients en sus de répercuter les taux des cotisations à la hausse sur ses prestations et/ou ventes pour sauvegarder ses marges. Restera-t-il concurrentiel d’autant plus qu’il ne récupère toujours pas la TVA sur ses achats d’entreprise ? Est-ce un moyen de pousser les auto-entrepreneurs à franchir le pas de l’entreprenariat ? Est-ce une stratégie pour pallier au manque à gagner face aux liquidations judiciaires qui s’accumulent ? De surcroit, serait-ce une manoeuvre tactique pour combler la perte financière actuelle enregistrée par les caisses de l’État ?

La baisse de la franchise de la TVA pénalise les auto-entrepreneurs

La baisse du plafond de la TVA pénalise les auto-entrepreneurs. Comment ça marche ?

Dans le cas où la micro-entreprise réalise un chiffre d’affaires inférieur à 25 000 euros, rien ne change pour elle.

En contre partie, si son CA est compris entre 25 000 et 27 500 euros, elle devra s’acquitter de la TVA au 1er janvier de l’année suivante au prorata du dépassement des 25 K€ et ce jusqu’à un maximum de 27,5 K€.

Si la micro-entreprise dépasse les 27 500 euros, elle doit appliquer la TVA le premier jour du dépassement et procéder aux formalités administratives nécessaires.

Les conséquences des nouvelles mesures du statut de micro-entrepreneur

La perte de chiffre d’affaires suite à la hausse des coûts des devis de 20%

Le premier impact est que les auto-entrepreneurs devront répercuter la TVA sur leur facture qui augmentera le montant à devoir de 20% pour le client final. Par conséquent, on pourrait imaginer une perte potentielle de certains clients. De surcroit, que faire des devis acceptés exempts de TVA avant le 49.3 ? Les micro-entrepreneurs devront-ils se priver d’une marge de 20% pour compenser cette nouvelle réglementation s’ils veulent rester compétitifs ?

Une stratégie poussant à faire du travail dissimulé

Est-ce une nouvelle porte ouverte pour le travail dissimulé non déclaré afin de pouvoir continuer à vivre malgré l’inflation ?

La prévision de la fermeture des microentreprises

De plus, va-t-on constater la fermeture de nombreuses auto-entreprises à l’effigie des faillites d’entreprises ?

La fin des conditions privilégiées des autoentrepreneurs

Contrairement à son fondement visant à faciliter la création de sa propre activité, l’évidence est que le statut d’auto-entreprise se voit surchargé de charges. En conséquence, est-ce la fin des conditions privilégiées des auto-entrepreneurs ?

Des conséquences pour le monde du travail

Par ailleurs, l’effet pervers des statistiques de chômage présentées par le Gouvernement ne prendront pas en compte cette catégorie de chômeurs. Il aura un impact direct sur les demandeurs de RSA. Donc, les chiffres du chômage seront tronqués et galvaudés tenant compte que l’auto-entrepreneur est voué à devenir entrepreneur voire générer des embauches. Quel est l’intérêt de devenir entrepreneur en France au regard des avantages des autres pays européens dès l’instant où le chiffre d’affaires passe la barre des 25 K€ ?

La fuite en avant des futurs patrons

Enfin, est-ce le départ de l’exode des créateurs d’entreprises français qui décideront de fuir la France voire l’Europe pour trouver des conditions d’entreprenariat plus avantageuses ?

Le gel de la volonté d’entreprendre en France

Ces nouvelles directives risquent de geler la volonté d’entreprendre de nombreux futurs entrepreneurs ayant opté pour cette condition d’entreprise. En effet, nombreux ont choisi cette formule d’entreprenariat pour lancer leurs affaires sans être étranglés par les obligations administratives tout en minimisant les risques financiers. De fait, voyant que ce régime est de plus en plus taxé et bénéficiant d’un plafond extrêmement bas pour être exonérés de TVA, ils se sentent refroidis pour entreprendre.

L’État ne creuse-t-il pas toujours plus son déclin en révisant le régime des auto-entreprises entre autres ? S’attaquer à la France qui travaille est-ce une bonne solution ?

Si vous souhaitez signer la pétition de protection du régime des auto-entrepreneurs de la FNAE, la seule organisation des Auto-Entrepreneurs reconnue représentative au niveau national.
Cet article d'actualité est rédigé par un ex-chef d'entreprise en passe de remonter des sociétés...

A quoi sert le miel aphrodisiaque ?

Le miel aphrodisiaque sert a améliorer les performances érectiles, le plaisir sexuel ainsi que la libido des hommes. La gente masculine commandant ce produit se veut des « bêtes de sexe ». D’autres ont des troubles de la libido ou érectiles qu’ils essaient d’enrayer. Néanmoins, ce miel aphrodisiaque présente des dangers sous une apparence de produit naturel.

Un miel érectile dangereux pour les consommateurs

Ce miel adultéré contient du maca, du ginseng, du gingembre sur le plan des produits naturels. Néanmoins derrière le mot « miel » se cache un mélange détonnant de substances nocives comme du sildénafil et le tadalafil qui sont des principes actifs du viagra. Ces stimulants chimiques présentent de réels risques comme l’infarctus du myocarde. De surcroit, sa composition serait complétée par d’autres molécules nocives encore méconnues.

Les douanes françaises s’attaquent à ce trafic prohibé sur l’Hexagone depuis plusieurs mois. En novembre 2024, elles ont saisi 13 tonnes de miel aphrodisiaque à Marseille, d’autres quantités ont été capturées à l’aéroport d’Orly et divers lieux … Le fléau du miel aphrodisiaque est inquiétant d’autant plus que les jeunes populations sont les premières à le consommer pour être vanté comme produit miracle sur les réseaux sociaux tels que TikTok.

Le fléau du miel aphrodisiaque présente des risques pour la santé

Les dangers du miel aphrodisiaque sont réels. Les effets secondaires de la consommation de ce miel pour hommes a affecté la santé de nombreux d’entre eux. En effet, les risques du miel aphrodisiaque sont des tachycardies, des tremblements, des troubles de l’érection douloureux pendant plus de 4 heures, des convulsions, etc. De surcroit, personne ne maîtrise le dosage des substances nocives contenues dans ces élixirs prétendus du plaisir.

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Un vin sans alcool, c’est quoi ?

Le vin sans alcool est une boisson à base de raisin. Seuls les vins de table et vins de pays peuvent être désalcoolisés jusqu’à 2% maximum en teneur d’alcool. A contrario des vins d’origine contrôlée (AOC) qui n’ont pas le droit d’être désalcoolisés, les viticulteurs AOC produisent des boissons issues du raisin. En conséquence, un vin désalcoolisé n’est pas un vin sans alcool.

En effet, conformément à la législation française, s’il n’y a pas de fermentation du raisin, la boisson ne peut pas s’appeler « vin ».

Le vin 0% alcool a-t-il le même goût qu’un vin d’origine ?

Il est évident que le vin sans alcool ne peut avoir le même goût qu’un vin avec alcool. Compte tenu qu’il ne contient aucun alcool, le viticulteur doit changer sa composition. Toutefois, certains gardent une approche du goût des arômes issus de leurs cépages. Il est bien évident qu’un vin fermenté ne peut avoir le même goût qu’un « vin » n’ayant pas subi cette transformation. Néanmoins, beaucoup de consommateurs apprécient ces nouvelles boissons à base de raisin.

Le vin sans alcool est-il bon pour la santé ?

Le grand avantage est que le vin sans alcool peut être bu par les femmes enceintes, les sportifs, les personnes ne consommant pas d’alcool ou faisant un régime pour être moins calorique de 70% par rapport à un vin traditionnel. En effet, une bouteille de vin sans alcool de 75 cl contient 175 Kcal contre 600 Kcal pour un vin fermenté.

En revanche, une consommation excessive de vin sans alcool peut entrainer une prise de poids. De fait, le vin à 0% d’alcool contient 60% plus de fructose que celui d’origine mais 30% de moins que les sodas. Par conséquent, ces vins « nouvelle génération » sont fortement déconseillés aux personnes diabétiques. Par ailleurs, leur surconsommation favorise l’apparition de caries. De surcroit, elle peut accélérer le développement de cancers compte tenu de leur teneur en fructose.

D’autre part, les sulfites présents dans certains vins 0% peuvent provoquer des aigreurs d’estomac et des remontées gastriques. Enfin, certains contiennent des additifs à des fins de conservation compte tenu qu’il ne contiennent pas d’alcool.

Les individus touchés par un cancer du foie, des reins ou du pancréas doivent éviter la consommation de ces vins sans alcool. Par contre, le grand avantage de l’absence d’alcool est que chacun peut prendre le volant en toute sérénité sans être saoul et en étant sûr de garder son permis de conduire.

En conclusion, les vins sans alcool présentent des dangers pour la santé en cas de surconsommation. Ils sont à consommer avec modération même s’ils ne contiennent pas d’alcool.

Les avantages du nouveau carburant gazole XTL 100% écologique et 0% de pétrole !

Bonne nouvelle ! Bientôt le gazole XTL sera commercialisé en France. Moins polluant que les autres carburants pour moteurs thermiques, il est l’avenir des moteurs diesel 100% écologiques. Fabriqué à partir de matières renouvelables comme les déchets plastiques (PTL), le gaz naturel (GTL) ou le biomasse (BTL), il n’émet que 10% de CO² en réduisant de 30% le dioxyde de soufre et l’oxyde d’azote.

L’avantage est que la population n’est plus contrainte à investir dans un nouveau véhicule d’autant que les véhicules électriques sont hors de prix. Par ailleurs, le moteur fonctionnant au gazole XTL est beaucoup moins bruyant donc moins gênant pour les riverains.

Le premier désavantage est que seules les stations distribuant du Gazole B7 le commercialiseront. L’autre inconvénient du gazole XTL est son prix qui oscillera entre 1,80 € et 2€ le litre.

Quelle compatibilité du gazole XTL 100% écolo à base de matières recyclées avec les véhicules diesel actuels ?

Ce gazole 100% écologique n’est pas compatible avec tous les véhicules diesel. En effet, seuls certains modèles à compter des années 2000 peuvent supporter ce nouveau carburant 100% écolo. De surcroit, le réservoir doit mentionner un marquage spécifique avec les 3 lettres : « XTL » et/ou doivent dater de 2014 avec la norme Euro 6. Pour savoir si un véhicule est compatible avec ce « carburant propre« , notre site vous invite à cliquer ici.

De plus, pour vous garantir la compatibilité de votre voiture avec ce nouveau gazole, la mention doit être stipulée dans le manuel de bord du véhicule. En cas de doute, renseignez-vous auprès de votre concessionnaire de préférence par écrit pour vous protéger. En effet, ce nouveau « gazole vert » est incompatible avec certaines marques.

Le marché pétrolier va prendre un coup ! Avez-vous la chance d’avoir un véhicule compatible avec ce carburant 100% matières recyclées ?

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